• Joli film sur l'amour, la, et ses joies et peines. pas mal.

    scénario: 16/20    acteurs: 17/20   technique: 16/20   note finale: 16/20

    Un week end à Paris

    Un couple anglais vient à Paris fêter leurs trente ans de mariage. Ils redécouvrent la ville, mais aussi l’humour, la fantaisie, et le plaisir d’être ensemble.

     La soixantaine… Un gros moment de doute, un tournant parfois radical dans une vie. Sauf si on a hérité d'un Tanguy particulièrement accrocheur, on est libéré de la charge des enfants pour le meilleur (fini la coloc obligatoire avec sa progéniture) et le pire (la maison qui paraît bien vide). Question boulot, ça sent la fin de cycle et corollairement d'une certaine reconnaissance sociale ; on sait que bientôt ce sera la retraite (même si, grâce à nos décideurs, l'âge de la quille recule à 62, 65, 67, 112 ans…) et, si on n'y prend pas garde, le piège des après midi belote au club du troisième âge ou, si on a fait des économies, des croisières hors périodes de vacances… Tout ça peut être aussi rassurant qu'angoissant. Côté couple, c'est enfin le moment de partager des moments de sérénité… mais aussi de se poser des questions sur la pérennité de l'amour.
    On connait déjà tout (trop ?) de l'autre, saura-t-on garder l'étincelle souvent étouffée par les habitudes et peut-on se projeter jusqu'à la fin avec l'être aimé ? Et on sait bien que si l'on doit vivre un nouvel amour, une nouvelle aventure , c'est le moment ou jamais de se jeter à l'eau… Un Week end à Paris parle avec drôlerie et tendresse de tout ça. Et c'est très chouette !

    Les Burrows sont un couple d'enseignants du Nord de l'Angleterre appartenant à la classe moyenne supérieure pas folichonne. Ça fait trente ans qu'ils sont mariés et, pour fêter ça, Nick a décidé d'offrir un petit week-end parisien à Meg, pas très convaincue il faut bien le dire, histoire de retrouver les émois de leur voyage de noces. Et patatras ! L'affaire s'emmanche de travers dès l'instant où ils retrouvent l'hôtel de leur jeunesse, devenu un bouge aux chambres minuscules… Meg s'énerve et, sur un coup de tête, prend une chambre dans le premier palace venu, avec vue imprenable sur la Tour Eiffel…
    Entre les deux vieux compagnons, Nick le pragmatique taciturne, et Meg, plus encline à la fantaisie et à l'aventure, le voyage romantique tourne parfois à l'affrontement, révélant les paradoxes du couple, entre exaspération réciproque et tendresse infinie qui lie ces deux êtres qui se connaissent mieux que quiconque et qui ont bien du mal à se passer l'un de l'autre malgré tout ce qu'ils peuvent se reprocher. Mais on ne sait pas trop si ce week-end sera celui de leur rupture ou au contraire d'un nouveau départ. Jusqu'au moment où Nick va retrouver par hasard Morgan. C'est un ancien compagnon de fac américain qui lui voue une admiration démesurée, alors qu'il est lui-même devenu auteur à succès fantasque mais lucide, entouré en permanence d'une cour mondaine… Et ce Morgan imprévu va se révéler le catalyseur de toutes les passions…

    Un week-end à Paris est déjà un formidable hommage à notre capitale à hauteur de piéton, comme les Français et en particulier les parisiens ne savent plus la voir… C'est surtout une très sensible réflexion sur le couple vieillissant, qui s'appuie sur sur un scénario d'une intelligence rare et des dialogues truculents. Il faut dire que l'auteur n'est pas la moitié d'une pointure : Hanif Kureishi, écrivain britannique passionnant, scénariste fétiche du Stephen Frears des débuts (remember les cultissimes My Beautiful laundrette ou Sammy et Rosie s'envoient en l'air). Et puis il y a un trio d'acteurs à tomber : Lindsay Duncan, peu connue du public français, qui restitue à merveille toutes les facettes de cette sexagénaire au bord de la crise de nerfs, Jim Broadbent, génial complice de Mike Leigh (il était renversant dans Another year) et Jeff Goldblum, l'invité américain, magnifique figure flegmatique et dégingandée. Et on ressort de ce joli moment, qui vous donne la banane après vous avoir profondément touché, avec le sentiment que finalement la soixantaine est une bien belle étape vers une vie encore meilleure.


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  •  Cette histoire romantique futuriste est une pure merveille! Les acteurs sont excellents. Le scénario est très réussi.

    scénario: 18/20    technique: 18/20    acteurs: 19/20   note finale: 18/20

    How I Live Now (Maintenant c'est ma vie)

    Daisy, une adolescente new-yorkaise, passe pour la première fois ses vacances chez ses cousins dans la campagne anglaise. Rires, jeux, premiers émois… Une parenthèse enchantée qui va brutalement se refermer quand éclate sur cette lande de rêve la Troisième Guerre Mondiale…


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  •  Pas du tout mon genre de film mais j'ai adoré. Bien joué, bien filmé, et les acteurs sont super beaux.

    scénario: 16/20   acteurs: 16/20    technique: 16/20   note finale: 16/20

    La légende d'Hercule

    Hercule est le fils de la reine Alcmène que lui a donné Zeus en cachette du roi Amphitryon pour renverser celui-ci une fois l'enfant devenu adulte. Amoureux d'Hébé, Hercule est trahi par le roi qui la destine à son autre fils, Iphiclès. Le demi-dieux est exilé et vendu comme esclave. Devenu gladiateur et renversant tous ses adversaires, Hercule, avec l'aide de Sotiris, son compagnon d'armes, va tenter de libérer le royaume de la tyrannie d’Amphitryon, arracher Hébé aux griffes de son frère, et prendre enfin sa vraie place, celle du plus grand héros que la Grèce ait jamais connu…


