•  Déception, c'est aussi nul et vide que "la séparation". La première heure, on voit la vie d'une famille et on s'ennuie ferme. Ensuite, il y a une minuscule histoire prétexte à un peu d'action, mais surtout à beaucoup de blabla. Sans queue ni tête comme comme tous les films de ce réalisateur, ça se termine en queue de poisson. Les acteurs sont moyens: entre celui qui récite un texte qu'il ne semble pas comprendre et les autres qui sont peu inspirés ou qui hurlent, je ne dirais que deux mots: au secours! En plus, l'image est dégueulasse: toute marron, pas belle du tout. les décors sont affreux et les costumes aussi. On dirait un téléfilm ennuyeux des années 70 ou d'Allemagne de l'Est.

    scénario: 3/20    acteurs: 8/20  technique: 10/20   note finale: 5/20

    Le Passé

    Après quatre années de séparation, Ahmad arrive à Paris depuis Téhéran, à la demande de Marie, son épouse française, pour procéder aux formalités de leur divorce. Lors de son bref séjour, Ahmad découvre la relation conflictuelle que Marie entretient avec sa fille, Lucie. Les efforts d'Ahmad pour tenter d'améliorer cette relation lèveront le voile sur un secret du passé.

     


    votre commentaire
  • Une Histoire à dormir debout et j'avoue que je ne suis pas resté jusqu'à la fin. Soit disant une comédie romantique entre un homme et une femme qui sont sur deux planètes différentes etc... ça prend la tête et c'est bizarre. Remarquez, c'est un film de science fiction.

    scénario: 5/20   acteurs: 10/20  technique: 12/20   note finale: 5/20

    Dans un univers extraordinaire vit un jeune homme ordinaire, Adam, qui tente de joindre les deux bouts dans un monde détruit par la guerre. Tout en luttant pour avancer dans la vie, il est hanté par le souvenir d’une belle jeune fille venant d’un monde d’abondance : Eden. Dans cet univers, son monde se trouve juste au-dessus de celui d’Adam - si près que lorsqu’il regarde vers le ciel, il peut voir ses villes étincelantes et ses champs fleuris. Mais cette proximité est trompeuse : l’entrée dans son monde est strictement interdite et la gravité de la planète d’Eden rend toute tentative extrêmement périlleuse.


    votre commentaire
  • Suite à une erreur de salle, j'ai vu ce film consternant et plein de testostérone à l'histoire à dormir debout. C'est nul sans intérêt, l'histoire est embrouillée et ça castagne. c'est bien filmé et les acteurs sont bien musclés. NAVRANT!

    scénario: 2/20          technique: 16/20        acteurs: 16/20        note finale: 6/20

    G.I. Joe : Conspiration

    Après avoir été trahie et décimée par une organisation terroriste, l’équipe des GI Joe réalise que le gouvernement a été infiltré et que notre monde est au bord de la destruction. Sans alliés, sans renforts et sans personne à qui se fier, Roadblock et ses GI doivent identifier l’ennemi pour tenter de sauver notre civilisation. Ils font alors appel à celui qui a donné son nom à leur corps d’élite : Joe Colton.


    votre commentaire
  • Le néant du cinéma: on s'ennuie d'un bout à l'autre de ce film inutile, bavard, trop long etc... c'est nul Quand on pense qu'il a été fait par le roi de l'humour d'Hollywood, on a peur... Il faudrait à la limite, refaire le montage et enlever une heure de film pour rendre le tout dynamique. Il y a tant de scènes inutiles.  Mais c'est bien filmé.

    scénario: 2/20      acteurs: 10/20     technique: 16/20    note finale: 5/20

    40 ans : mode d'emploi

    Seul homme à la maison, Pete est marié depuis des années à Debbie avec qui il a eu deux filles, Charlotte et Sadie, âgées de 8 et 13 ans. Pete aura bientôt 40 ans et le bilan est rude : Unfiltered Records, la maison de disques indépendante qu’il a créée, bat de l’aile, son père Larry, qui a récemment, et artificiellement, engendré des triplés, compte éhontément sur son soutien financier pour nourrir cette nouvelle famille, et à la maison, la vie n’est pas non plus un long fleuve tranquille. Le quotidien avec Debbie et les filles est une série de conflits et de complications sans fin. Quant à Debbie, elle a ses propres difficultés professionnelles et filiales. Elle essaie opiniâtrement d’être une épouse et une mère parfaite, mais elle a un mal fou à négocier le virage de la quarantaine. Et pour couronner le tout, leur aînée est en pleine crise de puberté. Pete et Debbie ont atteint l’âge où le pardon, à eux et aux autres, et le lâcher-prise sont des conditions sine qua non pour parvenir à profiter du reste de leur vie... en évitant d’en passer par le meurtre.


    votre commentaire
  • Nul. Un long clip qui n'illustre aucune chanson. pas de scénaio non plus. des acteurs livrés à eux-mêmes et un cliché chasse l'autre... Bref, c'est totalement raté. Les jeunes, se droguent, font la fêtent et font l'amour toute la journée quand ils ne font pas d'activités encore plus illégales. Une vague histoire à dormir debout. tout ce la n'est que le prétexte pour montrer des JF nues ou en maillot en train de se droguer ou de faire l'amour. Pathétique.

    scénario: 2/20        acteurs: 2/20   technique: 2/20   note finale: 2/20

    Spring Breakers

    Pour financer leur Spring Break, quatre filles aussi fauchées que sexy décident de braquer un fast-food. Et ce n’est que le début… Lors d’une fête dans une chambre de motel, la soirée dérape et les filles sont embarquées par la police. En bikini et avec une gueule de bois d’enfer, elles se retrouvent devant le juge, mais contre toute attente leur caution est payée par Alien, un malfrat local qui les prend sous son aile…


    votre commentaire
  •  Haaaaaaaaa, je me suis encore fait avoir! Vous comprenez, j'adore le cinéma israélien, sauf Amos Gitaï mais comme j'ai toujours l'espoir qu'il fera un bon film, je vais voir les navets qu'il sort et je regrette. Là encore, il n'a pas failli à sa réputation: foutage de gueule! Mal filmé, mal joué pour ce qui est joué, sans queue ni tête, on filme pour passer le temps et se moquer du spectateur. Je me souviens de Kippour, c'était d'un chiant. Ce film aussi: ni fait, ni à faire. A oublier! Et ne plus jamais aller voir les navet de ce pauvre Gitaï qui est fait pour faire des films comme moi aller dans l'espace.

    scénario: 1/20 (il n'y en a pas)   acteurs: 2/20 (mi-doc, mi-fiction)   technique: 2/20 (parce qu'en plus techniquement, c'est mauvais) donc note finale: 1/20

    Lullaby to My Father

    Le film entrelace événements historiques et souvenirs intimes. J’observe la façon dont l’architecture représente les transformations de la société et ceux qui donnent forme à cette architecture. Nous suivons le parcours de Munio, mon père, né en 1909 en Silésie, en Pologne, fils d’un métayer d’un junker prussien. A l’âge de 18 ans, Munio part à Berlin et à Dessau pour aller rencontrer Walter Gropius, Kandinsky et Paul Klee au Bauhaus. En 1933, le Bauhaus est fermé par les nazis, qui accusent Munio de trahison envers le peuple allemand. Munio est emprisonné, puis expulsé à Bâle. Il part pour la Palestine. A son arrivée à Haïfa, il entame une carrière d’architecte et il adapte les principes européens modernistes au Moyen Orient.

