• Ce n'est pas qu'on s'ennuie mais ce n'est pas très dynamique... Une suite dont on aurait largement pu se passer, il me semble.

    scénario: 10/20   acteurs: 12/20  technique: 16/20  note finale: 12/20

    Kick-Ass 2

    Kick-Ass, Hit Girl et Red Mist sont de retour pour le second volet de l’irrévérencieux pastiche de film de super-héros Kick-Ass 2. L’audace insensée de Kick-Ass a inspiré une pléthore de vengeurs masqués autodidactes, le Colonel Stars & Stripes en tête, auxquels notre héros va s’allier pour patrouiller les rues de la ville et assurer la sécurité générale. Mais quand Red Mist, réincarné en Mother F%&*^r, décide de s’attaquer à ces super-héros amateurs, seuls les sabres acérés de Hit Girl sauront les sauver de la destruction.


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  •  Aussi passionnant qu'un téléfilm allemand. Steve Jobs passe pour un crétin fini dans ce film, un profiteur et le pauvre type qui profita de tous ses amis qu'il laissa tomber ou vira quand son entreprise commença à marcher. je ne connais rien de lui mais c'est le film c'est vraiment un connard. le film est très moyen et vraiment lent et chiant. 

    scénario: 8/20    acteurs: 16/20  technique: 16/20   note finale: 12/20

    Jobs

    Partout sur la Terre, Steve Jobs est célébré comme un créateur de génie dont les inventions ont révolutionné notre façon de vivre et de percevoir notre monde. Il est aussi connu comme l’un des chefs d’entreprise les plus charismatiques et les plus inspirants qui soient.
    Mais qui connaît l’homme derrière l’icône ? Qui sait quel parcours humain se cache derrière la destinée de ce visionnaire d’exception ? De l’abandon de ses études universitaires au formidable succès de sa société, voici l’incroyable ascension de Steve Jobs, co-créateur d’Apple Inc., l'un des entrepreneurs les plus créatifs et respectés du XXIe siècle.


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  •  On passe un excellent moment et ce n'est déjà pas si mal. cette comédie est très réussie et les acteurs sont formidables. j'ai beaucoup ri. On voyage et c'est sympa.

    scénario: 16/20     acteurs: 16/20    technique: 16/20  note finale: 16/20

    Red 2

    Lorsque l’agent retraité de la CIA Franck Moses apprend la mort de son ancien collègue Marvin, il se rend à son enterrement avec sa compagne Sarah, sans se douter qu’il va au-devant de gros problèmes… Arrêté et interrogé par le FBI au sujet d’un mystérieux "Projet Nightshade", il ne doit son salut qu’à l’intervention de Marvin qui avait simulé sa mort. Ils se lancent alors dans une course poursuite à travers le monde pour découvrir le secret du "Projet Nightshade".


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  • J'ai bien aimé ce film qui peut dérouter.  C'est bien joué, plein de subtilité et  psychologiquement très riche. il faut dire que j'aime beaucoup l'univers de François Ozon et que j'aime beaucoup son travail

     

    Jeune & jolie

    Le portrait d’une jeune fille de 17 ans en 4 saisons et 4 chansons.

    Les moralistes et les amateurs d'explications définitives resteront sur leur faim : Jeune et jolie n'est en rien un film à thèse sur le destin des jeunes étudiantes obligées de se livrer à la prostitution occasionnelle pour financer leurs études, ni sur les dangers des réseaux plus ou moins mafieux d'exploitation sexuelle des femmes. La jeune et jolie Isabelle, qui s'apprête à rentrer à l'université, n'a aucun problème d'argent, sa famille vit et la fait vivre très confortablement, et pourtant elle va s'adonner à la pratique de la prestation sexuelle tarifée. Avant d'être une quelconque tentative de réflexion sur ces « sujets de société », Jeune et jolie est le portrait sensible et acéré d'une adolescente assez fascinante, incarnée par la splendide et mystérieuse Marine Vacth, en proie à la découverte, aux doutes, aux vertiges de la transgression et à l'envie de voir jusqu'où on peut aller autant dans sa tête qu'avec son corps. Un portrait au rythme des saisons et des chansons, depuis l'été où Isabelle perd sa virginité lors d'une étreinte laborieuse et facilement oubliable sur la plage des vacances (« c'est fait ») jusqu'à la fin de l'année scolaire suivante. Un portrait scandé par quatre chansons doucement mélancoliques de Françoise Hardy, qui offrent un contraste ironique à la dureté de l'état d'esprit d'Isabelle et de certains événements qu'elle choisit de vivre.

    Ozon décrit sans provocation ni tentative d'explication lourdingue comment, par attrait du danger et par le hasard de la vie, l'adolescente sans problème se livre à la prostitution, en pleine connaissance de cause. Non par quête effrénée du plaisir, mais par attirance pour l'inconnu et fascination pour ce rituel lié à la rencontre avec les clients. Ozon met remarquablement en scène, au son de la voix off de l'héroïne, ce mystère qui entoure l'avant : la discussion et la tractation sur internet, le trajet jusqu'à l'hôtel généralement luxueux, la tension avant de rentrer dans la chambre, sans savoir quelles seront les envies du client, les détails de son corps, son comportement courtois ou au contraire violent, tout cet inconnu qui, elle l'avoue, excite Isabelle. Et cette addiction qui la pousse à recommencer, l'argent s'accumulant dans le placard de sa chambrette, puisqu'elle n'en a pas besoin.
    Puis vient le client de trop, celui avec qui elle noue une relation plus forte… Georges, un homme âgé qui fascine Isabelle et avec qui elle prend réellement du plaisir. C'est à cause de Georges que les proches d'Isabelle découvriront sa coupable activité : stupéfaction, incompréhension totale, méfiance. Sa propre mère commence à craindre que sa fille perverse ne jette son dévolu sur son nouveau compagnon, une amie de la famille craint aussi pour son mari… C'est l'occasion de quelques scènes ubuesques qui virent au tragi-comique, le film transgressant les genres et flirtant parfois avec la comédie grinçante, comme quand Isabelle a rendez vous avec un psychanalyste (incarné avec beaucoup d'humour par le vrai psy Serge Hafez) et qu'elle demande à le payer avec le produit de ses passes…