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  •  Ce film est une pure merveille: les acteurs portent leur rôle à un niveau d'excellence incroyablement élevé. Tout est réussi: les décors, la mise en scène, les costumes, les dialogues, etc... ce film est un chef d'oeuvre!

    scénario: 18/20      acteurs: 18/20    technique: 18/20     note finale: 18/20

    Diplomatie

    La nuit du 24 au 25 août 1944. Le sort de Paris est entre les mains du Général Von Choltitz, Gouverneur du Grand Paris, qui se prépare, sur ordre d'Hitler, à faire sauter la capitale. Issu d'une longue lignée de militaires prussiens, le général n'a jamais eu d'hésitation quand il fallait obéir aux ordres. C'est tout cela qui préoccupe le consul suédois Nordling lorsqu'il gravit l'escalier secret qui le conduit à la suite du Général à l'hôtel Meurice. Les ponts sur la Seine et les principaux monuments de Paris Le Louvre, Notre-Dame, la Tour Eiffel ... - sont minés et prêts à exploser. Utilisant toutes les armes de la diplomatie, le consul va essayer de convaincre le général de ne pas exécuter l'ordre de destruction.

    23 août 1944, l’étau se resserre sur une Allemagne inéluctablement encerclée par l’avancée des troupes alliées. Depuis que Berlin a été quasiment anéantie sous les bombardements incessants des alliés, Hitler ne supporte pas l'idée que Paris – cette « putain » comme il la qualifie, alors qu'il l'a pourtant beaucoup admirée – soit encore debout. Après avoir survécu au complot du 20 Juillet 1944 fomenté par des officiers de la Wehrmacht, le Fürher a nommé l'un des rares officiers supérieurs en qui il ait encore confiance, le général von Choltitz, à la tête de la garnison de la capitale française. Avec mission de la défendre coûte que coûte ou alors de ne laisser à l'ennemi qu'un champ de ruines. Et en cette fin du mois d'août, c'est bien la destruction de Paris que von Choltitz doit mettre en œuvre. Sans délai. Les plus grands monuments de la capitale, ainsi que les principaux ponts sur la Seine, sont minés, prêts à exploser, promesse d'un épouvantable chaos… Et pourtant l'ordre de destruction de Hitler ne fut finalement pas exécuté… Depuis lors, on n’a cessé de s’interroger sur les raisons qui auraient pu pousser à la désobéissance cet officier nazi « exemplaire » qu'était Dietrich von Choltitz.

    Le rôle joué par le consul général de Suède à Paris, Raoul Nordling, a fait l’objet de toutes les spéculations. On sait en effet qu’il a rencontré à plusieurs reprises von Choltitz en ces heures fatidiques. Est-ce lui qui a persuadé l’officier allemand de désobéir ? Et si oui, par quels moyens ? C’est à ces questions que Diplomatie se propose d'apporter une réponse en imaginant ce qui aurait pu se passer entre le général et le diplomate dans le huis-clos de la suite de l’hôtel Meurice, réquisitionné par von Choltitz pour y installer son état major. Là, dans les échanges à fleurets mouchetés entre le civil et le militaire, entre un professionnel des mots et un spécialiste des armes, se joue une partie d’échecs diplomatico-psychologique dont nul ne connaît l'issue… Enfin on la connaît parfaitement mais la réussite du film est de réussir à installer un vrai suspense… grâce à l'imagination des auteurs, grâce à la fiction, dont la part est ici considérable, même si tout repose sur des faits historiques précis.

    Diplomatie le film joue donc à fond la carte du face-à-face mis en place par Diplomatie la pièce de théâtre. C'est d'ailleurs son auteur lui-même, Cyril Gely, qui l'a adaptée pour l'écran avec le réalisateur allemand Volker Schlöndorff. Et si le dispositif fonctionne aussi bien, si le film capte notre intérêt d'un bout à l'autre, c'est évidemment grâce à la crédibilité et à la très bonne tenue de dialogues portés par un duo de comédiens exceptionnels. Dussolier et Arestrup ont d'abord joué ensemble le texte au théâtre, c'est peu de dire qu'ils habitent leurs personnages. Leur relation s'impose immédiatement et ne cesse d'évoluer au fil de cette nuit décisive, l'un et l'autre prenant le dessus à tour de rôle. C'est du travail de virtuoses et rien que pour eux, Diplomatie vaut incontestablement le coup d'œil.


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  • Une très jolie comédie romantique pleine de tendresse et de surprises. Le scénario est super, les dialogues plein d'humour et les acteurs excellents et c'est très bien filmé.

    scénario: 16/20    acteurs: 18/20   technique: 17/20  note finale: 16/20

    Fistons

    Depuis qu’il a 7 ans, Alex n’a qu’une obsession : séduire Sandra Valenti, la plus jolie fille d’Aix en Provence et, à ses yeux, la plus jolie fille du monde. Aujourd’hui, il lui faut un plan infaillible pour pouvoir enfin l’aborder. Il décide de s'adjoindre les services d'Antoine Chamoine qui presque 20 ans auparavant, a séduit Monica, la mère de Sandra.