     


    votre commentaire
  • Groose merde à tous les niveaux. Le néant absolu. d'habitude, même dans les filmes les plus nuls, il y a quelque chose de réussi: soit le jeu des acteurs, soit la technique, soit le scénario. Et bien, ici, c'est mal filmé, il n'y a pas de scénario et les acteurs sont nuls. Quand on pense que cette merde a été bien distribuée alors que des films réussis comme "After" n'ont pas été distribués correctement, c'est honteux. Ce qui me console c'est que dés mercredi prochain, cette merde ne sera plus à l'affiche.

    scénario: 0/20   acteurs: 0/20   technique: 0/20   note finale: 0/20

     

    Pas très normales activités

    Une maison isolée, un jeune couple, un vidéaste pervers, un muet. Le tout donnant lieu à des activités normales... mais pas très !


    votre commentaire
  • Il y a deux choses qui m'agacent dans les films qui se passent chez les pauvres: les acteurs sont laids et l'image est dégueulasse. Ce film ne déroge pas à la règle. Comme si, telle une fatalité, en étant pauvre, on était aussi forcément abrutis, laid et grossier. Et pourquoi l'image est-elle moche? on se le demande. le scénario de ce film n'est déjà pas terrible, mais en plus, les acteurs sont hideux et leurs personnages complètement débiles. Cela fait beaucoup. Un peu trop même.  A éviter!

    scénario: 2/20    acteurs: 6/20   technique: 10/20   note finale: 8/20

    Mon père va me tuer

    Palerme, les années 70. La famille Ciraulo vit dans un quartier misérable de la ville. Suite à la mort de leur fille, tuée lors d’un règlement de compte, la famille découvre qu’il existe un fonds d’indemnisation des victimes de la Mafia… Le père décide alors d’investir dans une luxueuse voiture : plus qu’un symbole de richesse, elle deviendra l’instrument de leur défaite et de leur ruine.


    votre commentaire
  • Alors là dans la nullité, il y a du lourd! C'est d'un ennui rare. C'est nul, c'est moche, le scénario est débile. Tout juste une série z. 

    scénario1/20  acterus: 5/20  technique: 16/20  note finale: 2/20

    Cogan : Killing Them Softly

    Lorsqu’une partie de poker illégale est braquée, c’est tout le monde des bas-fonds de la pègre qui est menacé. Les caïds de la Mafia font appel à Jackie Cogan pour trouver les coupables. Mais entre des commanditaires indécis, des escrocs à la petite semaine, des assassins fatigués et ceux qui ont fomenté le coup, Cogan va avoir du mal à garder le contrôle d’une situation qui dégénère…

    Après L'Assassinat de Jesse James par le lâche Robert Ford (où jouait déjà Brad Pitt), superbe western lyrique à l'atmosphère victorienne, le néo-zélandais Andrew Dominik réalise pour son troisième film un polar lui aussi très stylisé mais au récit nettement plus dense et rythmé, explorant à nouveau avec un regard décalé l'Amérique et ses mythes. On pourrait convoquer les influences de Tarentino pour les dialogues surréels, des Cœn pour le comique de situations absurdes, de Scorsese pour sa description violente de la mafia, et même de James Gray pour la mise en scène et en particulier l'usage très classe des ralentis dans les séquences de fusillades. Mais Andrew Dominik, plus qu'une synthèse du Panthéon du polar moderne, réalise ici le premier polar de l'Amérique en crise, un remix du genre au même titre que la magnifique reprise par les Fugees de Killing me softly with his song, connue pour son interprétation par Roberta Flack (le titre original de Cogan avait quand même plus de gueule…).

    L’action se passe au moment de la crise des subprimes, à la veille du duel Obama-McCain de 2008. On entend par moments les échos lointains des discours politiques défendant les valeurs américaines du travail, de la cohésion de la communauté, totalement absentes du décor, celui d'une Amérique dévastée : friches industrielles, bicoques délabrées laissées à l'abandon, rues désertées où seuls quelques junkies osent s'aventurer, à la recherche fébrile d'un autre plan minable pour se faire quelques dollars. L'intrigue est simple : deux losers braquent un tripot clandestin tenu par Ray Liotta, déjà soupçonné par ses chefs de les avoir entubés sur une affaire similaire. Nos deux petits malins espèrent pouvoir lui faire porter le chapeau, car ils savent bien que sinon, la mafia les pourchassera jusqu'à la tombe. Bien sûr, ils ne seront pas si malins que ça…
    Cogan (Brad Pitt), tueur professionnel, est embauché par Richard Jenkins (génial en mafieux désabusé) pour démêler cette histoire et faire le ménage. La scène d'embauche donne lieu à un dialogue savoureux. Jenkins négocie pour réduire les frais, rechignant à faire faire le job par deux tueurs comme le demande Cogan : la pègre n'est plus ce qu'elle était, c'est la crise aussi pour elle, reflétant la désespérance des classes moyennes dans un pays à l’agonie. Le deuxième tueur que Cogan va faire venir, c'est James Gandolfini, alcolo dépressif, qui bien sûr nous rappelle Tony Soprano et toute la thématique de la mafia désemparée à notre époque de perte de repères et de valeurs.