    Sans rien dévoiler de la fin du film – marquée par l'apparition lumineuse de Charlotte Rampling, qui incarne la femme de Georges –, elle n'apportera nullement la touche finale morale que certains attendraient peut être.

    Les moralistes et les amateurs d'explications définitives resteront sur leur faim : Jeune et jolie n'est en rien un film à thèse sur le destin des jeunes étudiantes obligées de se livrer à la prostitution occasionnelle pour financer leurs études, ni sur les dangers des réseaux plus ou moins mafieux d'exploitation sexuelle des femmes. La jeune et jolie Isabelle, qui s'apprête à rentrer à l'université, n'a aucun problème d'argent, sa famille vit et la fait vivre très confortablement, et pourtant elle va s'adonner à la pratique de la prestation sexuelle tarifée. Avant d'être une quelconque tentative de réflexion sur ces « sujets de société », Jeune et jolie est le portrait sensible et acéré d'une adolescente assez fascinante, incarnée par la splendide et mystérieuse Marine Vacth, en proie à la découverte, aux doutes, aux vertiges de la transgression et à l'envie de voir jusqu'où on peut aller autant dans sa tête qu'avec son corps. Un portrait au rythme des saisons et des chansons, depuis l'été où Isabelle perd sa virginité lors d'une étreinte laborieuse et facilement oubliable sur la plage des vacances (« c'est fait ») jusqu'à la fin de l'année scolaire suivante. Un portrait scandé par quatre chansons doucement mélancoliques de Françoise Hardy, qui offrent un contraste ironique à la dureté de l'état d'esprit d'Isabelle et de certains événements qu'elle choisit de vivre.

    Ozon décrit sans provocation ni tentative d'explication lourdingue comment, par attrait du danger et par le hasard de la vie, l'adolescente sans problème se livre à la prostitution, en pleine connaissance de cause. Non par quête effrénée du plaisir, mais par attirance pour l'inconnu et fascination pour ce rituel lié à la rencontre avec les clients. Ozon met remarquablement en scène, au son de la voix off de l'héroïne, ce mystère qui entoure l'avant : la discussion et la tractation sur internet, le trajet jusqu'à l'hôtel généralement luxueux, la tension avant de rentrer dans la chambre, sans savoir quelles seront les envies du client, les détails de son corps, son comportement courtois ou au contraire violent, tout cet inconnu qui, elle l'avoue, excite Isabelle. Et cette addiction qui la pousse à recommencer, l'argent s'accumulant dans le placard de sa chambrette, puisqu'elle n'en a pas besoin.
    Puis vient le client de trop, celui avec qui elle noue une relation plus forte… Georges, un homme âgé qui fascine Isabelle et avec qui elle prend réellement du plaisir. C'est à cause de Georges que les proches d'Isabelle découvriront sa coupable activité : stupéfaction, incompréhension totale, méfiance. Sa propre mère commence à craindre que sa fille perverse ne jette son dévolu sur son nouveau compagnon, une amie de la famille craint aussi pour son mari… C'est l'occasion de quelques scènes ubuesques qui virent au tragi-comique, le film transgressant les genres et flirtant parfois avec la comédie grinçante, comme quand Isabelle a rendez vous avec un psychanalyste (incarné avec beaucoup d'humour par le vrai psy Serge Hafez) et qu'elle demande à le payer avec le produit de ses passes…

    Sans rien dévoiler de la fin du film – marquée par l'apparition lumineuse de Charlotte Rampling, qui incarne la femme de Georges –, elle n'apportera nullement la touche finale morale que certains attendraient peut être.


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  • Au milieu de tous ces navets, enfin une comédie avec laquelle on rit de bon coeur. Le scénario est d'une imagination incroyable et je félicite les auteurs des dialogues qui sont à MDR quoiqu'un peu "leste" parfois. les deux actrices sont formidables et on passe un excellent moment. 

    scénario: 17/20      acteurs: 17/20  technique: 17/20   note finale: 17/20

    Les flingueuses

    D'un côté il y a l’agent spécial du FBI, Sarah Ashburn, une enquêtrice rigoureuse et méthodique dont la réputation la précède tant pour son excellence que son arrogance démesurée. De l'autre l’agent de police de Boston, Shannon Mullins, reconnue pour son fort tempérament et son vocabulaire fleuri. L’une comme l’autre, n’ont jamais eu de partenaire dans le travail… ni vraiment d’amis.
    Ainsi, lorsque ces deux représentantes de la loi radicalement opposées sont obligées de faire équipe pour arrêter un baron de la drogue sans pitié, elles se retrouvent à devoir lutter non seulement contre un puissant syndicat du crime, mais aussi et surtout contre l’envie de s’entretuer.