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  • L'idée du film est très intéressante. Les acteurs sont formidables, c'est très bien filmé et l'image est magnifique. mais on peut regretter un montage mou et un trop grand nombre de scènes inutiles. Le montage manque vraiment de dynamisme et c'est dommage. Les décors et les costumes sont sublimes. Les dialogues sont plein d'humour. Dommage que tout cela manque de dynamisme.

    scénario: 16/20    technique: 16/20    acteurs: 16/20   note finale: 14/20

    Monuments Men

    La plus grande chasse au trésor du XXe siècle est une histoire vraie. MONUMENTS MEN est inspiré de ce qui s’est réellement passé.
    En pleine Seconde Guerre mondiale, sept hommes qui sont tout sauf des soldats – des directeurs et des conservateurs de musées, des artistes, des architectes, et des historiens d’art – se jettent au cœur du conflit pour aller sauver des œuvres d’art volées par les nazis et les restituer à leurs propriétaires légitimes. Mais ces trésors sont cachés en plein territoire ennemi, et leurs chances de réussir sont infimes. Pour tenter d’empêcher la destruction de mille ans d’art et de culture, ces Monuments Men vont se lancer dans une incroyable course contre la montre, en risquant leur vie pour protéger et défendre les plus précieux trésors artistiques de l’humanité…


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  • Alors là, côté navet, il y a du lourd. Même "300, les débuts de l'empire" passe pour un chef d'oeuvre à côté de ce navet. C'est nul, on s'ennuie, il ne se passe jamais rien. On se demande ce qu'on fait là. D'ailleurs les gens partaient. Seules des 20 dernières minutes sont intéressantes, mais encore faut-il avoir survécu aux 110 minutes précédentes...

    scénario: 3/20    technique: 16/20  acteurs: 10/20  note finale: 2/20

    Dans l'imbre de Mary, la promesse de Walt Disney

    Lorsque les filles de Walt Disney le supplient d’adapter au cinéma leur livre préféré, “Mary Poppins”, celui-ci leur fait une promesse... qu’il mettra vingt ans à tenir ! 

    Dans sa quête pour obtenir les droits d’adaptation du roman, Walt Disney va se heurter à l’auteure, Pamela Lyndon Travers, femme têtue et inflexible qui n’a aucunement l’intention de laisser son héroïne bien aimée se faire malmener par la machine hollywoodienne. Mais quand les ventes du livre commencent à se raréfier et que l’argent vient à manquer, elle accepte à contrecoeur de se rendre à Los Angeles pour entendre ce que Disney a imaginé... 

    Au cours de deux semaines intenses en 1961, Walt Disney va se démener pour convaincre la romancière. Armé de ses story-boards bourrés d’imagination et des chansons pleines d’entrain composées par les talentueux frères Sherman, il jette toutes ses forces dans l’offensive, mais l’ombrageuse auteure ne cède pas. Impuissant, il voit peu à peu le projet lui échapper... 

    Ce n’est qu’en cherchant dans le passé de P.L. Travers, et plus particulièrement dans son enfance, qu’il va découvrir la vérité sur les fantômes qui la hantent. Ensemble, ils finiront par créer l’un des films les plus inoubliables de l’histoire du 7ème art...


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  • Si on enlève les scènes avec hémoglobine et coupage de tête etc... il n'y a plus rien. Eva Green est superbe mais l'absence de scénario est une horreur.

    scénario: 5/20 technique: 16/20  acteurs: 16/20   note finale: 8/20

    300 : La naissance d'un Empire

    Le général grec Thémistocle tente de mobiliser toutes les forces de la Grèce pour mener une bataille qui changera à jamais le cours de la guerre. Il doit désormais affronter les redoutables Perses, emmenés par Xerxès, homme devenu dieu, et Artémise, à la tête de la marine perse…


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  •  Un très joli film intimiste, très abouti et vraiment très réussi. J'ai trouvé l'écriture remarquable. Les acteurs sont impressionnants de nuances et de délicatesse. j'ai adoré. Les dialogues sont plein d'humour. Et c'est très bien filmé. J'attends le prochain film de Marilyne Canto avec impatience.

    scénario: 18/20     acteurs: 18/20   technique: 18/20     note finale: 18/20

    Le Sens de l'humour

    Elise vit seule avec Léo, son fils de dix ans dont le père est mort. Elle entretient une liaison avec Paul. Leur relation est chaotique. Elise le repousse aussi violemment qu’elle se sent attirée par lui, et les deux amants alternent moments heureux et orageux. Malgré tout, Paul et Léo font connaissance et, les jours passant, s’apprécient de plus en plus...


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  •  Kitch et absurde mais je n'ai ps du tout accroché. Je n'ai pas du tout été sensible à l'univers de ce film qui est étrange et qui peut plaire mais qui m'a laissé de marbre.

    scénario: 8/20    technique: 16/20   acteurs: 12/20   note finale: 10/20

    The Grand Budapest Hotel

    Le film retrace les aventures de Gustave H, l’homme aux clés d’or d’un célèbre hôtel européen de l’entre-deux-guerres et du garçon d’étage Zéro Moustafa, son allié le plus fidèle.
    La recherche d’un tableau volé, oeuvre inestimable datant de la Renaissance et un conflit autour d’un important héritage familial forment la trame de cette histoire au coeur de la vieille Europe en pleine mutation.


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  •  Pas du tout mon genre de film mais c'est réussi. Le suspens tient jusqu'au bout du film.

    scénario: 16/20     acteurs: 16/20    technique: 16/20    note finale: 16/20

    Alors qu'il est en plein vol, un agent de la police de l’air reçoit des SMS d’un inconnu qui dit être à bord et vouloir assassiner un passager toutes les 20 minutes s'il ne reçoit pas 150 millions de dollars.