    Sans dévoiler davantage ce scénario brillant, inventif, à la fois drôle et sombre, impossible de ne pas citer la réplique finale de Brad Pitt : « L’Amérique n’est pas un pays, c’est un business. »
    Alors que s'apprête à déferler une horde de nains et de hobbits barbares aux pieds poilus dirigés par un néo-zélandais hirsute, que Disney vient de racheter la franchise Star Wars et que d'aucuns craignent un retour des Ewoks sur les écrans, que la Statue de la Liberté a les pieds dans l'eau après le passage de l'ouragan Sandy, plongeant New York dans l'obscurité… un autre néo-zélandais débarque aux USA pour terminer le job.


    votre commentaire
  • Vous savez pourquoi ce film fait un gros bide? parce que c'est un GROS navet!! Sans queue ni tête, ce navet est d'un ennui mortel. C'est peu de dire que c'est ennuyeux.

    scénario: 02/20  technique: 10/20  acteurs: 5/20  note finale: 1/20

    Après mai

    Région parisienne, début des années 70.
    Jeune lycéen, Gilles est pris dans l’effervescence politique et créatrice de son temps. Comme ses camarades, il est tiraillé entre un engagement radical et des aspirations plus personnelles.
    De rencontres amoureuses en découvertes artistiques, qui les conduiront en Italie, puis jusqu’à Londres, Gilles et ses amis vont devoir faire des choix décisifs pour trouver leur place dans une époque tumultueuse.

    Avec Après Mai, Olivier Assayas nous offre une belle fresque autobiographique, qui nous promène de France en Italie et à Londres, et qui fait revivre avec beaucoup de justesse et d'intelligence le temps de son adolescence : celui des années 70. Période foisonnante qu'il avait déjà abordée dans L'Eau froide (1994) et dans son récent Carlos. « Ce n'est plus le moment authentiquement révolutionnaire de Mai 68, dit le réalisateur, mais son sillage. » Le fond de l'air est rouge, et le petit groupe de terminales d'un lycée de banlieue suivi par Assayas est ultra-politisé. La jeunesse d'aujourd'hui a sans doute du mal à imaginer ce mélange détonant d'idéologie confuse et d'action fébrile, distribution de tracts, coopération à la presse militante gauchiste, manifs, tentatives désordonnées de coordonner des groupuscules ou de se greffer sur des occupations d'usine. « L'obsession de la politique était partout, se souvient Assayas, elle formait une espèce de sur-moi qui pouvait être étouffant. Il y a quelque chose de violent et de triste dans le gauchisme. Mais en même temps, la jeunesse avait foi dans le futur, dans la transformation possible de la société. Est-ce dépassé aujourd'hui ? Aux jeunes de se poser la question, de confronter leur jeunesse à la nôtre. »

    Le film commence en 1971, avec un fait réel et violent : la manifestation interdite en faveur de leaders de la Gauche Prolétarienne emprisonnés, spectaculairement réprimée par des CRS à moto. Sans transition, on se retrouve dans un cours de philo avec une citation de Pascal : « Entre nous et le ciel, l'enfer et le néant, il n'y a donc que la vie, qui est la chose du monde la plus fragile. » C'est cette chose fragile que met en scène Olivier Assayas, feu et flamme de la jeunesse qui voudrait embraser le monde, mais qui cherche son souffle, s'éteint parfois. En même temps qu'une peinture de l'époque, Après Mai est un film d'apprentissage, où les personnages cherchent leur chemin personnel à travers l'engagement politique certes, mais aussi les sentiments amoureux, les études et le choix d'un métier.
    Gilles (Clément Métayer) est le plus proche d'Olivier Assayas. Il peint, il dessine, bientôt il deviendra cinéaste. Il baigne dans la contre-culture musicale et politique du temps, qui l'oppose à son père, scénariste et réalisateur de la télévision « bourgeoise ». Mais le fait qu'il vienne d'un milieu cultivé, et qu'il ait une vocation artistique, lui donne des outils de réflexion critique sur l'embrigadement politique et le militantisme. Il lit Les Habits neufs du président Mao de Simon Leys, premier et impitoyable dénonciateur du maoïsme, qu'un de ses copains gauchistes censurerait volontiers : un agent de la CIA, dissimulé sous un faux nom. Mais surtout, Gilles est d'abord artiste, ce qui signifie aller vers la solitude plutôt que vers la multitude, écouter ses voix intérieures plutôt que des mots d'ordre.

    Cette distance critique, qui est celle du cinéaste autant que du personnage, jointe à une connaissance précise des codes et des comportements de la contre-culture, donne à Après Mai une exactitude historique et une lucidité intime très remarquables. On voit vraiment surgir une génération. « Aujourd'hui, dit Assayas, on a tendance à représenter une adolescence rigolarde, allant de fête en drague. Ce n'est pas le sentiment que j'ai gardé de la mienne, où l'amour de la vie s'alliait à la mélancolie et au sérieux. »


    votre commentaire
  •  Un pur navet. Ennuyeux, sans queue ni tête.

    scénario: 2/20    technique: 2/20   acteurs: 10/20   note finale: 4/20

    Une famille respectable

    Arash est un universitaire iranien qui vit en Occident. Il retourne donner des cours à Chiraz où vit sa mère, loin de Téhéran. Entraîné dans un tourbillon d’intrigues familiales et financières, il replonge dans un pays dont il ne possède plus les codes. A la mort de son père, découvrant ce qu’est devenue sa "famille respectable", il est contraint de faire des choix.

    C’est à la fois un thriller psychologique prenant et une plongée fascinante dans l’absurdité d’un pays miné par ses contradictions, son passé non assumé, une corruption qui gangrène tous les étages de la société. C'est cette réalité que découvre, avec les yeux d’un candide horrifié, Arash, jeune universitaire qui vit depuis plus de vingt ans en Occident où il a fait ses études et qui est revenu à Chiraz, loin de Téhéran, pour soutenir sa mère tandis que son père se meurt et pour donner des cours à la fac.
    Arash se heurte à la difficulté d’enseigner dans un pays où l’on ne peut pas utiliser n’importe quel texte, beaucoup étant censurés, où l’on ne peut pas aborder l’histoire iranienne de n’importe quelle façon, les censeurs veillant là encore au grain. Il affronte aussi une histoire familiale compliquée. Sa mère a quitté depuis longtemps son père qui menait une double vie avec une autre femme et un autre enfant, un père à qui son épouse n’a jamais pardonné la mort de son fils cadet, tombé en martyr lors de la guerre Iran/Irak, poussé par son père à s'engager. Le père est donc mourant et, rongé par le remords, il a décidé de léguer à son ex-femme et à Arash sa fortune, en grande partie constituée de l’indemnité de guerre de son fils défunt. Mais la mère refuse obstinément cet argent souillé selon elle par le sang de son cadet. Arash rencontre alors son demi-frère Jafar, devenu un homme d’affaires redoutable, son épouse Zoreh, ancienne compagne de jeux d’enfance d’Arash et devenue depuis une femme très pieuse, obsédée par la pureté, et enfin son neveu Hamed qui semble vouloir l'aider dans toutes ses démarches et réconcilier l’ensemble de la famille.