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  • Alors là, niveau navet, y a du lourd! et je défie quiconque de comprendre quoi que ce soit à ce navet sans avoir lu un résumé récapitulatif avant! Moi hélas, je n'avais pas lu le résumé, estimant qu'on doit pouvoir comprendre l'histoire d'un film rien qu'en le regardant... On se demande ce qui se passe et on s'ennuie. Probablement un gros problème au montage. Scénario inconsistant et les acteurs tout comme le pauvre spectateur  se demandent ce qu'ils font là...

    scénario: 2/20  acteurs: 2/20  technique: 10/20  note finale: 2/20

    les salauds

    Commandant, à bord d’un supertanker, Marco Silvestri doit rentrer d’urgence à Paris, abandonner le navire. Sa sœur Sandra est aux abois… son mari suicidé, une entreprise en faillite et sa fille unique à la dérive. Sandra désigne le coupable : l’homme d’affaires Edouard Laporte. Marco loue un appartement dans l’immeuble où Laporte a installé sa maitresse et leur fils. Mais Marco n’avait pas prévu les secrets de Sandra, qui brouillent la donne…

    Capitaine à bord d'un porte-conteneur, Marco Silvestri (Vincent Lindon) rentre d’urgence à Paris. Le mari de sa sœur Sandra (Julie Bataille) vient de se suicider, l’entreprise du couple est en faillite et leur fille unique (Lola Créton) à la dérive. Sandra désigne le coupable : l’homme d’affaires Edouard Laporte (Michel Subor). Marco loue un appartement dans l’immeuble où Laporte a installé sa maîtresse, Raphaëlle (Chiara Mastroianni), et leur fils. Il séduit Raphaëlle pour se rapprocher de Laporte et tenter de comprendre la véritable nature de ses agissements et de ses liens avec son beau-frère. Au fil de son enquête, et d’un voyage sans retour au bout de la nuit, Marco va découvrir des abîmes de ténèbres et de corruption…

    Les Salauds est un film raté de Claire Denis bien loin  de son art.
    Claire Denis nous propose un navet bâclé et insipide. Aurait-elle besoin d'argent??  Ce film maladroit et débile est indigne de cette grande réalisatrice qui nous proposera certainement mieux la prochaine fois.


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  • Le film vu 1000 fois et qui n'apporte strictement rien. Un peu de "the call", un peu d'autre chose et hop, voilà ce film qu'on a l'impression d'avoir déjà vu. Pas désagréable mais du déjà-vu.

    scénario: 14/20     acteurs: 16/20    technique: 16/20   note finale: 14/20

    12 heures

    Trahi lors d’un hold-up qui a mal tourné, Will Montgomery, un voleur surdoué, vient de purger huit ans de prison. Désormais, il est décidé à tourner la page et souhaite seulement renouer avec sa fille, Alison. Mais ses anciens associés, tout comme le FBI, sont convaincus que c’est lui qui a caché les 10 millions de dollars du butin avant de se faire prendre. Pour récupérer le magot, Vincent, son ex-complice, kidnappe Alison.
    Will a 12 heures pour trouver la somme s’il veut libérer sa fille. Sa seule chance de la sauver est de monter le coup le plus audacieux de sa carrière avec l’aide de Riley, une voleuse aussi sexy que futée…


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  • Pas mal, même si c'est le film américain de base. Mais on se laisse prendre à cette histoire à dormir debout.

    scénario: 16/20   acteurs: 16/20  technique: 16/20   note finale: 16/20

    R.I.P.D. Brigade Fantôme

    Dans le film d’aventures surnaturelles, R.I.P.D. Brigade Fantôme, Jeff Bridges et Ryan Reynolds jouent un tandem de flics d’un genre très spécial, puisque défunts, et envoyés par leur unitéde police, le R.I.P.D. (Rest in Peace Department), pour protéger notre planète d’une recrudescence de créatures néfastes qui refusent de passer tranquillement dans l’autre monde. Le shérif Roy Pulsifer est un vétéran de cette brigade dédiée à la traque d’âmes belliqueuses se faisant passer pour des citoyens ordinaires. Sa mission : appréhender les criminels qui tentent d’échapper au Jugement Dernier en se dissimulant parmi les vivants.
    L’irascible et indiscipliné Roy se voit assigner comme nouveau coéquipier feu Nick Walker, un jeune policier de Boston récemment défunt. Les deux «hommes» vont devoir ravaler leur antipathie respective pour mener à bien leur mission. Quand ils découvrent un complot susceptible de mettre fin à la vie telle que nous l’avons toujours connue, les deux cracks du R.I.P.D. n’ont qu’une option : rétablir l’équilibre cosmique pour que le tunnel qui mène vers l’au-delà ne remplisse pas soudain la fonction inverse et ne précipite pas l’avènement des morts.


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  • Bof, cela commence comme un téléfilm et cela n'a pas grand intérêt. Un thriller moyen, tant au niveau du scénario qu'au niveau technique.

    scénario:l 14/20    acteurs: 15/20  technique: 14/20   note finale: 14/20

    Milan et Victor se connaissent depuis toujours. Patrons de boites de nuits à Paris, ils ont depuis plusieurs années rompu tout contact. Mais le retour de Serki change la donne. Serki le dangereux psychopathe et sa cohorte de mauvais souvenirs. Les souvenirs d’une époque ou pour pouvoir survivre dans un business en pleine déliquescence, Milan et Victor avaient accepté une mauvaise affaire qui avait envoyé Serki en prison au Mexique.
    S’il est revenu, c’est pour réclamer vengeance. Et les deux vieux amis n’ont pas d’autre alternative que de se retrouver afin d’unir leur force pour échapper à la vindicte de Serki. Ils traversent une nuit en ébullition afin d’y trouver des solutions.
    Le monde qui les entoure a changé. Ils sont déconnectés dans leur propre univers. C’est à l’occasion de ce périple le temps d’une nuit qu’ils vont aussi mesurer l’état de pourrissement de leur amitié et les mensonges qui polluent leur existence. Entre leurs règlements de comptes et la mort qui les menace à chaque coin de rue, Milan et Victor sont plus que jamais obligés de faire des choix irréversibles. Des choix qui intègrent leurs valeurs, leur famille et les trente ans d’amitié qui les unissent.