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  • Une comédie très réussie. C'est amusant, on rit et les acteurs sont formidables.

    scénario: 18/20      acteurs: 18/20    technique: 18/20  note finale: 18/20

    Romain Faubert est un homme seul qui, à bientôt 40 ans, n’a ni femme ni enfant. Le métier qu’il exerce, photographe pour dictionnaire médical en ligne, n’arrange rien à une hypocondrie maladive qui guide son style de vie depuis bien trop longtemps et fait de lui un peureux névropathe. Il a comme seul et véritable ami son médecin traitant, le Docteur Dimitri Zvenska, qui dans un premier temps a le tort de le prendre en affection, ce qu’il regrette aujourd’hui amèrement. Le malade imaginaire est difficilement gérable et Dimitri donnerait tout pour s’en débarrasser définitivement. Le docteur Zvenska pense avoir le remède qui le débarrassera en douceur de Romain Flaubert : l’aider à trouver la femme de sa vie. Il l’invite à des soirées chez lui, l’inscrit sur un site de rencontre, l’oblige à faire du sport, le coach même sur la manière de séduire et de se comporter avec les femmes. Mais découvrir la perle rare qui sera capable de le supporter et qui par amour l’amènera à surmonter enfin son hypocondrie s’avère plus ardu que prévu...


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  • J'adore le cinéma israélien et une fois de plus, j'ai adoré ce film. Il sort beaucoup de film sur ces palestiniens qui collaborent et sur les méthodes du shabbak. Très bien fait. les acteurs sont incroyablement justes.

    scénario: 18/20       acteurs: 18/20      technique: 18/20    note finale: 18/20

    Bethléhem

    2005. Bethlehem sud de Jérusalem. Sanfur, un jeune palestinien vit dans l'ombre de son frère Ibrahim un terroriste à la tête d'un réseau influent. Razi, un agent des services secrets israëliens qui recrute des informateurs dans les territoires occupés s'en fait un allié, lui offrant ce qui manque à sa vie, l'estime et la bienveillance d'un père. Tentant d'assurer son rôle tout en restant loyal envers son frère, Sanfur navigue comme il peut d'un camp à un autre, commettant des impairs. Les services secrets découvrent qu'il participe aux activités de son frère, plongeant Razi dans un profond dilemme : doit-il donner une seconde chance à son indic ou obéir aux ordres ?


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  • Bon, il faut dire que j'ai été un peu déçu par ce film plein d'humour par moment, aux dialogues croustillants par moment, mais pas tout le temps. c'est pas mal mais ça casse pas des barres.

    scénario: 14/20   technique: 16/20  acteurs: 16/20   note finale: 15/20

    Le crocodile du Botswanga

     

    Leslie Konda, jeune footballeur français talentueux, repéré à son adolescence par Didier, un agent de faible envergure qui a su le prendre sous sa coupe, vient de signer son premier contrat d’attaquant dans un grand club espagnol. Dans le même temps, sa notoriété grandissante et ses origines du Botswanga, petit état pauvre d’Afrique centrale, lui valent une invitation par le Président de la République en personne : Bobo Babimbi, un passionné de football, fraîchement installé au pouvoir après un coup d’état militaire. Leslie se rend donc pour la première fois dans le pays de ses ancêtres accompagné par Didier pour être décoré par le Président Bobo qui s’avère rapidement, malgré ses grands discours humanistes, être un dictateur mégalomane et paranoïaque sous l’influence néfaste de son épouse. À peine ont-ils débarqué que Bobo conclut un deal crapuleux avec Didier : faire pression sur son joueur afin que celui-ci joue pour l’équipe nationale : les Crocodiles du Botswanga…


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  • Alors, là, c'est génial!! On voyage à travers l'histoire, c'est plein d'humour etc...

    scénario: 18/20         technique: 17/20    note finale: 18/20

     

    M. Peabody et Sherman : Les Voyages dans le temps

    M.Peabody est la personne la plus intelligente au monde. Il est à la fois lauréat du prix Nobel, champion olympique, grand chef cuisinier... et il se trouve aussi être un chien ! Bien qu’il soit un génie dans tous les domaines, M. Peabody est sur le point de relever son plus grand défi : être père. Pour aider Sherman, son petit garçon adoptif, à se préparer pour l’école, il décide de lui apprendre l’histoire et construit alors une machine à voyager dans le temps. Les choses commencent à mal tourner quand Sherman enfreint les règles et perd accidentellement dans le temps Penny, sa camarade de classe.


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  •  Très réussi.

    scénario: 17/20      technique: 17/20  note finale: 17/20

     

    L'île des Miam-nimaux : Tempête de boulettes géantes 2

    Après le succès du premier film, L'île des miam-nimaux : Tempête de boulettes géantes 2 nous entraîne dans les nouvelles aventures de Flint Lockwood. Inventeur d’une machine capable de transformer l’eau en nourriture, Flint avait été obligé de la détruire parce que son invention avait déchaîné des pluies torrentielles de cheeseburgers et des tempêtes de spaghettis, menaçant toute la planète…
    Pourtant, la machine n’a pas disparu, et elle crée maintenant des croisements entre animaux et aliments, les « miam-nimaux » ! Flint et ses amis s’embarquent dans une périlleuse mission pour affronter des tacodiles affamés, des Cheddaraignées, des Serpent à galettes, des Hippopatates…


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  • Pas mal, mais sans plus. On passe un bon moment mais voilà.

    scénario: 15/20   technique: 16/20   acteurs: 17/20   note finale: 16/20

    les trois frères, le retour

    Ils sont trois,
    Ils sont frères,
    Ils sont de retour.
    15 ans après, Didier, Bernard et Pascal sont enfin réunis... par leur mère...
    Cette fois sera peut-être la bonne.