    Mais tous ces gens ont ils de si bonnes intentions envers Arash ? Comment expliquer le meurtre mystérieux du notaire de famille ? Pourquoi Zoreh semble -t-elle détester son fils, nettoyant tout derrière lui de manière compulsive ? Pourquoi Hamed est-il si empressé de l’aider dans ses démarches pour obtenir son passeport qui lui permettra de revenir en France ?
    Massoud Bakhshi sait parfaitement distiller l’ambiance délétère qui s’installe au cœur de la famille. Il décrit bien le cheminement d’Arash qui, arrivé pour repartir le plus vite possible, découvre peu à peu, avec inquiétude mais aussi avec passion, la violence et la complexité de la société iranienne dont il avait peu d’idées en tant qu’Iranien de l’étranger et dont il comprend peu à peu qu’elle est aussi sienne. Le réalisateur installe son personnage via des flashbacks intelligemment répartis dans ce passé cruel, cette enfance puis cette adolescence passées durant la guerre Iran/Irak qui prit à chaque famille son lot de martyrs. Une guerre qui marqua irrémédiablement toute une génération, celle justement de Massoud Bakhshi.
    Une autre force du film est la place qu’il réserve aux femmes. Alors que les hommes sont souvent des lâches, des salauds ou des victimes plus ou moins résignées, les femmes sont là et bien là, figures de la résistance : la mère d’Arash, bloc de dignité et de ténacité que l’argent ne peut corrompre, Zoreh, qui s’est réfugiée dans la piété pour refuser d’être complice de l’avidité et de la duplicité de ses proches, et même la jeune Hoda, nièce d’Arash, qui représente le pendant positif d’Hamed, une jeunesse qui aspire à la vie et à l’ouverture. Et c’est bien vers cette ouverture que se tourne peu à peu Arash, et le film, parti pour être sombre, devient au final porteur d’un bel espoir…


    votre commentaire
  • Si vous aimez Derik, vous allez adorer ce navet! Ce film est aussi passionnant qu'un veil épisode de Derik. Les critiques en ont fait tout un pataques parce que Nicole Kidman tortille les fesses... franchement, ça ne le vaut pas. NK est maquillée à la truelle dans ce navet: vous verrez, elle est verte! La base dun bon film est: le scénario, le scénario et le scnéario et celui de ce film est bien mine. Je n'ose vous préciser que les dialogues sont insignifiants. C'est nul, sans intérêt. 

    On imagine ce que Nicole Kidman a du penser en lisant le scénario trash de ce film: elle allait enfin avec ce rôle, reconquérir son statut de grande actrice et faire oublier sa chirurgie esthétique. C'est tout le contraire qui se produit. Paumée, elle l'est complètement dans ce film où on ne voit que son visage: boursouflé par endroits, trop maquillé tout le temps et quasi statique. On nous promettait un film sulfureux, on se retrouver avec un polar raté, souvent ridicule.

    scénario: 1/20   technique: 16/20  acteurs: 1/20   note finale: 1/20

     

    1969, Lately, Floride. Ward Jansen, reporter au Miami Times, revient dans sa ville natale, accompagné de son partenaire d’écriture Yardley Acheman. Venus à la demande de Charlotte, femme énigmatique qui entretient une correspondance avec des détenus dans le couloir de la mort, ils vont enquêter sur le cas Hillary Van Wetter, un chasseur d’alligators qui risque d’être exécuté sans preuves concluantes. Persuadés de tenir l’article qui relancera leur carrière, ils sillonnent la région, conduits par Jack Jansen, le jeune frère de Ward, livreur du journal local à ses heures perdues. Fasciné par la troublante Charlotte, Jack les emmène de la prison de Moat County jusqu’aux marais, où les secrets se font de plus en plus lourds. L’enquête avance au cœur de cette Floride moite et écrasante, et révèle que parfois, la poursuite de la vérité peut être source de bien des maux…

    Le film est né du rapprochement de deux auteurs et de deux univers. Il était probable que la collaboration de Lee Daniels, auteur doublement oscarisé, que nous avons découvert avec le très déroutant Precious, et l’auteur de romans noirs Pete Dexter, déja adapté au cinéma avec Rage (1991 avec Dennis Hopper et Ed Harris) ou à la télévision avec la série Deadwood, n’allait laisser personne indifférent. On peut sans doute expliquer le scepticisme de certains critiques par le fait que peu d’entre eux ont lu le bouquin de Dexter dont est tiré le film. Pourtant rarement une adaptation n’avait rendu ainsi l’atmosphère et la couleur d’une écriture. Ou peut-être Cronenberg quand il adaptait Crash. Une autre œuvre sombre, sensuelle et dérangeante. Mais la comparaison s’arrête là, autant Crash était froid et minéral, autant Paperboy est chaud, intense et résolument animal. Le metteur en scène nous invite à une promenade nonchalante dans la Floride profonde de la fin des années 60. Ward Jensen (Matthew McConaughey), journaliste au « Miami Times » en mal d’adrénaline professionnelle, revient dans sa petite ville natale pour enquêter sur le meurtre d’un shérif, prétendument assassiné par un chasseur d’alligators vivant dans les marais putrides du coin (John Cusack). Sur place, Ward retrouve son jeune frère Jack (Zac Efron), rongé par ses frustrations érotiques, et l’invraisemblable Charlotte (Nicole Kidman), qui entretient une correspondance sentimentalo-pornographique avec le présumé meurtrier, menacé par la chaise électrique.

    Sur cet argument, Lee Daniels, très loin des figures imposées du film judiciaire, trousse une chronique poisseuse, décalée, ennuyeuse et cocasse où il se passionne pour ses protagonistes, tous barrés, et tire en passant un portrait acerbe et amusé de l’Amérique de l’époque, embarrassée par le racisme et ce que l’on n’appelait pas encore le « politiquement correct ». Lee Daniels s’intéresse surtout aux désirs de ses personnages. Aux désirs charnels évidemment, le film charrie avec lui une tension érotique permanente, mais aussi aux désirs sociaux et politiques de chacun des protagonistes. Le film, avec ses outrances assumées, tire le meilleur profit de ses acteurs et a la bonne idée de ne pas en rajouter côté « performances », mention spéciale à Nicole Kidman, qui incarne avec une relative sobriété son héroïne sur-maquillée qui pense avant tout avec son cul.