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  • Un joli film intimiste, une tranche de vie remarquablement interprétée par les acteurs. Le scénario est original même s'il aurait pu être plus approfondi.

    scénario: 16/20   acteurs: 17/20  technique: 17/20   note finale: 17/20

    Landes

    Années 20, dans les Landes. Liéna, 35 ans, hérite à la mort de son mari de ses vastes propriétés au cœur d’une forêt industrielle et de son drôle de rêve : l’électricité partout sur ses terres. Elle veut à tout prix faire de ce rêve électrique une réalité. Sauf que personne n’en veut, ni son milieu, ni les syndicats.
    Alors elle se bat, s’entête… mais comprend qu’il existe d’autres batailles à livrer... Quand le destin d’une femme libre rencontre le destin d’un pays...

     


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  • Voici la pépite de l'été!!! Un très joli fiilm soutenu par des acteurs au meilleur de leur forme! Maria de Medeiros, que l'on voit trop peu, est géniale dans le rôle de la femme de l'écrivain. Mehdi Dehbi, dont j'avais adoré la prestation dans "le fils de lautre", nous montre une fois de plus toute l'étendue de son talent! Le scénario est original, les dialogues sont ciselés et c'est très bien filmé. Encore un film sur l'intégration d'un arabe me direz-vous? c'est vrai mais là, nous sommes au niveau au dessus, et c'est réussi; on se demande pourquoi il y a tant de films sur les arabes, les problèmes d'intégration etc...?

    scénario: 17/20        acteurs: 17/20     technique: 17/20    note finale: 17/20

    Je ne suis pas mort

     

     

    Yacine, brillant étudiant en sciences politiques d’origine modeste, obtient un soutien inattendu de la part de Richard, son professeur de philosophie politique. Celui-ci propose notamment de l’aider à décrocher un stage à l’Élysée. Mais une nuit, Yacine se réveille paniqué.

    En transe, il se dirige vers le domicile de son professeur où il apprend son décès. Étrangement serein, il s’emploie à rassurer la famille : "Ne vous inquiétez pas, personne n’est mort. Je suis Richard !"...

    "Britney Spears naked"


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  • Une jolie comédie. par rapport aux autres films sur les arabes sortis ces derniers temps, celui_là est une réussite malgré ses imperfections. c'est un premier film et la réalisatrice a beaucoup de talent.

    scénario: 16/20      acteurs: 16/20    technique: 16/20   note finale: 16/20

     

    Paris à tout prix

    Maya, d’origine marocaine, vit à Paris depuis 20 ans. C'est une it girl de la mode. En pleine ascension, elle s’apprête à décrocher son premier CDI de styliste dans la maison de haute couture pour laquelle elle travaille. Mais un simple contrôle de police, où l’on découvre que son permis de séjour est périmé, la renvoie en moins de 24 heures directement au Maroc. Retour auprès de ce pays et cette famille qu’elle voulait oublier. Choc des cultures, choc des préjugés, Maya va tout faire pour rentrer. Vraiment tout. Quand l'avenir d'une parisienne trendy devient la galère d’une immigrée sans papier.


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  • J'ai adoré ce film qui va de surprise en surprise et où la fin est vraiment inattendue.

    scénario: 17/20    acteurs: 17/20   technique: 17/20   note finale: 17/20

    Insaisissables

    « Les Quatre Cavaliers », un groupe de brillants magiciens et illusionnistes, viennent de donner deux spectacles de magie époustouflants : le premier en braquant une banque sur un autre continent, le deuxième en transférant la fortune d’un banquier véreux sur les comptes en banque du public. Deux agents spéciaux du FBI et d’Interpol sont déterminés à les arrêter avant qu’ils ne mettent à exécution leur promesse de réaliser des braquages encore plus audacieux. Ils font appel à Thaddeus, spécialiste reconnu pour expliquer les tours de magie les plus sophistiqués. Alors que la pression s’intensifie, et que le monde entier attend le spectaculaire tour final des Cavaliers, la course contre la montre commence.


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  • Très beau film, bien joué, bien filmé. On peut regretter un accent marseillais qui sonne faux. Et cette pauvre Fanny qui ne fait que pleurnicher... mais c'est l'histoire me direz-vous...

    scénario: 16/20   acteurs: 16/20   technique: 17/20   note finale: 16/20

    Fanny

    Fanny, amoureuse et abandonnée, apprend qu’elle attend un enfant de Marius. Elle se retrouve en position dramatique de mère-fille, incapable d’assurer son propre avenir et celui de son enfant. Elle accepte alors, avec l’approbation de sa mère et du grand-père de son enfant, César, de se marier avec un commerçant prospère du Vieux-Port, Honoré Panisse ; celui-ci est âgé de trente ans de plus qu’elle. Il reconnaît son enfant et l’élève comme le sien ; Panisse leur apporte une prospérité certaine, une honorabilité sociale retrouvée et un avenir confortable. Quelques mois après le mariage et la naissance du bébé, Marius, prenant conscience de son amour pour Fanny durant son voyage lointain, mais qui n’a pas de situation sérieuse, revient et cherche à reconquérir Fanny, toujours amoureuse de lui et à reprendre son enfant.