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  • Un film d'un esthétisme exacerbé et d'une beauté à couper le souffle: j'ai adoré!! Léa Sédoux est magnifique et merveilleuse.

    scénario: 19/20  acteurs: 19/20   technique: 20/20   note finale: 19/20

    La belle et la bête

    1810. Après le naufrage de ses navires, un marchand ruiné doit s’exiler à la campagne avec ses six enfants. Parmi eux se trouve Belle, la plus jeune de ses filles, joyeuse et pleine de grâce.

    Lors d’un éprouvant voyage, le Marchand découvre le domaine magique de la Bête qui le condamne à mort pour lui avoir volé une rose.

    Se sentant responsable du terrible sort qui s’abat sur sa famille, Belle décide de se sacrifier à la place de son père. Au château de la Bête, ce n’est pas la mort qui attend Belle, mais une vie étrange, où se mêlent les instants de féerie, d’allégresse et de mélancolie.

    Chaque soir, à l’heure du dîner, Belle et la Bête se retrouvent. Ils apprennent à se découvrir, à se dompter comme deux étrangers que tout oppose. Alors qu’elle doit repousser ses élans amoureux, Belle tente de percer les mystères de la Bête et de son domaine.

    Une fois la nuit tombée, des rêves lui révèlent par bribes le passé de la Bête. Une histoire tragique, qui lui apprend que cet être solitaire et féroce fut un jour un Prince majestueux.

    Armée de son courage, luttant contre tous les dangers, ouvrant son coeur, Belle va parvenir à libérer la Bête de sa malédiction. Et se faisant, découvrir le véritable amour.


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  •  Un excellent documentaire sur le système quasi-mafieux et anti-démocratique du 06. une honte pour la démocratie et honte au Ciotti et à l'autre de Nice. Dommage que ce films soit si peu diffusé.

    scénario: 17/20   technique: 17/20   note finale: 17/20

    Démocratie Zéro6

    Trois villages d’une vallée isolée du Sud-Est de la France, frontalière de l’Italie, décident en commun de consulter leur population sous forme de référendum consultatif concernant leur rattachement administratif à la CARF, Communauté d’Agglomération de la Riviéra Française, dont l’avenir est d’intégrer la métropole de Nice, la toute première créée en France. Le préfet Drevet, soutenu par le président de la métropole Christian Estrosi et le président du conseil général Eric Ciotti, déclare illégal et interdit ce référendum en menaçant élus et associations de 6 mois de prison et de 7500€ d’amende s’ils participent à sa mise en place, alors que partout ailleurs en France ce genre de référendums a lieu sans obstruction. C’est en partant de l’examen de cette situation locale et l’analyse des moyens utilisés par les pouvoirs en place pour créer une métropole, que ce film pose la question de l’exercice de la démocratie représentative sur l’ensemble du territoire.

    On se souvient de ce bon mot de Winston Churchill qui disait à propos de la démocratie qu'elle « est bien le pire des régimes à l'exception de tous les autres déjà essayés dans le passé ». Il faut dire qu'après avoir tâté du fascisme, du nazisme et du stalinisme, le grand homme, en cette fin de conflit armé avec l'Allemagne, jouait sur du velours. Mais aujourd'hui, alors que ces tristes idéologies ont versé dans les poubelles de l'histoire, force est de constater, à voir les inquiétantes dérives de certains électorats de l'espace européen, que ce « pire système de gouvernement », comme le définissait en rigolant l'homme au cigare, commence à en énerver plus d'un… La faute à « pas de chance » diront certains, la faute surtout à certains élus que nous nous sommes donnés et que nous continuons à nous donner avec un aveuglement qui frise le masochisme. Je ne parle pas de ceux, nombreux, qui œuvrent au quotidien avec dévouement et générosité pour des clopinettes, à commencer par ces héroïques anonymes que l'on voit à l'œuvre dans ce Démocratie zéro6, mais des autres, ceux qui ont fait de la politique leur fond de commerce, une petite minorité surpuissante qui, devenue à force d'intrigues nabab de la République, vit parfois depuis des décennies dans des fromages devenus forteresses inexpugnables malgré l'incroyable médiocrité de son bilan.

    Démocratie zéro6 nous raconte à cet égard une histoire exemplaire, très révélatrice du fonctionnement pervers de nos institutions qui contribue à ruiner chaque jour un peu plus l'image que le citoyen se fait de la démocratie et de la république. Aussi palpitant qu'une série télé comme Borgen ou House of cards, Démocratie zéro6, tout comme la capitulation lamentable de nos propres élus locaux dans l'affaire du bétonnage du plateau de la Menude, ouvre encore plus largement la fracture qui sépare le pays réel de ses représentants « aux affaires ».
    Mais revenons à nos moutons : au départ du film, une petite affaire locale qui aurait pu se régler par le simple bon sens, si des barons locaux de la Côte d'Azur, soucieux de monopoliser tous les pouvoirs, ne s'en étaient pas mêlés. Ilot entre montagne et Italie, la vallée de la Roya, au milieu des montagnes surplombant les Alpes Maritimes, rêve d'un bonheur tout simple : la gestion proche et adaptée de ses affaires due à une situation géographique particulière. Qu'on en juge : il faut, quand on part de cette vallée pour rejoindre les villes du littoral français, soit passer par un pays étranger (l'Italie) par une route assez souvent coupée par des éboulements, soit emprunter une route de montagne (un col à mille mètres, un autre à 800m) enneigée l'hiver, avec un temps de parcours supplémentaire de 50%. D'une situation si particulière, ses habitants, regroupés dans une demi douzaine de villages, avaient tiré la conclusion qu'il fallait se rassembler pour créer une petite communauté de communes de proximité. Une décision née d'une réelle expérience du quotidien.
    Au premier coup d'œil on comprend le topo : aller ramasser un rocher sur la route, une poubelle renversée, donner un coup de chasse-neige… hop, c'est Antoine qui s'y colle, vite fait bien fait. Sauf que macache ! Veto du Préfet, bien chambré par Christian Estrosi et Eric Ciotti, potentats locaux qui ne peuvent tolérer que la moindre parcelle constructible du sol sacré de la Patrie échappe à leur pouvoir de délivrer des permis de construire ! Beaucoup plus chic, notre malheureuse vallée sera absorbée par la « Communauté d'Agglo de la Riviera française » (les cons !), un monstre de bureaucratie, et c'est Monsieur le Député Maire président de ceci et de cela qui ira ramasser la poubelle dans la montagne.