    Au final, Paperboy ne se résume pas uniquement à son intrigue, mais dresse le portrait haut en couleurs d’une société au sortir des années 60, après l’avènement des droit civiques, peinant à éliminer les scories d’un racisme culturel qui avait pignon sur rue, et celui d’individus qui découvraient une sexualité débridée. Le film par sa singularité, son ennui et sa bizarrerie peuvent séduire ou désarçonner mais en aucun cas ne vous laissera de marbre. Entre Tennessee Williams et John Waters, entre film noir, comédie trash et thriller,  Paperboy est un vrai plaisir de cinoche comme peu d’auteurs osent nous en offrir.


    votre commentaire
  • On sait comme il est difficile de monter un film alors quand le résultat est mitigé, c'est toujours un crève-coeur d'écrire une mauvaise critique. Concernant ce film, je dois dire qu'hélas, j'ai rarement vu quelque chose d'aussi ennuyeux et insipide. Une tranche de vie dans la vie d'une famille strictement sans intérêt: le téléfilm de ce soir " en apparence" était un chef d'oeuvre comparé à "au galop". Aucun intérêt. le scanrio est approximatif, les acteurs jouent mal et il ne se passe rien, il n'y a aps de suspens. Ce film, c'est le néant. C'est toutefois bien filmé même si cela n'a si queue ni tête, si la plupart des scènes sont gratuites, un peu comme si le réalisateur faisait du remplissage. C'est triste.

    scénario: 2/20   acteurs: 2/20  technique: 16/20   note finale: 4/20

    Au galop

    Ada avait construit sa vie, elle en était contente, en tout cas elle croyait l'être. Elle avait l'air heureuse en couple, avait eu un enfant, prévoyait même de se marier, et pof... elle était tombée sur Paul... Un écrivain en plus, ce Paul, et qui vit seul avec sa fille, a une mère des plus envahissantes, et qui a la mauvaise idée de perdre son père alors même que cette histoire commence à peine... La vie s'accélère. Il était temps.


    votre commentaire
  • Film débile, acteurs très mauvais (à leur décharge, ce sont des vrais prisonniers et non des acteurs. mais ils n'ont pas été dirigés ), très mal filmé et en noir et blanc. Je n'aime pas le cinéma expérimental. Ce film est plus que nul, on s'ennuie à mourir. J'avoue que je n'ai pas pu attendre la fin pour quitter la salle de cinéma...

    scénario: 2/20      acteurs: 1/20   technique: 3/20      note finale: 1/20

    César doit mourir

    Théâtre de la prison de Rebibbia. La représentation de "Jules César" de Shakespeare s’achève sous les applaudissements. Les lumières s’éteignent sur les acteurs redevenus des détenus. Ils sont escortés et enfermés dans leur cellule.
    Mais qui sont ces acteurs d’un jour ? Pour quelle faute ont-ils été condamnés et comment ont-ils vécu cette expérience de création artistique en commun ? Inquiétudes, jeu, espérances...
    Le film suit l’élaboration de la pièce, depuis les essais et la découverte du texte, jusqu’à
    la représentation finale.
    De retour dans sa cellule, "Cassius", prisonnier depuis de nombreuses années, cherche du regard la caméra et nous dit : "Depuis que j’ai connu l’art, cette cellule est devenue une prison."


    votre commentaire
  • Vous voyez le néant? et bien ce navet est pire que du néant. Je sais cela paraît incroyable. Scénario débile, situations improbables, actrices qui s'ennuient autant que le pauvre spectateur etc...

    scénario: 1/20       technique: 16/20   acteurs:10/20  note finale: 3/20

    Bachelorette

    Regan, Gena et Katie sont inséparables depuis le lycée. Très cyniques, elles sont stupéfaites d'apprendre que leur amie Becky, adorable mais rondouillette, est la première d'entre elles à se marier !
    Alors que Gena et Katie sont toujours célibataires, Regan harcèle Frank, avec qui elle sort depuis quatre ans, pour qu'il la demande en mariage. Lorsque Becky demande à Regan, particulièrement névrosée, de l'aider à préparer la cérémonie et d'être sa demoiselle d'honneur, celle-ci est furieuse.
    Six mois plus tard, la veille du mariage, Regan, très remontée, tyrannise le personnel et les invités, tandis que Katie et Gena s'apprêtent à faire la fête. Mais tout va de travers. Au moment où les trois amies tentent de noyer leur chagrin au bar, elles tombent sur Clyde, petit ami de Gena à l'époque du lycée. Or, il se trouve qu'ils s'aiment encore… Plus tard, pendant la répétition générale du dîner, Gena, très éméchée, porte un toast et suscite le malaise en racontant que Becky était boulimique quand elle était ado. Et quand Katie oublie d'annuler un strip-teaseur qu'elle avait engagé pour l'enterrement de vie de jeune fille, la mariée s'emporte ! Furieuse, elle demande aux trois amies de ne venir au mariage que si elles ne boivent pas et se comportent en adultes. Ce qui n'empêche pas Regan, Gena et Katie de faire une fête d'enfer toute la nuit jusqu'au lendemain, jour de la cérémonie…


    1 commentaire
  • L'immense talent de Fabrice Lucchini et de Kristin Scott-Thomas n'arrive pas à sauver ce scénario sans queue ni tête.  Ce navet est très ennuyeux. Une horreur! Enorme déception.

    scénario: 1/20     technique: 16/20    acteurs: 6/20  note finale: 2/20

    Dans la maison

    Un garçon de 16 ans s'immisce dans la maison d'un élève de sa classe, et en fait le récit dans ses rédactions à son professeur de français. Ce dernier, face à cet élève doué et différent, reprend goût à l'enseignement, mais cette intrusion va déclencher une série d'événements incontrôlables.