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  • Très joli film. Raphaéel P. est un acteur magnifique, magnifiquement filmé. Et fanny est une cruche. C'est très bien filmé et les décors sont très réussis.

    scénario: 16/20        acteurs: 16/20    technique: 18/20    note finale: 16/20

    Marius

    L’histoire de MARIUS se déroule sur le Vieux-Port de Marseille, dans le Bar de la Marine tenu par César et son fils Marius. Marius ne rêve que d’embarquer sur un des bateaux qui passent devant le bar et prendre le large vers les pays lointains. Fanny, jeune et jolie marchande de coquillages sur le devant du bar, aime secrètement Marius depuis l’enfance ; Marius, sans l’avouer, a toujours aimé Fanny. Pour retenir Marius, pressenti pour un engagement sur un navire d’exploration, Fanny lui dévoile son amour pour lui et parvient à attiser sa jalousie en provoquant une vive dispute entre Marius et un vieil ami de César, le maître-voilier Panisse, qui, beaucoup plus âgé, courtise Fanny. Partagé entre l’appel de la mer et son amour pour Fanny, Marius renonce à son projet et finit par s’unir à Fanny qui s’offre à lui. Mais, alors que César et Honorine, la mère de Fanny, sont prêts à les marier, Marius est repris par sa folie de la mer. Poussé par Fanny qui se sacrifie par amour pour Marius, ce dernier monte à bord du navire qui part, abandonnant Fanny bouleversée, qui retient ses larmes et cache à César le départ de son fils.


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  • Un très joli documentaire même si on peut regretter que le début soit particulièrement ennuyeux.

    scénario: 14/20    technique: 16/20   note finale: 15/20

    Au début des années 70, Sixto Rodriguez enregistre deux albums sur un label de Motown.
    C'est un échec, à tel point qu’on raconte qu’il se serait suicidé sur scène. Plus personne n’entendit parler de Rodriguez. Sauf en Afrique du Sud où, sans qu’il le sache, son disque devint un symbole de la lutte contre l’Apartheid. Des années plus tard, deux fans du Cap partent à la recherche de “Sugar Man”. Ce qu’ils découvrent est une histoire faite de surprises, d’émotions et d’inspiration.

    C'est une histoire incroyable et magnifique, qui pourrait sembler complètement invraisemblable si elle n'était bien réelle, un destin en forme de conte de fées, dont tous les détails sont passionnants parce que totalement ancrés dans la réalité d'une époque, des quartiers chauds de Detroit à la jeunesse révoltée d'Afrique du Sud… Et ce sont des chansons formidablement touchantes et belles, cousines des balades folk de Bob Dylan, qui ont ce je-ne-sais-quoi en plus qui vous prend aux tripes et ne vous lâche pas.

    Tout commence à la fin des années 60 quand deux producteurs se rendent dans un bar miteux de Detroit assister au concert d'un songwriter local qui égrène ses chansons, dos au public, dans un coin du bar. Le chanteur est le fils d'un immigré mexicain, une sorte de hobo mystérieux rôdant aux quatre coins de la ville, qui décrit dans ses chansons le quotidien des laissés pour compte. Les producteurs sont conquis et lui signent un contrat, sous le nom de Rodriguez, sur le prestigieux label Sussex Records. Son premier album, Cold Facts, sort en 1970 et, mystère de l'industrie musicale, passe complètement inaperçu. Mais Rodriguez continue sa route, et publie l'année suivante un deuxième album qui ne trouve toujours pas son public. Aujourd'hui encore, les producteurs de Rodriguez, qui ont travaillé avec de grands noms, ne s'expliquent pas cet insuccès : Rodriguez était-il trop latino, trop politique ? Aurions-nous dû mettre des violons là où nous avons mis des hautbois ? Toujours est-il que la courte carrière du pourtant prometteur Sixto Rodriguez s'arrête là, dans l'indifférence la plus totale…
    Enfin, pas tout à fait, parce qu'au même moment, de l'autre côté de la planète, une copie de Cold Facts arrivée on-ne-sait-trop-comment en Afrique du Sud devient petit à petit le symbole de la lutte contre l'apartheid. La jeunesse sud-africaine se reconnaît dans la musique de Sixto Rodriguez, dans la vérité de ses paroles, et l'album devient un énorme succès dans le pays, Sixto Rodriguez y étant même « plus célèbre que les Rolling Stones » ! Mais dans cette époque pré-internet, impossible pour tous ces fans de dissiper le mystère qui entoure ce chanteur qu'ils adorent mais dont ils ne savent absolument rien. Quelques rumeurs circulent, alimentant la légende qui grandit : Rodriguez se serait immolé à la fin d'un concert, citant les paroles d'une de ses chansons : « well thanks for your time, then you can thank me for mine »…

    Deux personnes particulièrement ne se satisfont pas de cette version : Stephen Segerman, surnommé Sugar Man en référence à une chanson de Rodriguez, et Craig Bartholomew, journaliste musical, cherchent encore des années après à connaître la vérité sur Rodriguez. C'est leur quête que suit ce documentaire, et bien que nous mourions d'envie de vous en dire plus dès maintenant, nous ne pouvons que vous inviter à venir découvrir la véritable et incroyable histoire de Sixto Rodriguez à travers ce documentaire emballant dont vous sortirez, c'est sûr, avec la même envie que nous de vous replonger dans sa courte mais excellente discographie. Ça tombe bien, elle est justement rééditée pour l'occasion !