    Pas contents, les villageois sortent les fourches, en l'occurrence un référendum d'initiative locale pour contester cette adhésion forcée à la Côte d'Azur dorée sur tranche. Brave petit soldat, le préfet interdit la consultation et menace tout le monde de prison… C'est alors que le film commence…


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  •  Ce film est une pépite!! un bonheur absolu, une merveille sur l'amour. j'ai adoré!

    scénario: 19/20      technique: 19/20      note finale: 19/20

    Jack et la mécanique du cœur

    Édimbourg 1874. Jack naît le jour le plus froid du monde et son cœur en reste gelé. Le Docteur Madeleine le sauve en remplaçant son cœur défectueux par une horloge mécanique. Il survivra avec ce bricolage magique à condition de respecter 3 lois: premièrement ne pas toucher à ses aiguilles, deuxièmement maîtriser sa colère et surtout ne jamais Ô grand jamais, tomber amoureux. Sa rencontre avec Miss Acacia, une petite chanteuse de rue, va précipiter la cadence de ses aiguilles. Prêt à tout pour la retrouver, Jack se lance tel un Don Quichotte dans une quête amoureuse qui le mènera des lochs écossais, à Paris jusqu'aux portes de l'Andalousie.


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  •  Un très joli documentaire sur Riquet. Jean Perissé confirme le talent dont il avait fait preuve avec "l'occitanienne". Nous attendons sa prochaine fiction  impatience.

    scénario: 18/20    technique: 18/20   note finale: 18/20

    La Fabuleuse histoire de Monsieur Riquet

    Rompant avec la "légende dorée" qui entoure le génial créateur du Canal du Midi, le film documentaire de Jean Périssé enquête sur le vrai Riquet.
    Regards croisés dʼhistoriens, de chercheurs, de passionnés, de descendants… Autant de témoignages, recueillis sur les lieux-mêmes de lʼaventure qui nous aident à replacer le personnage dans son siècle – le règne de Louis XIV –, à en dégager toute la modernité.

    Vous avez aimé L'occitanienne ? Vous devriez adorer le dernier film de Jean Périssé… Michèle Teysseyre, qui signe le roman, présente le film : « Il était une fois une reine qui accoucha d’un fils… » Le ton est donné. La « fabuleuse histoire » commence à la manière d’un conte, un conte de Perrault (un beau salaud, celui-là, comme on le verra plus tard dans le film) raconté par Bernard Le Coq, complice de la première heure du réalisateur Jean Périssé – souvenez-vous, c’est lui qui incarnait un Chateaubriand vieillissant dans son très poétique et très romantique long-métrage L’Occitanienne (2008).

    Cette fois, ce n’est pas une fiction qu’il nous livre, mais un documentaire historique consacré au très extraordinaire Pierre-Paul Riquet, le créateur du Canal du Midi. Si le nom comme l’œuvre sont familiers, la légende créée au xixe siècle a fini par cacher l’homme. La statue qui, depuis deux siècles, contemple les Toulousains du haut des allées Jean-Jaurès est bel et bien celle d’un inconnu emperruqué du temps de Louis XIV. Car en matière d’histoire, l’hagiographie s’avère souvent plus dangereuse que l’oubli – ce n’est pas Jeanne d’Arc ou Vercingétorix qui vous diront le contraire… Explorant les piles d’archives conservées au bureau du Canal du Midi à Toulouse, interrogeant chercheurs, historiens, conservateurs et même descendants du grand homme (ils sont nombreux), le film progresse à la manière d’une enquête. Ici, point de docu-fiction : le genre déplaît profondément au réalisateur. Et lorsqu’on voit le pouvoir d’évocation des tableaux et des gravures d’époque qui illustrent le propos, on réalise combien il a raison ! Véritables « reporters » de leur siècle, les peintres du temps nous font partager mieux que quiconque les affres de la peste à Toulouse, le fracas du siège de Castelnaudary, les embarras de Paris aux alentours du Pont-Neuf, les splendeurs de Versailles et de la cour.
    Mais attention, ce n’est pas dans un musée que le réalisateur nous entraîne… Son film est plein de galops de chevaux, de ruisseaux en liberté, de passages d’écluses, d’intérieurs de châteaux (notamment Bonrepos, aux portes de Toulouse, où vécut Riquet), d’horizons méditerranéens. Avec la complicité des Voies Navigables de France, d’associations d’amoureux du Canal (notamment « Un film sur Riquet », qui lui donna l’envie de raconter cette histoire), le réalisateur a pu naviguer entre Toulouse et Sète, dans le sillage de la barque de poste que Robert Mornet – un « fou » génial aux allures de vieux chaman cévenol – s’est mis en tête de reconstruire d’après un modèle de 1818.