    On avait laissé Ozon il y a deux ans avec l'adaptation très réussie d'un succès du boulevard français (Potiche, et déjà Fabrice Luchini). On le retrouve ici avec une autre adaptation mais qui renoue cette fois avec les atmosphères plus troubles de ses débuts, notamment Gouttes d’eau sur pierres brûlantes (2000) ou encore Swimming pool (2003), qui imposaient la personnalité d'un réalisateur atypique et discret, un de ceux – finalement pas si nombreux – qui imprègnent de leur vision très personnelle chacun de leurs projets, si différents soient-ils. Avec Dans la maison, Ozon nous livre le récit assez jubilatoire de la relation entre un professeur de français désabusé et un jeune élève très doué pour écrire des histoires plus ou moins inspirées de sa propre vie. Très doué mais aussi un peu pervers, ce n'est sans doute pas le moindre de ses charmes…

    C'est la rentrée des classes pour Germain Germain (difficile de ne pas penser au Humbert Humbert du Lolita de Nabokov), professeur de lettres qui ne se fait plus beaucoup d'illusions sur sa mission de transmission des savoirs aux apprenants, comme on dit maintenant. Un brin cynique, un bon peu défaitiste, il se fait une raison aussi quand on lui apprend qu'en cette nouvelle année scolaire, son lycée Gustave Flaubert – son idole, le maître absolu à ses yeux, auteur du chef d'œuvre ultime de la littérature française : Madame Bovary – a été choisi pour mener une expérience pilote qui dit que les élèves, pardon les apprenants, porteront tous des uniformes façon anglo-saxonne : discours très drôle du proviseur Jean-François Balmer…
    Comme chaque année et dès le premier cours, Germain donne une petite rédaction à ses élèves pour avoir une idée du niveau de sa classe. Le sujet : racontez votre dernier week-end. Alors qu'il corrige les copies et se navre de tant de médiocrité et de vacuité chez des adolescents de seize ans qui n'ont rien d'autre à raconter qu'avoir mangé une pizza et regardé la télé, il tombe sur le texte de Claude Garcia. Le garçon raconte comment, après avoir, depuis un banc dans un parc, observé une maison et ses occupants durant tout l'été, il a élaboré une stratégie pour pouvoir y être invité. Une fois dans la place, sous prétexte d'aider le fils de la famille nul en maths, il raconte l'intérieur, les personnages, le parfum particulier de la femme de la classe moyenne… et il termine par un mystérieux et prometteur « à suivre… ». Interloqué par l'imagination et le style du garçon, Germain va reprendre goût à l'enseignement, prendre Claude sous son aile et l'encourager à poursuivre son récit… mais l'intrusion de Claude dans cette maison de la classe moyenne en même temps que dans la vie de Germain va déclencher une série d’événements incontrôlables.


    1 commentaire
  •  Pire qu'un téléfilm allemand de série Z. C'est au delà du nul. Les acteurs sont excécrables, c'est mal filmé (la caméra part dans tous les sens, certains plans sont flous etc... etc...), le scénario est minable. Cette pauvre Letizia Casta est toujours aussi mauvais actrice et je me demande comment elle trouve encore des metteurs en scène pour lui donner du travail comme actrice: elle est nulle!  C'est une grosse daube et je me demande comment on peut oser présenter une merde pareille au public qui a tout de même droit au respect.

    scénario: 1/20       technique: 1/20    acteurs: 1/20  note finale: 1/20

     

    Do Not Disturb

    Un soir, Jeff débarque sans prévenir chez Ben. Pour célébrer ces retrouvailles et distraire son vieux copain de sa vie rangée, Jeff l'entraîne dans une fête. Sur place, une discussion évoque un festival de porno amateur et l'idée prend vite l'allure d'un pari : Jeff et Ben coucheront ensemble sous l’œil d'une caméra. Ce n'est ni gay ni porno, ce sera de l'Art ! Le lendemain, impossible de se dégonfler. Rien ne les arrêtera, sauf peut-être la femme de Ben, l'hétérosexualité ou certaines questions mécaniques...


    votre commentaire
  • Enorme déception pour ce film qui retrace l'histoire (la déchéance) d'un peuvre type qui devient fou en croyant qu'il va participer à une téléréalité. C'est très mal fait. Et on est encore dans la série "les pauvres dans les films sont toujours laids et idiots". C'est long, mal filmé, le scnéraio n'est pas terrible et on s'ennuie. 

    scénario: 6/20     technique: 6/20  acteurs: 10/20  note finale: 5/20

    Reality

     

    Au cœur de Naples, Luciano est un chef de famille hâbleur et joyeusement exubérant qui exerce ses talents de bonimenteur et de comique devant les clients de sa poissonnerie et sa nombreuse tribu. Un jour, poussé par ses enfants, il participe sans trop y croire au casting de la plus célèbre émission de télé-réalité italienne. Dès cet instant, sa vie entière bascule : plus rien ne compte désormais - ni sa famille, ni ses amis, ni son travail ni même la petite arnaque imaginée par son épouse, qui améliorait un peu leur ordinaire ! Le rêve de devenir une personnalité médiatique modifie radicalement son destin mais aussi celui de tout son entourage...

    Matteo Garrone nous avait impressionnés avec Gomorra, plongée saisissante au cœur de la mafia napolitaine. Et il revient avec Reality, un film tout aussi puissant mais sur le registre de la comédie, qui a, comme Gomorra, remporté le Grand Prix du jury au Festival de Cannes, le petit frère de la Palme d’Or. Le sujet est donc plus léger en apparence : la télé-réalité. Mais légèreté ne veut pas dire inconsistance : Garrone dresse le constat implacable d’une société gouvernée par le culte de l’image matraqué par les télévisions. Le film navigue entre illusion et réalité et s’arrête sur un personnage happé par la machine à décerveler. Entre conte de fées (la musique d’Alexandre Desplats y est pour beaucoup) et comédie grinçante, le film s’inscrit en plein dans la grande tradition de la comédie italienne.

    Ça commence par un long plan séquence, la caméra vole, plane, tourne, virevolte tout en suivant une cérémonie de mariage démesurée. Les mariés arrivent en carrosse, devant les grilles d’un château qui ressemble plus à celui de Barbie qu’au palais de la reine d’Angleterre. Et au moment où la fête bât son plein, un invité surprise fait une apparition aussi brève que fracassante : Enzo, gagnant d’un jeu de télé-réalité, est acclamé tel une star. Plus besoin d’avoir un quelconque talent pour être adulé du public et payé pour apparaître pendant un mariage huppé ! Dans un pays dirigé pendant très longtemps par un patron de télé-poubelle, pas étonnant… Ce n’est pas forcément mieux chez nous, me direz-vous, et vous aurez raison. L’histoire est très ancrée dans la réalité italienne, mais on pourrait la transposer dans n’importe quel pays « développé »…
    Après cette fantastique scène d’ouverture, la caméra s’arrête sur Luciano, poissonnier, infatigable tchatcheur et toujours de bonne humeur. Il use de son don naturel de comique pour faire marcher son petit commerce, au grand bonheur des habitués ; et de sa famille, qui profite aussi de sa gouaille et de son humour à la maison. Poussé par ses enfants à participer au casting de « Il Grande Fratello », l’émission phare de télé-réalité en Italie, Luciano finit par accepter, en n’espérant pas grand chose. Et puis, porté par tout son quartier qui croit en ses chances, il se prend au jeu, devient euphorique, avant d’être saisi par l’anxiété en attendant la réponse de la chaîne. Ensuite la paranoïa s’installe, il est persuadé que les gens de l’émission viennent l’observer en cachette pour vérifier s’il est un candidat valable…