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  •  Un film réussi même si les personnages sont un peu trop manichéens entre le gentil cuisinier enlevé, le méchant armateur qui fait trainer les négociations pour économiser quelques sous et les pirates qui sont des brutes épaisses... Un peu plus de nuances et d'apaisseur dans la psychologie des personnages n'auraient pas nui au film. Certaines films sont mal filmées. mais c'est un premier film éncourageant.

    scénario: 14/20       acteurs: 14/20     technique: 14/20    note finale: 14/20

    Hijacking

    En plein océan Indien, le navire danois MV Rosen est pris d’assaut par des pirates somaliens qui retiennent en otage l’équipage et réclament une rançon de 15 millions de dollars. Parmi les sept hommes restés à bord, Mikkel, le cuisinier, marié et père d’une petite fille. Prisonnier et affaibli, il se retrouve au cœur d’une négociation entre Peter, le PDG de la compagnie du cargo, et les pirates. Débute alors un jeu cyniquement cruel de vie et de mort. En demandant une rançon de plusieurs millions de dollars, les pirates somaliens déclarent une guerre psychologique au président de la compagnie maritime. Pour l’armateur, sauver ses hommes est un devoir. Mais le sang-froid et les millions suffiront-ils à ramener tous ses marins dans leur familles ?

    Scénariste de Submarino et de La Chasse de Thomas Vinterberg, le nom du Danois Tobias Lindholm est bien connu des amoureux de la série Borgen, dont il est l’un des auteurs. On retrouve dans Hijacking la même qualité d’écriture, ce don pour dresser des portraits complexes de personnages charismatiques. Il y a deux héros dans le film : Mikkel, le cuisinier sensible embarqué bien malgré lui dans une prise d’otages dont les enjeux le dépassent et Peter, l’implacable chef d’entreprise qui se mue par défi et par égo en négociateur aux nerfs d’acier. Formidablement documenté, Hijacking est un thriller en quasi-huis clos, où le moindre fax envoyé provoque une déflagration dans le camp d’en face.

    Tobias Lindholm n’oublie pas d’apporter une dimension humaine à son film, si bien que l’on a la gorge serrée quand arrive la négociation finale. Et le poing serré d’impuissance devant cette démonstration de capitalisme appliqué où la vie d’un homme vaut moins que celle d’un bateau. Effacée derrière son sujet, la mise en scène se veut sobre, concentrée sur la direction d’acteurs. En boss aux lunettes cerclées, Soren Malling crève l’écran, doublement récompensé pour son interprétation de patron implacable aux festival des Arcs et de Marrakech.


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  •  pas du tout mon genre de film et je n'ai pu le supporter que 15 minutes tant le début m'a paru débile.

    scénario: 3/20    acteurs: 10/20   technique: 5/20   note finale: 2/20

    Pacific Rim

    Surgies des flots, des hordes de créatures monstrueuses, les "Kaiju", ont déclenché une guerre qui a fait des millions de victimes et épuisé les ressources naturelles de l'humanité pendant des années. Pour les combattre, une arme d'un genre nouveau a été mise au point : de gigantesques robots, les "Jaegers", contrôlés simultanément par deux pilotes qui communiquent par télépathie. Mais même les Jaegers semblent impuissants face aux redoutables Kaiju. Alors que la défaite paraît inéluctable, les forces armées qui protègent l'humanité n'ont d'autre choix que d'avoir recours à deux héros hors normes : un ancien pilote au bout du rouleau et une jeune femme en cours d'entraînement qui font équipe pour manœuvrer un Jaeger légendaire, quoique d'apparence obsolète. Ensemble, ils incarnent désormais le dernier rempart de l'humanité contre une apocalypse de plus en plus imminente…


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  • Déception! C'est long, ça n'en finit pas. c'est également l'avis des enfzants qui étaient près de moi et n'ont cessé de s'ennuyer. Pas très innovant et beaucoup trop long. 

    scénario: 12/20   technique: 12/20    note finale: 12/20

    Monstres académie

    Même quand il n’était qu’un tout petit monstre, Bob Razowski rêvait déjà de devenir une Terreur. Aujourd’hui, il est enfin en première année à la prestigieuse université Monstres Academy, où sont formées les meilleures Terreurs. Son plan de carrière bien préparé est pourtant menacé par sa rencontre avec James P. Sullivan, dit Sulli, un vrai crack qui a un don naturel pour Terrifier. Aveuglés par leur désir de se prouver l’un à l’autre qu’ils sont imbattables, tous deux finissent par se faire renvoyer de l’université. Pire encore : ils se rendent compte que s’ils veulent que les choses aient une chance de rentrer dans l’ordre, ils vont devoir travailler ensemble, et avec un petit groupe de monstres bizarres et mal assortis…


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  • Une jolie comédie. On passe un bon moment malgré la présence de Charlotte Le Bon qui est toujours aussi laide (mon Dieu, mais pourquoi ne s'arrange-t-elle pas? au moins les dents...). Le reste, pas mal.

    scénario: 16/20   acteurs: 16/20   technique: 16/20   note finale: 16/20

    Le grand méchan loup

    Il était une fois trois frères qui vivaient heureux. Du moins le pensaient-ils. Un jour leur maman eut un accident. Alors Henri, Philippe et Louis se mirent à se questionner sur le sens de leur vie. Une grande vague de doutes pour ces quarantenaires versaillais sans histoire, qui suffit à leur faire entrouvrir la porte à l'inédit, à l'interdit, à l'aventure... au Grand Méchant Loup!