    Quant à l’histoire, elle est simple : à un âge où aujourd’hui on songerait à la retraite, un riche financier (Riquet) décide de creuser un canal reliant l’Atlantique à la Méditerranée. Projet insensé ? Que nenni, d’autres avant lui y avaient songé ! De plus, tout ça va dans le sens de la politique que Colbert, le tout puissant surintendant aux Finances de Louis XIV, tente alors d’insuffler à la France. Il y a dans l’air une volonté de relance économique, de grands travaux (la construction de Versailles démarre au même moment). Et puis, bien fait pour le roi d’Espagne qui verra les taxes sur les marchandises transitant par Gibraltar lui passer sous le nez ! Va donc pour Riquet… Mais les relations entre les deux hommes – aussi dissemblables que peut l’être un méridional bon vivant et un haut-fonctionnaire septentrional – vont s’avérer plus difficiles que prévu. Les lettres qu’ils échangent sont un modèle d’amabilités fielleuses, de chausse-trappes déguisées que Bernard Le Coq (délicieux Riquet) et François-Henri Soulié (formidable Colbert) nous font revivre dans un mémorable face à face enregistré en studio. Si vous ajoutez à cela la musique de Marin Marais, interprétée au violoncelle baroque par Tormod Dalen (Le Concert Spirituel), cela donne une belle plongée dans le temps. De l’humour, de l’aventure, des conflits d’intérêt, des rêves aussi… Qui a dit que l’Histoire était ennuyeuse ?


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  •  un très joli film, plein de fantaisie et qui dénonce le ridicule de la politique. ha les italiens qui parlent français, comment résister?

    scénario: 17/20   acteurs: 18/20    technique: 18/20   note finale:

    Viva La Libertà

    Enrico Oliveri, secrétaire général du parti de l’opposition est inquiet : les sondages le donnent perdant. Un soir, il disparaît brusquement laissant une note laconique. C’est la panique au sein du parti, tout le monde s’interroge pour essayer de comprendre les raisons de sa fuite pendant que son conseiller Andrea Bottini et sa femme Anna se creusent la tête pour trouver une solution. C’est Anna qui évoque en premier le nom du frère jumeau du secrétaire général, Giovanni Ernani, un philosophe de génie, atteint de dépression bipolaire. Andrea décide de le rencontrer et élabore un plan dangereux…


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  • Pas du tout mon genre de film, mais suite à un problème d'horaire, je suis allée le voir. Et je dois avouer que je me suis laissée prendre à l'histoire. Bon, naturellement, il y a un peu trop de patriotisme américain (nous les gentils américains, on va amener la libertéééé au monde) mais si on passe au delà, le film est réussi. On aurait pu nous éviter les images de cerveau, beurk§ Une histoire intéressante et prenante.

    scénario: 15/20      technique: 17/20    acteurs: 16/20   note finale: 15/20

    Robocop

    Les services de police inventent une nouvelle arme infaillible, Robocop, mi-homme, mi-robot, policier électronique de chair et d'acier qui a pour mission de sauvegarder la tranquillité de la ville. Mais ce cyborg a aussi une âme...


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  • Côté nullité, y a du lourd. Chiant d'un bout à l'autre. C'est d'une lenteur exaspérante. et d'un ennui. seules les 10 dernières minutes sont intéressantes mais encore faut-il avoir résisté jusque là... Le scénario est d'une débilité extrême et les acteurs font ce qu'ils peuvent. les acteurs sont sales et mal habillés. une horreur!

    scénario: 3/20    technique: 14/20  acteurs: 12/20    note finale: 8/20

    American bluff

    Entre fiction et réalité, AMERICAN BLUFF nous plonge dans l’univers fascinant de l’un des plus extraordinaires scandales qui ait secoué l’Amérique dans les années 70. 

    Un escroc particulièrement brillant, Irving Rosenfeld, et sa belle complice, Sydney Prosser, se retrouvent obligés par un agent du FBI, Richie DiMaso, de nager dans les eaux troubles de la mafia et du pouvoir pour piéger un homme politique corrompu, Carmine Polito. Le piège est risqué, d’autant que l’imprévisible épouse d’Irving, Rosalyn, pourrait bien tous les conduire à leur perte…

     


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  • Un thriller remarquable qui nous tient en haleine jusqu'à la fin. Ce film est porté par des acteurs aux sommets de leur art. Remarquablement réalisé, il est digne des grands films d'action avec des cascades impressionnantes. Bravo!

    scénario: 18/20   acteurs: 18/20   technique: 18/20   note finale: 18/20

    Mea culpa

     

     

    Flics sur Toulon, Simon et Franck fêtent la fin d'une mission. De retour vers chez eux, ils percutent une voiture. Bilan : deux victimes dont un enfant. Franck est indemne. Simon, qui était au volant et alcoolisé, sort grièvement blessé . Il va tout perdre. Sa vie de famille. Son job de flic. Six ans plus tard, divorcé de sa femme Alice, Simon est devenu convoyeur de fonds et peine à tenir son rôle de père auprès de son fils Théo qui a désormais 9 ans. Franck, toujours flic, veille à distance sur lui. Lors d'une corrida, le petit Théo va être malgré lui le témoin d'un règlement de compte mafieux. Très vite, il fera l'objet de menaces. Simon va tout faire pour protéger son fils et retrouver ses poursuivants. Le duo avec Franck va au même moment se recomposer. Mais ce sera aussi pour eux l'occasion de revenir sur les zones d'ombre de leur passé commun. 


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  •  Les acteurs sont laids, mal coiffés, mal maquillés, mal habillés et jouent mal: vous avez devinés: nous sommes dans un film sur les pauvres. les dialogues sont nuls. La vie des personnages est vide et pauvrette, du coup, on s'ennuie.

    scénario: 12/20        technique: 12/20     acteurs: 12/20   note finale: 12/20

    Tonnerre

    Un rocker trop sentimental, une jeune femme indécise, un vieux père fantasque. Dans la petite ville de Tonnerre, les joies de l’amour ne durent qu’un temps. Une disparition aussi soudaine qu’inexpliquée et voici que la passion cède place à l’obsession.


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  •  Cette version n'est pas très réussie. On s'ennuie, c'est mal filmé, mal réalisé, les mouvements de caméra sont aléatoires. bref, je me suis ennuyée. C'est filmé en noir et blanc mais un vilain noir et blanc, sans esthétisme.

    scénario: 12/20         acteurs: 12/20   technique: 12/20   note finale: 12/20

    Beaucoup de bruit pour rien

    De retour de la guerre, Don Pédro et ses fidèles compagnons d’armes, Bénédict et Claudio, rendent visite au seigneur Léonato, gouverneur de Messine. Dans sa demeure, les hommes vont se livrer à une autre guerre. Celle de l’amour. Et notamment celle qui fait rage entre Béatrice et Bénédict, que leur entourage tente de réconcilier tout en essayant de déjouer les agissements malfaisants de Don Juan.


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  •  Délicieusement déjanté, ce film est un ovni. Les dialogues sont croustillants et plein de trouvailles plus amusantes les unes que les autres. les acteurs sont formidables.  On peut regretter que la chute soit vraiment décevante. mais ce film est génial (sauf pour les 5 dernières minutes).

    scénario: 17/20           acteurs: 16/20     technique: 16/20   note finale: 16/20

     

    Jacky au royaume des filles

    En république démocratique et populaire de Bubunne, les femmes ont le pouvoir, commandent et font la guerre, et les hommes portent le voile et s’occupent de leur foyer. Parmi eux, Jacky, un garçon de vingt ans, a le même fantasme inaccessible que tous les célibataires de son pays : épouser la Colonelle, fille de la dictatrice, et avoir plein de petites filles avec elle. Mais quand la Générale décide enfin d’organiser un grand bal pour trouver un mari à sa fille, les choses empirent pour Jacky : maltraité par sa belle-famille, il voit son rêve peu à peu lui échapper...


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  •  Encore un ovni du cinéma. celui-ci est particulièrement réussi et plaira aux petits (mais pas trop petits quand même ) et aux grands. cette histoire de petite coccinelle est une merveille.

    scénario: 18/20    technique: 18/20   note finale: 18/20

    Minuscule - La vallée des fourmis perdues

    Dans une paisible forêt, les reliefs d’un pique-nique déclenchent une guerre sans merci entre deux bandes rivales de fourmis convoitant le même butin: une boîte de sucres! C’est dans cette tourmente qu’une jeune coccinelle va se lier d’amitié avec une fourmi noire et l’aider à sauver son peuple des terribles fourmis rouges...

    Les Minuscules, c’est une bande d’insectes ou plutôt des bandes, qui à grand renfort de Bzzzzz…, BZZZZZZ… et de Pffuuuu…, survivent dans la jungle des prés et des sous-bois de nos chères campagnes. Coccinelles, fourmis noires, mouches aux yeux rouges et au rire sardonique, araignées hospitalières, mélomanes et bricoleuses, fourmis rouges aboyeuses comme des pittbulls et j’en passe forment le bestiaire génial qui peuple ce formidable film d’animation made in France.

    Dans une campagne au printemps, les vestiges d’un pique-nique abandonné déclenchent un branle-bas de combat au pays des Minuscules. Chacun veut sa part du butin, qui à consommer sur place, qui à emporter. Petite coccinelle, perdue après qu’une vilaine bande de mouches lui ait fait perdre de vue ses parents, trouve refuge dans une boîte à sucre. À son réveil, une escouade de fourmis noires se tient devant cette grosse boîte en se demandant bien si elle présente un quelconque intérêt. Après avoir testé la marchandise et apprécié ses bienfaits énergisants, chef fourmi ordonne la levée du kilo. Considérant petite coccinelle comme un peu propriétaire, elle l’embarque avec eux. Et en route pour la fourmilière ! Mais ce qui devait être un retour triomphal au bercail se transforme en véritable guerre du sucre. En effet les fourmis rouges s’empareraient bien du trésor…

    On pense parfois aux Studios Aardman, papas de Wallace et Gromit – dont on attend les aventures de Shawn le mouton pour février – dans l’animation, même de synthèse, de ces bestioles hilarantes. Même précision des regards qui en disent long, même sens de l’expression des émotions qui ne passe pas par la paroles, puisque réduite à des onomatopées, même sens de l’humour et des situations burlesques. Minuscule, la vallée des fourmis perdues est une formidable réussite technique mais surtout cinématographique, un vrai régal pour petits et grands.


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  •  Très réussi! l'acteur principal est une bombe et le scénario nous tient en haleine jusqu'au bout même si sans surprise les gentils américains gagnent. lol; Un excellent nouveau Jason Bourne.

    scénario: 16/20       acteurs: 16/20      technique: 16/20    note finale: 16/20

    The Ryan initiative

    Ancien Marine, Jack Ryan est un brillant analyste financier. Thomas Harper le recrute au sein de la CIA pour enquêter sur une organisation financière terroriste.
    Cachant la nature de cette première mission à sa fiancée, Jack Ryan part à Moscou pour rencontrer l’homme d’affaires qu’il soupçonne d’être à la tête du complot.
    Sur place, trahi et livré à lui-même, Ryan réalise qu’il ne peut plus faire confiance à personne. Pas même à ses proches.


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