    L’utilisation de longs plans séquences permet de laisser libre court au formidable jeu d’un acteur complètement hors-norme : Aniello Arena, véritable tornade qui emporte tout sur son passage, est un détenu condamné à perpétuité pour meurtre depuis ses dix-huit ans, qui fait partie depuis 2001 d’une troupe de théâtre, la Compania della Fortezza, au sein de la maison d’arrêt de Volterra, en Toscane.
    Et à plusieurs reprises, cette mise en scène immersive nous place dans la position des spectateurs-voyeurs de ces émissions de télé-réalité, démontrant par l’absurde le vide sidéral de ces programmes qui fleurissent pourtant sur tous les écrans. Mais comme disait l’autre, la télévision n’est que le reflet de notre société… Et (mauvais) signe que les temps ont changé, les mythiques studios de cinéma de Cinecitta, où les plus grands cinéastes, pas seulement italiens, ont tourné, sont d’abord devenus le lieu où l’on enregistre « Il Grande Fratello » et toutes les émissions de télés débiles made in Italy… avant d’être aujourd’hui menacés par la spéculation immobilière…


    1 commentaire
  • Une grosse daube, on s'ennuie et c'est nul. Les acteurs sont mauvais, l'image est crade et on n'y croit pas une secpnde.

    scénario: 2/20      acteurs: 5/20   technique: 5/20   note finale: 3/20

    The secret

    À Cold Rock, petite ville minière isolée des Etats-Unis, de nombreux enfants ont disparu sans laisser de traces au fil des années, et n’ont jamais été retrouvés. Chaque habitant semble avoir sa théorie sur le sujet mais pour Julia (Jessica Biel), le médecin dans cette ville sinistrée, ce ne sont que des légendes urbaines. Une nuit, son fils de 6 ans est enlevé sous ses yeux par un individu mystérieux. Elle se lance à sa poursuite sachant que si elle le perd de vue, elle ne reverra jamais son enfant.


    1 commentaire
  •  Deux mots: grosse connerie! Et en plus c'est d'un ennui, mais d'un ennui...

    scénario: 1/20     acteurs: 1/20  technique: 16/20  note finale: 1/20

    les Kairas

    Mousten, Abdelkrim et Momo sont trois potes d’enfance qui ont toujours vécu dans leur cité de Melun. Casquettes enfoncées sur la tête et baskets aux pieds, tous les trois ont le même problème : désespérément célibataires, ils passent leurs journées à laisser s’écouler leurs vies, sans motivation ni ambition. Jusqu’au jour où ils découvrent une annonce dans un magazine porno qui propose un casting pour devenir une « Star du X ». En galère de filles et d’argent, la quête de ce qui leur semble être alors le meilleur métier du monde va se transformer en un parcours initiatique et devenir la plus importante aventure de leurs vies.


    votre commentaire
  • Je n'aime pas ce genre de film, mais on n'est pas à l'abris d'une bonne surprise, qui dans ce cas précis n'a pas eu lieu. c'est nul. Mais il faut préciser que je n'aime aps les films sur le 1/4 monde, les pauvres, vulgaires etc... donc je n'ai pas du tout aimé cette histoire d'un SDF qui apprend tout à son frère devenu récemment SDF. c'est navrant d'avoir fait un film sur un tel sujet. les acteurs sont bons mais le sujet est une horreur.

    scénario: 2/20  acteurs: 16/20    technique: 16/20   note finale: 2/20

    Le grand soir

    Les Bonzini tiennent le restaurant 'la Pataterie' dans une zone commerciale. Leur fils ainé, Not, est le plus vieux punk à chien d'Europe. Son frère, Jean Pierre, est vendeur dans un magasin de literie. Quand Jean Pierre est licencié, les 2 frères se retrouvent. Le Grand Soir, c'est l'histoire d'une famille qui décide de faire la révolution... à sa manière.


    votre commentaire
  • Et le festival de navets continue... Nul, plus nul que nul. Les acteurs sont d'une laideur: c'est normal, les pauvres sont toujours moches dans les films. Une histoire sans aucun intérêt. Je n'ai même pas pu aller jusqu'au bout...On voit peu Kirsten Durst. Quand le scénario est nul, difficile de bien jouer. LOL. Ce film aurait du s'appeler: mortel ennui!

    scénario: 1/20    acteurs: 2/20    technique: 16/20  note finale: 2/20

    Sur la route

    Au lendemain de la mort de son père, Sal Paradise, apprenti écrivain new-yorkais, rencontre Dean Moriarty, jeune ex-taulard au charme ravageur, marié à la très libre et très séduisante Marylou. Entre Sal et Dean, l’entente est immédiate et fusionnelle. Décidés à ne pas se laisser enfermer dans une vie trop étriquée, les deux amis rompent leurs attaches et prennent la route avec Marylou. Assoiffés de liberté, les trois jeunes gens partent à la rencontre du monde, des autres et d’eux-mêmes.


    votre commentaire
  • la pire daube de tous les temps et la concurrence est rude. D'accord, ce n'est pas du tout mon genre de film mais on n'est jamais à l'abris d'une bonne surprise. C'est nul, sans intérêt, bruyant. Des histoires à dormir debout, des trucages visibles à 150km tant ils sont dépassés, bref, c'est ennuyeux et nullissime. On prend vraiment le spectateur pour un niaiseux. Une pure perte de temps.

    scénario: 1/20  acteurs: 1/20  technique: 1/20  note finale: 1/20

    Prometheus

    Une équipe d’explorateurs découvre un indice sur l’origine de l’humanité sur Terre. Cette découverte les entraîne dans un voyage fascinant jusqu’aux recoins les plus sombres de l’univers. Là-bas, un affrontement terrifiant qui décidera de l’avenir de l’humanité les attend.


    votre commentaire
  • Encore un film inutile dont on se demande pourquoi il a été fait si ce n'est pas faire du fric. C'est nul et sans intérêt! Le scénario est vraiment débile, les acteurs mauvais et l'histoire à dormir debout. 