    De maison de paille en maison de bois, le loup aussi sexy soit-il délogera-t-il nos trois frères ? Et l'hôtel particulier en pierre de taille de l'aîné, est-il vraiment si solide ? Et si au bout du compte la vie d'adulte n'était pas complètement un conte pour enfant ?


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  •  Le problème, c'est que j'adore Jason Statham alors concernant l'objectivité de cette critique, faut pas rêver... MDR Il est comme d'habitude parfait dans ce film. Il est toujours parfait et je rêve de le voir dans une jolie comédie romantique un jour. Il faut être réaliste, le scénario n'est pas terrible mais Jason sauve tout, vous vous en doutez...

    scénario: 14/20    technique: 16/20    acteurs: 17/20   note finale: 16/20

      Crazy Joe

    Ex-soldat des forces spéciales britanniques, Joey Jones se retrouve à la rue dans Londres après s’être enfui pour échapper à un procès en cour martiale. En s’introduisant par effraction dans un appartement inoccupé, il découvre de quoi recommencer une nouvelle vie.
    Bientôt, il décroche un petit boulot dans un restaurant chinois. Plongeur, puis videur, il va peu à peu gravir les échelons pour devenir chauffeur et homme de main d’un ponte de la mafia chinoise. Sa volonté sans limite et sa force physique lui font rapidement gagner la confiance de ses employeurs qui l’ont surnommé "Crazy Joe".
    En voulant retrouver son ancienne petite amie, Joey découvre qu’elle a été assassinée. Il se jure de tout faire pour la venger. Commence alors pour lui une plongée infernale dans les pires bas-fonds de Londres…


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  • Un très joli film très amusant tant au niveau des situations que des dialogues. hélas, ce film n'a pas eu le succés escompté et c'est dommage car c'est un très bon film. les acteurs sont géniaux!

    scénario: 17/20       acteurs: 17/20    technique: 17/20   note finale: 17/20

    12 ans d'âge

    Charles et Pierrot sont inséparables. Le jour où Charles part en pré-retraite, c’est le bonheur ! Ils vont pouvoir passer encore plus de temps ensemble. Leur devise est claire : « profiter de la vie et rire de tout ». Leur imagination débordante va remplir leurs journées sous le regard tendre et parfois inquiet des femmes de leur vie…


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  • Bof, trop bizarre pour moi. Une histoire bizarre, et n'ayons pas peur des mots à dormir debout. Le réalisateur doit beaucoup se droguer, pas moi, d'où l'incompréhension...

    scénario: 4/20    acteurs: 16/20    technique: 10/20   note finale: 8/20

    Le Congrès

    Robin Wright (que joue Robin Wright), se voit proposer par la Miramount d’être scannée. Son alias pourra ainsi être librement exploité dans tous les films que la major compagnie hollywoodienne décidera de tourner, même les plus commerciaux, ceux qu’elle avait jusque-là refusés. Pendant 20 ans, elle doit disparaître et reviendra comme invitée d’honneur du Congrès Miramount-Nagasaki dans un monde transformé et aux apparences fantastiques…


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  • Une petite déception pour ce film dont j'attendais beaucoup. Pas inintéressant mais je me demande qui a eu la "sublime" idée de situer cette histoire dans le milieu du catch??? les actrices sont géniales mais c'est le sujet qui est un peu crétin.

    scénario: 12/20   actrice: 16/20   technique: 16/20   note finale: 13/20

    Les Reines du ring

    Rose, 30 ans, n’a qu’une idée en tête : renouer avec Mickaël, son fils de 11 ans dont elle a été séparée pendant plusieurs années. Lorsqu’elle découvre la passion de Mickaël, Rose pense avoir trouvé le moyen de briser la glace : elle va monter une équipe de catch avec ses trois collègues caissières.


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  •  Un très beau film nostalgique. Bien joué, bien filmé, bien réalisé et bien écrit, j'ai beaucoup aimé même si c'est très triste et peu optimiste.

    scénario: 16/20      technique: 16/20     acteurs: 16/20    note finale: 16/20

    Pour une femme

    A la mort de sa mère, Anne fait une découverte qui la bouleverse : une photo ancienne va semer le doute sur ses origines et lui faire découvrir l'existence d'un oncle mystérieux que ses parents ont accueilli après la guerre. En levant le voile sur un secret de famille, la jeune femme va comprendre que sa mère a connu un grand amour, aussi fulgurant qu'éphémère…


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  • Ha, le navet de la semaine qui n'ose pas avouer ce qu'il est : un film sur les zombies qui devrait s'intituler "l'attaque zombie" assumer ce qu'il est un film de série Z (comme le titre nous l'indique). C'est nul, ni fait ni à faire. Cela ressemble aux téléfilms débiles qui passent sur les chaînes de la tnt. Nous infliger ça au cinéma est une honte. Brad Pitt doit vraiment avoir besoind 'argent pour avoir tourné dans ce navet. Pour terminer, je dirais que les images de synthèse sont mauvaises et ridicules.

    scénario: 1/20      acteurs: 2/20      technique: 3/20  note finale: 1/20

    World War Z

    Un jour comme les autres, Gerry Lane et sa famille se retrouvent coincés dans un embouteillage monstre sur leur trajet quotidien. Ancien enquêteur des Nations Unies, Lane comprend immédiatement que la situation est inhabituelle. Tandis que les hélicoptères de la police sillonnent le ciel et que les motards quadrillent les rues, la ville bascule dans le chaos...

    Les gens s’en prennent violemment les uns aux autres et un virus mortel semble se propager. Les êtres les plus pacifiques deviennent de redoutables ennemis. Or, les origines du fléau demeurent inconnues et le nombre de personnes infectées s’accroît tous les jours de manière exponentielle : on parle désormais de pandémie. Lorsque des hordes d’humains contaminés écrasent les armées de la planète et renversent les gouvernements les uns après les autres, Lane n’a d’autre choix que de reprendre du service pour protéger sa famille : il s’engage alors dans une quête effrénée à travers le monde pour identifier l’origine de cette menace et trouver un moyen d’enrayer sa propagation…


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  • C'est un film potache mais beaucoup moins débile que ce que je craignais. D'accord, la fin est prévisible mais on passe un très bon moment avec ces deux créatures immatures mais si sympathiques.

    scénario: 16/20       acteurs: 16/20     technique: 16/20    note finale: 16/20

    Les Stagiaires

    Billy et Nick, deux quarantenaires dont les carrières ont été pulvérisées par Internet, repartent à zéro en obtenant un stage chez Google, qui peut-être, débouchera sur un job. En compétition avec des petits génies de l’informatique tout droit sortis de l’école, ils vont devoir prouver qu’ils ne sont pas des dinosaures…


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  •  Une suite très réussie et pleine de surprises. Les dialogues sont aux petits oignons, plein d'humour. Je ne peux en dire plus sans vous dévoiler les nombreuses surprises qui jalonnent le film. J'ai beaucoup ri et je pense que nous aurons le Moi, Moche et Méchgant numéro 3. Gru se lance  dans le commerce de gelée mais vous vous doutez bien que cela ne va pas durer tout le film, ha ha ha

    scénario: 17/20    technique: 17/20   note finale: 17/20

    Moi, moche et méchant 2

    Ayant abandonné la super-criminalité et mis de côté ses activités funestes pour se consacrer à la paternité et élever Margo, Édith et Agnès, Gru, et avec lui, le Professeur Néfario et les Minions, doivent se trouver de nouvelles occupations. Alors qu’il commence à peine à s’adapter à sa nouvelle vie tranquille de père de famille, une organisation ultrasecrète, menant une lutte acharnée contre le Mal à l’échelle planétaire, vient frapper à sa porte. Soudain, c’est à Gru, et à sa nouvelle coéquipière Lucy, que revient la responsabilité de résoudre une série de méfaits spectaculaires. Après tout, qui mieux que l’ex plus méchant méchant de tous les temps, pourrait attraper celui qui rivalise pour lui voler la place qu’il occupait encore récemment.

    Rejoignant nos héros, on découvre : Floyd, le propriétaire du salon Eagle Postiche Club pour hommes et suspect numéro 1 du crime le plus abject jamais perpétré depuis le départ de Gru à la retraite ; Silas de Lamolefès, le super-espion à la tête de l’Agence Vigilance de Lynx, patron de Lucy, dont le nom de famille est une source inépuisable d’amusement pour les Minions ; Antonio, le si mielleux objet de l’affection naissante de Margo, et Eduardo Perez, le père d’Antonio, propriétaire du restaurant Salsa & Salsa et l’homme qui se cache peut-être derrière le masque d’El Macho, le plus impitoyable et, comme son nom l’indique, méchant macho que la terre ait jamais porté.


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  • Un bon thriller avec de nombreux rebondissements mais plus un téléfilm qu'un film de cinéma. Pas mal. Il y avait longtemps qu'on n'avait pas vu Catherine Zeta-Jones qui est toujours aussi belle. A un moment, c'est mal filmé et cela donne le mal de mer.

    scénario: 14/20     technique: 15/20   acteurs: 16/20   note finale: 14/20

    Broken City

    Billy Taggart, un ancien flic reconverti en détective privé tente tant bien que mal de faire tourner son affaire. Le jour où l’homme le plus puissant de New York, le Maire lui confie la mission d’enquêter sur la supposée infidélité de sa femme, il est loin d’imaginer qu’il va se retrouver au coeur d’une vaste machination sur fond de campagne municipale.


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  •  Un thriller très réussi qui fait durer le suspens jusqu'au bout. Les acteurs sont formidables et servent un scénario très réussi.

    scénario: 17/20    acteurs: 17/20    technique: 16/20    note finale: 17/20

    La Marque des anges - Miserere

    A Paris, Lionel Kasdan, commissaire de la BRI à la retraite, enquête sur un meurtre étrange : un chef de chœur a été retrouvé mort dans sa paroisse, les tympans détruits, sans qu'aucun témoin n'ait apparemment assisté à la scène. De son côté, Frank Salek, un agent d'Interpol menacé d'être mis à pied par ses supérieurs à cause de son comportement excessif, traque la piste d'une organisation secrète, spécialisée dans le kidnapping d'enfants. Lorsque Salek apprend la mort du chef de chœur, il pense avoir établi un lien avec sa propre enquête et accepte de faire équipe avec Kasdan. Mais plus l'enquête avance, plus Salek semble perdre pied, comme rattrapé par un secret jusque-là enfoui. Dès lors, les deux hommes vont plonger dans une affaire qui trouve sa source dans les heures les plus sombres de la Seconde Guerre mondiale...


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