    scénario: 2/20   technique: 16/20    acteurs: 6/20  note finale: 2/20

    Men in Black III

    En quinze ans de carrière chez les Men in Black, l’agent J a vu beaucoup de phénomènes inexplicables… Mais rien, pas même le plus étrange des aliens, ne le laisse aussi perplexe que son partenaire, le sarcastique K.
    Lorsque la vie de K et le destin de la Terre sont menacés, l’agent J décide de remonter le temps pour remettre les choses en ordre. Il va alors découvrir qu’il existe certains secrets de l’univers que K ne lui a jamais révélés. Il est cette fois obligé de faire équipe avec l’agent K, plus jeune, pour sauver la vie de son partenaire, l’agence, et l’avenir même de l’humanité…


    votre commentaire
  • Faut-il être fou pour avoir imaginé une telle connerie? Le maquillage n'a pas du coûter cher. C'est ennuyeux et chiant. Le sel point positif: les trucages des jambes coupées sont très bien faits sur Marion Cotillard. A part ça, on se demande à quoi sert ce film si ce n'est donner envie au public de ne jamais remettre un pied au cinéma. LOL

    scénario: 1/20    acteurs: 2/20  technique: 15/20  note finale: 1/20

    De rouille et d'os

    Ça commence dans le Nord.
    Ali se retrouve avec Sam, 5 ans, sur les bras. C’est son fils, il le connaît à peine. Sans domicile, sans argent et sans amis, Ali trouve refuge chez sa sœur à Antibes. Là-bas, c’est tout de suite mieux, elle les héberge dans le garage de son pavillon, elle s’occupe du petit et il fait beau.
    A la suite d’une bagarre dans une boîte de nuit, son destin croise celui de Stéphanie. Il la ramène chez elle et lui laisse son téléphone.
    Il est pauvre ; elle est belle et pleine d’assurance. C’est une princesse. Tout les oppose.
    Stéphanie est dresseuse d’orques au Marineland. Il faudra que le spectacle tourne au drame pour qu’un coup de téléphone dans la nuit les réunisse à nouveau.
    Quand Ali la retrouve, la princesse est tassée dans un fauteuil roulant : elle a perdu ses jambes et pas mal d’illusions.
    Il va l’aider simplement, sans compassion, sans pitié. Elle va revivre.


    votre commentaire
  • Il faut bien appeler les choses par leur nom: ceci est une grosse MERDE, du foutage de gueule à tous les niveaux... C'est mal filmé: ha il faut voir le trucage raté pour faire croire que la voiture avance... Le scénario tient  en trois mots. Les acterus eux-mêmes ce qu'ils font là. Bref, c'est d'un ennui mortel et je crois vraiment que le réalisateur se fout de notre gueule. NUL!

    Une grosse merde comme seul Cannes en a le secret. Pire que "the tree of life" qui avait eu la palme l'an dernier...

    scénario: 1/20    acteurs: 2/20   technique: 3/20   note finale: 1/20

    Cosmopolis

    Dans un New York en ébullition, l'ère du capitalisme touche à sa fin. Eric Packer, golden boy de la haute finance, s’engouffre dans sa limousine blanche. Alors que la visite du président des Etats-Unis paralyse Manhattan, Eric Packer n’a qu’une seule obsession : une coupe de cheveux chez son coiffeur à l’autre bout de la ville. Au fur et à mesure de la journée, le chaos s’installe, et il assiste, impuissant, à l’effondrement de son empire. Il est aussi certain qu’on va l’assassiner. Quand ? Où ? Il s’apprête à vivre les 24 heures les plus importantes de sa vie.


    votre commentaire
  • L'affiche est prometteuse. Le casting aussi. Hélas, c'est un navet bien ennuyeux, sans aucune surprise, ni imagination. Il n'y a pas la moindre surprise, pas le moindre rebondissement. Décevant. Le sujet a été traité mille fois, et on aurait pu se passer de ce film.

    scénario: 3/20    technique: 16/20  acteurs: 5/20    note finale: 4/20

    Margin Call

    Pour survivre à Wall Street, sois le premier, le meilleur ou triche. La dernière nuit d’une équipe de traders, avant le crash. Pour sauver leur peau, un seul moyen : ruiner les autres…


    votre commentaire
  • Je me demande encore quel est l'intérêt d'un tel film qui est une pure daube. Le scénario n'est pas terrible et les actrices font ce qu'elles peuvent pour sauver ce navet mais c'est raté. Un film inutile.

    scénario: 6/20      acteurs: 10/20     technique: 16/20      note finale: 6/20

    Maman

    Deux sœurs vont kidnapper leur mère pour l'obliger à les aimer.


    1 commentaire
  • Un film dont je n'ai toujours pas trouvé l'intérêt. Tellement nul que je suis partie avant la fin. Un film qui ne sert à rien. Même les acteurs n'y croient pas alors nous...

    scénario: 2/20     acteurs: 5/20   technique: 16/20   note finale: 1,5/20

    Le territoire des loups

    Comme beaucoup de ceux qui choisissent de vivre au fin fond de l’Alaska, John Ottway a quelque chose à fuir. De sa vie d’avant, il garde le souvenir d’une femme, une photo qu’il tient toujours contre lui, et beaucoup de regrets.
    Désormais, il travaille pour une compagnie pétrolière et protège les employés des forages contre les attaques des animaux sauvages.
    Lorsque le vol vers Anchorage qu’il prend avec ses collègues s’écrase dans l’immensité du Grand Nord, les rares survivants savent qu’ils n’ont que peu de chances de s’en sortir. Personne ne les trouvera et les loups les ont déjà repérés. Ottway est convaincu que le salut est dans le mouvement et que la forêt offrira un meilleur abri. Mais tous ses compagnons d’infortune ne sont pas de son avis et aux dangers que la nature impose, s’ajoutent les tensions et les erreurs des hommes. Eliminés par leurs blessures, le froid, les prédateurs ou leurs propres limites, les survivants vont mourir un à un. Ottway va tout faire pour survivre avec les derniers, mais quelle raison aurait-il de s’en sortir ?
    "Le Territoire des loups" nous entraîne aux confins du monde et d’un homme, à la découverte de ce qu’il y a en chacun de nous…


    votre commentaire
  •  Enorme déception, pour ce film quid evrait être classé dans la catégorie pornographique. C'est archinul, sauf si on aime les films pornos hard. j'ai détesté. c'est le troisièmpe film de Juliette Binoche que je trouve décevant. 

    scénario: 2/20        acteurs: 10/20        technique: 13/20      note finale: 2/20

     

    Elles

     

    Anne, journaliste dans un grand magazine féminin enquête sur la prostitution estudiantine. Alicja et Charlotte, étudiantes à Paris, se confient à elle sans tabou ni pudeur. Ces confessions vont trouver chez Anne un écho inattendu. Et c’est toute sa vie qui va en être bouleversée.


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique