• Ce n'est pas du tout mon genre de film et pourtant j'ai adoré! Le suspens dure jusqu'au bout, le scénario ets très original et les acteurs sont formidables.

    scénario: 18/20         acteurs: 18/20      technique: 18/20     note finale: 18/20

    La Stratégie Ender

    Dans un futur proche, une espèce extraterrestre hostile, les Doryphores, ont attaqué la Terre. Sans l’héroïsme de Mazer Rackham, le commandant de la Flotte Internationale, le combat aurait été perdu. Depuis, le très respecté colonel Graff et les forces militaires terriennes entraînent les meilleurs jeunes esprits pour former des officiers émérites et découvrir dans leurs rangs celui qui pourra contrer la prochaine attaque. Ender Wiggin, un garçon timide mais doté d’une exceptionnelle intelligence tactique, est sélectionné pour rejoindre l’élite. A l’académie, Ender apprend rapidement à maîtriser des manoeuvres militaires de plus en plus difficiles où son sens de la stratégie fait merveille. Graff ne tarde pas à le considérer comme le meilleur élément et le plus grand espoir de l’humanité. Il ne lui manque plus qu’à être formé par Mazer Rackham lui-même, pour pouvoir commander la Flotte lors d’une bataille homérique qui décidera du sort de la Terre.


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  •  Ce film est une totale réussite! José Garcia, souvent sous employé dans des rôles de comiques, peut enfin montrer toute l'étendue de son talent dans un rôle tout en nuances. Encore plus réussi que Starbuck, dont ce film est le remake.

    scénario: 18/20    acteurs: 18/20    technique: 18/20     note finale: 18/20

    Fonzy

    Fonzy, le pseudonyme sous lequel Diego Costa a fourni il y a 20 ans du sperme à maintes reprises dans le cadre d'un protocole de recherche.
    Aujourd'hui, à 42 ans, il est livreur dans la poissonnerie familiale et mène une vie d'adolescent irresponsable et gaffeur. Alors que sa compagne Elsa, lui apprend qu'elle est enceinte, son passé ressurgit.
    Diego découvre qu'il est le géniteur de 533 enfants dont 142 souhaitent savoir qui est Fonzy…

    Alors que sort sur les écrans français, le remake français (Fonzy) de cette excellente comédie, et que se prépare le remake US… on vous propose de voir ou revoir l'original auquel vous aviez fait grand succès l'année dernière : Starbuck !
    David Wosniak est un de ces types qui ne réussissent jamais rien mais… Le genre qui devrait être insupportable, mais à qui on pardonne tout, tant son charisme emballe garçons et filles de tous âges et de toute condition. Issu d'une famille de bouchers d'origine polonaise et vivant dans un formidable quartier multiculturel de Montréal (Mile-end), il est vraiment le bon à rien tout juste capable de faire (mal) les livraisons de bidoche, d'autant qu'il est très distrait par une histoire de dette vis à vis de petits trafiquants… passons, il suffit juste de dire qu'il a le chic pour se fourrer dans des situations impossibles.
    Pour payer ses multiples bêtises, depuis très longtemps, David vend régulièrement sa semence à l'excellente banque du sperme de Montréal, dans l'anonymat le plus complet. Jusqu'au jour où, alors même que sa copine Valérie lui annonce qu'elle est enceinte, il apprend qu'une action collective en recherche de paternité est intentée par une bonne partie des 533 enfants qu'ont produits ses spermatozoïdes d'excellente qualité !

    Voilà donc notre immature trentenaire en proie tout soudain à mille et un sentiments contradictoires. Pris entre affolement et incrédulité, infoutu de rester tranquillement planqué derrière son pseudonyme (Starbuck), tandis que son ami, avocat bordélique et père débordé de quatre marmots envahissants, lui débrouille la chose, il ne résiste pas à la curiosité et se glisse, incognito, dans une réunion qui rassemble ses multiples enfants…
    Erreur fatale ! David a un cœur d'artichaut, c'est un sensible, un tendre, prêt à aimer l'humanité toute entière et le grand élan de cette immense famille qui se constitue mine de rien dans cette quête de géniteur l'effraie mais aussi l'emporte dans une sorte d'euphorie stupéfaite : ainsi lui, le bon à rien, le maladroit… est la source de toute cette belle jeunesse, bien sympa, bien vivante et variée !
    Bien sûr, c'est fendard ! Mais c'est aussi fichtrement subtil et tous les personnages autour de David incarnent autant de nuances du rapport de l'homme à la paternité : son père, ses frères, son avocat, ses copains et chacun de ses « enfants », par la diversité des personnalités et des destins, sont source d'enrichissement du thème. Bref ! C'est un régal !

    Pour la petite histoire : Starbuck est le nom d'un taureau devenu légende au Québec, le plus grand géniteur que la terre Québecoise ait produit. Issu du croisement judicieux de deux formidables bêtes, il a fait pendant vingt ans la fortune de ses propriétaires et révolutionné le monde de l'insémination artificielle : 200 000 filles issues de Starbuck à travers le monde, et 200 fils eux-mêmes excellents reproducteurs rien qu'au Canada… Si la vente de sa semence vers tous les pays du monde a généré 25 millions de dollars de profit (5 millions pour la seule année 1986), la descendance de sa descendance est également largement prisée et Starbuck a eu une très forte influence sur le développement de la race Holstein.


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  •  Un très beau film sur l'enfance, porté par des acteurs merveilleux.

    scénario: 18/20    technique: 18/20    acteurs: 18/22  note finale: 18/20

    Mon bel oranger

    Au Brésil, Zézé, presque 8 ans, vit à la campagne dans une famille pauvre. Il est sensible et précoce, aime raconter des histoires. Jamais à court d’idées, il se réfugie souvent sous les branches d’un oranger qu’il prend comme confident : à lui, son bel oranger, il peut confier ses secrets, ses peurs, ses joies…

     


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  •  Pas mal mais la bande annonce est trompeuse. j'ai peur que ce film ne trouve pas son public: nous n'étions que 5 dans la salle. Le film est intéressant et plein de trouvailles même si on passe d'un invraisemblance à l'autre. Le petit garçon est formidable. Techniquement, ce film est parfaitement maîtrisé. L'univers de Jeunet, j'aime!

    scénario: 16/20       acteurs: 16/20   technique: 18/20   note finale: 16/20

    L'Extravagant voyage du jeune et prodigieux T.S. Spivet

    T.S. Spivet, vit dans un ranch isolé du Montana avec ses parents, sa soeur Gracie et son frère Layton. Petit garçon surdoué et passionné de science, il a inventé la machine à mouvement perpétuel, ce qui lui vaut de recevoir le très prestigieux prix Baird du Musée Smithsonian de Washington. Sans rien dire à sa famille, il part, seul, chercher sa récompense et traverse les Etats-Unis sur un train de marchandises. Mais personne là-bas n’imagine que l’heureux lauréat n’a que dix ans et qu'il porte un bien lourd secret…


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  • J'ai eu le bonheur de voir ce film en avant-première!! Ce film est génial et j'ai adoré! Les acteurs sont parfaits, les dialogues sont à MDR, le scénario est d'une incroyable originalité, sans oublier les trouvailles de réalisation!! j'ai passé une excellent moment et je vous recommande ce film chaudement! Albert Dupontel a un immense talent et j'adore son travail!

    scénario: 19/20     acteurs: 19/20    technique: 18/20   note finale: 18/20

    9 mois ferme

    Ariane Felder est enceinte ! C'est d'autant plus surprenant que c'est une jeune juge aux mœurs strictes et une célibataire endurcie. Mais ce qui est encore plus surprenant, c'est que d'après les tests de paternité, le père de l'enfant n'est autre que Bob, un criminel poursuivi pour une atroce agression ! Ariane, qui ne se souvient de rien, tente alors de comprendre ce qui a bien pu se passer et ce qui l'attend.


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  • J'ai beaucoup aimé ce road movie avec une grande Catherine Deneuve, qui met tout son talent au service d'un scénario très intéressant. Ce film est très réussi et très beau. la fin est formidable, mais chut! Un césar pour Catherine!

    scénario: 17/20      acteurs: 17/20       technique: 17/20      note finale: 17/20

    Elle s'en va

    Bettie, la soixantaine, se voit soudain abandonnée par son amant et en péril financier avec le restaurant familial. Que faire de sa vie ? Elle prend sa voiture, croyant faire le tour du pâté de maison. Ce sera une échappée. Au fil de la route : des rencontres de hasard, un gala d’ex-miss France, le lien renoué avec sa fille, la découverte de son petit-fils, et peut-être l’amour au bout du voyage… Un horizon s’ouvre à elle.


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  • Un super thriller qui nous tient en haleine jusqu'au bout. Plein de surprises et de rebondissements, c'est très bien fait. Les acteurs sont excellents. j'ai adoré.

    scénario: 18/20   acteurs: 16/20   technique: 16/20   note finale: 17/20

    La confrérie des larmes

    À Paris, Gabriel, la trentaine, élève seul sa fille Juliette. Ancien flic retiré des affaires suite à un drame personnel, l’homme a du mal à joindre les deux bouts. Un jour, une ancienne connaissance lui propose un travail bien rémunéré. S’il accepte le marché, Gabriel doit livrer des mallettes à travers le monde pour des commanditaires anonymes. Les termes du contrat sont clairs : il ne doit poser aucune question sur le contenu des valises et ne jamais essayer de les ouvrir. Intrigué et persuadé que ce job le fera sortir de son impasse financière, Gabriel se lance dans l’aventure. D'Istanbul à Bruges en passant par la Chine, il saute d’avion privé en avion privé avec sa mystérieuse cargaison. L’argent ne tarde pas à affluer. Gabriel est un homme pressé certes, mais riche. Si sa fille se plaint de ce père désormais absent, il ne peut enrayer une machine qui l’étouffe de plus en plus.


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  • Une comédie réussie mais sans rien d'exceptionnelle. On passe cependant un bon moment.C'est bien filmé, les acteurs jouent bien et on visite l'Europe. 

    scénario: 16/20     acteurs: 16/20   technique: 16/20   note finale: 16/20

    Eyjafjallajökull

    Pour les voyageurs du monde entier, l’éruption du volcan islandais Eyjafjallajökull est un coup dur. Pour Alain et Valérie, c’est une catastrophe. Car pour arriver à temps dans le petit village de Grèce où se marie leur fille, ce couple de divorcés, qui se voue l’un l’autre une détestation sans borne, va être amené par la force des choses à prendre la route ensemble.


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  • Malgré un début poussif, ce film est très réussi. <Une très belle histoire qui vous tirera les larmes plusieurs fois, sauf si vous êtes complètement insensible. Une belle histoire. Bien joué, bien filmé, bon scénario. 

    scénario: 16/20    technique: 16/20   acteurs: 18/20   note finale: 16/20

    The Way, La route ensemble

    Tom Avery, médecin américain à l’existence confortable, se rend d’urgence en France où son fils Daniel vient de disparaître lors d’un accident en montagne. Il découvre sur place que ce fils qu’il n’a jamais compris avait entrepris le pèlerinage de Compostelle. Tom décide alors de prendre le « camino ». Sur sa route, il croise Jack l’irlandais, Sarah la canadienne ou encore le hollandais Joost, pèlerins aux caractères bien trempés. D’abord fuyant, Tom s’ouvre pas à pas, à mesure qu’il apprend enfin à « marcher ensemble ».


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  • Un film étonnant et surprenant. On reste en haleine jusqu'à la fin.

    scénario: 16/20   acteurs: 16/20   technique: 16/20   note finale: 16/20

    Players

    Richie, étudiant à Princeton, joue au poker en ligne pour payer ses frais de scolarité. Lorsqu'il se retrouve ruiné, persuadé d'avoir été arnaqué, il décide de s'envoler pour le Costa Rica afin de retrouver la trace d'Ivan Block, le créateur du site. Ivan prend Richie sous son aile et l'amène à intégrer son business. Sentant grandir le danger et réalisant les ambitions démesurées de son boss, Richie va tenter de renverser la donne en sa faveur.


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  • Une comédie gentillette devant laquelle on passe un bon moment. Pas un chef d'oeuvre, quelques grossièretés (j'aurais interdit ce film aux moins de 12 ans car certaines scènes sont un peu graveuleuses.) mais on s'amuse. Attention, ce n'est pas une comédie familiale du tout. A ne pas montrer aux enfants.

    scénario: 16/20   acteurs: 16/20    technique: 16/20   note finale: 16/20

    Les Miller, une famille en herbe

    David Burke est un dealer à la petite semaine qui se contente de vendre sa marchandise à des chefs cuisiniers et des mamans accompagnant leurs fils au football, mais pas à des ados – car, au fond, il a quand même des principes ! Alors que tout devrait se passer au mieux pour lui, les ennuis s'accumulent… Préférant garder profil bas pour des raisons évidentes, David comprend, à son corps défendant, qu'on peut subir la pire injustice même lorsqu'on est animé des meilleures intentions : tentant de venir en aide à des jeunes du quartier, il se fait agresser par trois voyous qui lui volent sa marchandise et son argent. Il se retrouve dans une situation des plus délicates puisqu'il doit désormais rembourser son fournisseur, Brad.Afin d'éponger sa dette – et de rester en vie –, David n'a d'autre choix que de jouer dans la cour des grands en se rendant au Mexique pour ramener une importante cargaison de drogue à Brad. Réussissant à convaincre ses voisins – Rose, une strip-teaseuse cynique, Kenny, qui aimerait bien tester la marchandise et Casey, une ado débrouillarde couverte de tatouages et de piercings – de lui venir en aide, il met au point un plan censé être infaillible : avec ses complices qu'il fait passer pour sa femme et ses deux grands enfants, il met le cap sur le Mexique au volant d'un camping-car flambant neuf le jour de la fête nationale. Ce week-end risque bien d'être explosif…


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  • Pas du tout mon genre de film mais je dois reconnaître qu'il est particulièrement réussi: on va de rebondissement en rebondissement. C'est génial! On passe un excellent moment!

    scénario: 16/20     technique: 16/20    acteurs: 16/20   note finale: 17/20

    2 guns

    Bobby et Stig passent tout leur temps ensemble et mouillent dans des affaires très louches. Ils ne le savent pas, mais ils appartiennent tous les deux à des agences gouvernementales qui leur ont demandé d’infiltrer un réseau de trafiquants de drogue.

    Lorsqu’un casse auquel chacun participe pour coincer l’autre tourne mal, Bobby comme Stig sont lâchés par leurs hiérarchies respectives. Ils découvrent qu’ils ont été manipulés… Désormais, tout le monde veut les voir en prison, ou encore mieux, morts. Ils ne peuvent plus compter que l’un sur l’autre, et malheureusement pour ceux qui veulent leur peau, à trop jouer les malfrats, ils ont pris de mauvaises habitudes…


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  • Un très joli film intimiste, remarquablement porté par des acteurs fantastiques! Je vous le recommande!!

    scénario: 16/20    acteurs: 16/20    technique: 16/20   note finale: 16/20

    Tirez la langue, mademoiselle

    Boris et Dimitri Pizarnik sont médecins dans le quartier chinois à Paris. Ils sont frères et c’est ensemble qu’ils pratiquent leur métier, consacrant tout leur temps à leurs patients.
    Une nuit, ils sont amenés à soigner une petite fille diabétique que sa mère, Judith, élève seule. Ils tombent tous deux amoureux de Judith. Bientôt, tout sera bouleversé...

    C'est Louise Bourgoin qui figure seule sur l'affiche mais ce n'est pas juste. Ou alors c'est juste… une concession aux nécessités médiatiques et publicitaires. Non pas que Louise Bourgoin soit quantité négligeable dans le film, loin de là, mais ce sont bien les deux personnages masculins – formidablement interprétés par Laurent Stocker et Cédric Kahn – qui sont au centre de Tirez la langue mademoiselle, ce sont eux qui frappent par leur originalité et la qualité de leur caractérisation, c'est en grande partie par eux que passe le charme piquant et décalé de cette comédie douce-amère remarquablement écrite et dialoguée.

    Les frères Pizarnik. Dimitri et Boris. Les inséparables. On n'imagine pas l'un sans l'autre. Et pourtant c'est le jour et la nuit, le blond et le brun, le faussement solaire et le vraiment taciturne, le bavard et le taiseux, le séducteur et le réservé. Ils sont médecins tous les deux, ils exercent dans le même cabinet, consultent ensemble dans ce territoire si particulier du 13e arrondissement de Paris qu'on appelle le quartier chinois, pour des raisons qui sautent aux yeux pour peu qu'on s'y promène pendant cinq minutes.
    Boris et Dimitri sont de vrais docteurs généralistes, comme on aimerait bien en trouver chaque fois qu'on est malade : disponibles, compréhensifs, attentifs, gentils, pas pressés. Axelle Ropert le dit bien : « ils exercent la médecine au sens le plus habituel, mais aussi le plus idéalisé du mot, c’est-à-dire : prendre soin des autres. » Ça nous vaut quelques scènes réjouissantes avec des patients on ne plus différents, plus ou moins gravement atteints, plus ou moins coopératifs, mais qui seraient tous prêts à donner un dix sur dix à leurs toubibs. C'est rien de dire que les frères Pizarnik aiment leur métier, rien de dire qu'ils y consacrent le plus clair de leur temps et de leur énergie. Pas seulement le plus clair d'ailleurs, puisqu'il leur arrive souvent d'intervenir la nuit…

    C'est d'ailleurs un soir tard qu'ils sont appelés à soigner Alice, une petite fille d'une dizaine d'années qui a oublié d'être bête mais l'intelligence et la malice, ça ne préserve pas de la maladie : Alice est diabétique et elle semble avoir acquis une solide pratique de l'auto-traitement. Sa mère – pas de père en vue – travaille la nuit, serveuse dans un bar – la reine des cocktails ! – et la gamine reste toute seule à la maison. Pas de drame, elle semble tout à fait s'accommoder de la situation et trouver même un certain plaisir à cette précoce autonomie, mais bon, présentement elle ne se sent pas très bien. Les Pizarnik arrivent chez Alice, lui sourient, lui parlent, l'examinent, la rassurent, prennent le temps de rigoler un brin avec elle, bref ils font impeccablement ce qu'il faut, en douceur et en chœur, comme d'habitude. Et bien sûr ils prennent contact avec sa mère, Judith. C'est là qu'intervient Louise Bourgoin, dans le rôle du grain de sable dans la belle mécanique fraternelle et médicale…


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  •  J'ai beaucoup aimé cette comédie familiale qui hélas n'a pas trouvé son public. l'histoire est intéressante et on se laisse prendre. Les acteurs sont formidables.

    scénario: 16/20     acteurs: 16/20   technique: 16/20  note finale: 16/20

    Les invincibles

    L'annonce d'un tournoi international de pétanque organisé par le célèbre Darcy, va bouleverser la vie de Momo, et réveiller ses rêves enfouis par les aléas de la vie: devenir champion et vivre de sa passion. Galvanisé par sa rencontre avec Caroline, Momo va faire la paix avec lui-même et affronter les préjugés. Déclassés, rejetés, cabossés, ils sont devenus : Les Invincibles.


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  • Woody égal à l'ui-même. Un bon cru. Très réussi. Mais toujours aussi bavard...

    scénario: 16/20    acteurs: 16/20   technique: 16/20  note finale: 16/20

    Blue Jasmine

    Alors qu’elle voit sa vie voler en éclat et son mariage avec Hal, un homme d’affaire fortuné, battre sérieusement de l’aile, Jasmine quitte son New York raffiné et mondain pour San Francisco et s’installe dans le modeste appartement de sa soeur Ginger afin de remettre de l’ordre dans sa vie.

    Woody Allen, à raison d'un film par an, on a l'impression de le connaître par cœur, lui et ses blagues et ses tours et ses manies et ses obsessions… Et puis, régulièrement, contre toute attente, ce diable de cinéaste arrive à nous surprendre, à nous couper la chique ! Et c'est le bien le cas avec ce Blue Jasmine qui, après le très moyen – euphémisme – To Rome with love, pourrait bien être son meilleur film depuis Match point, avec lequel il a le point commun de ne pas être une pure comédie, et même de proposer une vision assez noire, voire cruelle, de l'humaine condition…
    Ce coup-ci, la carte maîtresse du magicien Allen s'appelle Cate Blanchett, nouvelle venue dans son univers. Dans le rôle omniprésent de Jasmine, elle se hisse d'emblée au niveau des grandes héroïnes alléniennes, jouées par Diane Keaton, Mia Farrow… mais aussi Gena Rowlands (un unique rôle chez Allen, dans le très beau Une autre femme, en 1988), immense actrice à qui l'australienne fait beaucoup penser : la beauté douloureuse, la grâce, la force, la puissance d'incarnation qui donne au personnage toute sa complexité et sa bouleversante fragilité.

    Le film se présente comme un dyptique, ou plutôt une pièce musicale en deux mouvements, deux Jasmine, deux villes : San Francisco la solaire foutraque et New-York l’intello snob, deux vies. Par une construction habile et fluide, Woody Allen nous balade dans cette histoire et nous emmène où bon lui semble… Et tant mieux si sur le chemin il y a un peu plus de mélancolie qu’à l’accoutumée et tant mieux si le trajet n’est pas linéaire : les deux mouvements se croisent, se chevauchent, se rencontrent pour dessiner le portrait émouvant d’une femme perdue en même temps que celui d’une ridicule vanité qui croise l'impitoyable principe de réalité.
    Voici donc Jasmine, qui en fait s’appelle Jeanette mais Jasmine c'est tellement plus chic et original… Elle débarque à San Francisco avec sa valise Vuitton et la pose dans le modeste appartement de sa sœur Ginger. Elle est seule, elle est fauchée, et complètement désemparée. Car il n’y a pas si longtemps, Jasmine était une grande bourgeoise new-yorkaise, mariée à un très très riche homme d’affaire. Jasmine avait des amies aussi bourgeoises qu’elle, des hobbies futiles, des galas de charité, un coach sportif personnel… et très peu de temps pour ceux qui ne gravitaient pas dans son petit monde, très peu de temps pour s’intéresser aux affaires si lucratives de son mari… Avec qui elle vient de rompre et la voici donc ruinée, propulsée dans le quotidien très pragmatique de sa frangine, une fille simple et joyeuse qui élève deux garçons turbulents et vit des histoires d’amour en pointillés. Jasmine ne connaît pas les codes de ce monde, ni ceux des potes un peu lourdingues de sa sœur, encore moins ceux du monde du travail. Travail, elle se souvient à peine du mot, elle qui a arrêté ses études pour faire un si beau mariage d'argent.

    Il y a des situations cocasses et souvent drôles nées de la confrontation de deux milieux sociaux étrangers l'un à l'autre, et des moments bouleversants où la solitude de Jasmine, au bord de la folie, apportent une profonde gravité à un récit faussement léger. La vision ultra-lucide et caustique de Woody Allen révèle des êtres fragiles, pétris de préjugés et perdus dès qu’il s’agit de changer de point de vue. Entre les deux villes, entre les deux vies, un grand trou béant, un gouffre dans lequel Jasmine pourrait bien tomber… à moins qu’elle ne soit capable de déployer ses ailes pour s’en échapper et s’envoler. Allen 2013 : un excellent cru.


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  • L'image est d'une beauté à couper le souffleet les décors et paysages sont magnifiques. j'ai adoré ce magnifique film! les acteurs sont formidables. Le scénario est très intéressant. Et Bravo encore une fois au chef opérateur, j'espère qu'il aura un prix.

    scénario: 17/20    acteurs: 17/20   technique: 19/20  note finale: 17/20

    Michael Kohlhaas

    Au XVIème siècle dans les Cévennes, le marchand de chevaux Michael Kohlhaas mène une vie familiale prospère et heureuse. Victime de l'injustice d'un seigneur, cet homme pieux et intègre lève une armée et met le pays à feu et à sang pour rétablir son droit.

    À l'origine de ce film aussi exigeant qu'exaltant, aussi épuré que somptueux, il y a un court roman écrit en 1808 par Heinrich Von Kleist, inspiré de l’histoire vraie d’un marchand qui, victime de l’injustice d’un seigneur, mit une province d’Allemagne à feu et à sang pour obtenir réparation. Michael Kohlhaas raconte l’histoire d’un homme seul qui s’oppose à la société toute entière, préfigurant en cela tout un pan de notre littérature moderne. Franz Kafka, dont c’était le livre préféré, disait que la lecture de Michael Kohlhaas avait été pour lui à l’origine de son désir d’écrire !
    Après avoir porté ce projet d'adaptation pendant vingt ans, après s'être affranchi de références trop lourdes à porter – Les 7 Samouraïs de Kurosawa, Aguirre, la colère de Dieu d'Herzog, entre autres –, Arnaud des Pallières nous donne un film beau comme un paysage cévenol battu par le vent, un film hypnotique et tourmenté, dur comme la roche, poignant et magnifique comme le visage de son extraordinaire interprète, Mads Mikkelsen.

    Comme dans l'œuvre de Kleist, nous sommes au xvie siècle. Dans les Cévennes, le marchand de chevaux Michael Kohlhaas mène une vie raisonnablement prospère et heureuse. Père aimant, bon mari, lecteur de la bible dont il tire sa propre morale, homme intègre et négociant honnête, il va être victime de l'injustice d'un jeune seigneur, qui retient deux de ses chevaux en gage avant de les épuiser à la tâche et de prétendre les lui rendre dans un état lamentable. Kohlhaas refuse de les reprendre. « Je vous ai laissé deux bêtes magnifiques, vous devez me les restituer telles qu'elles étaient. J'irai en justice, seigneur ». Devant le mépris arrogant du petit baron, il ira en justice, en vain. Il ira bien au-delà, lèvera une armée, se battra, risquera la mort – la sienne et celle de ses proches et de ses soldats plus ou moins de fortune – pour faire reconnaître son droit. Il ira jusqu'au bout, non par appât du gain, non par soif de gloire, non par héroïsme, par principe.
    Pour mettre en scène cette histoire plus grande que nature, Arnaud des Pallières fait preuve d'une économie de moyens tout à fait remarquable, d'une rigueur, d'une retenue qui font ressentir la dimension épique du projet bien plus que toute surenchère spectaculaire. Avec la précision d'un architecte, il construit son récit pierre après pierre, cherche la justesse – comme son héros la justice – dans chaque plan. Comme l'écrit Frank Nouchi dans Le Monde, « La force peu commune qui se dégage de ce film aussi âpre que radical provient pour l'essentiel d'une étrange alchimie entre l'image (signée Jeanne Lapoirie), le son (hyper travaillé) et la musique (entêtante) de Martin Wheeler. Tandis que d'immenses panoramiques célèbrent la nature, des gros plans saisissants rendent compte de l'intensité des conflits humains. »

    La réussite de Michael Kohlhaas tient aussi beaucoup à la rencontre assez improbable entre ce réalisateur français atypique et un comédien danois qui ne l'est pas moins. Mads Mikkelsen, que l'on ne présente plus et qu'on n'en finit plus d'admirer après La Chasse ou Royal Affair – pour ne citer que ses rôles les plus récents –, irradie le film de son invraisemblable charisme. Dès sa première scène, il est Michael Kholhaas, il a toujours été Michael Kohlhaas, c'est une évidence. Il a toujours été cet honnête éleveur bafoué, il a toujours chevauché dans la lande cévenole du xvie siècle, il a toujours été cet homme d'autant plus déterminé qu'il est capable de douter. Un grand acteur. Un grand réalisateur. Un grand film.


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  •  Presque le même scénario que "la chute de la maison blanche" sorti en mars! Mais alors à la virgule près... 2trange d'aller voir un film qui sent autant le déjà vu. Donc strictement rien de neuf dans ce film d'action mais assez réussi. Il faut dire que lé rpésence du beau Channing sauve tout.

    scénario: 16/20  acteurs: 16/20   technique: 16<:20  note finale: 16/20

    White House Down

    Membre de la police du Capitole, John Cale vient de se voir refuser le job dont il rêvait : assurer la protection du président des États-Unis. Espérant éviter à sa fille une déception lorsqu’il lui apprendra la nouvelle, il l’emmène visiter la Maison-Blanche. C’est à ce moment qu’un groupe paramilitaire lourdement armé attaque le bâtiment. Alors que le gouvernement américain sombre dans le chaos, Cale va tenter de sauver sa fille, le président, et le pays tout entier…


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  • Un bon film de science fiction. On passe un bon moment même si ce n'est pas le film de l'année.

    scénario: 16/20    acteurs: 16/20    technique: 16/20  note finale: 16/20

    Elysium

    En 2154, il existe deux catégories de personnes : ceux très riches, qui vivent sur la parfaite station spatiale crée par les hommes appelée Elysium, et les autres, ceux qui vivent sur la Terre devenue surpeuplée et ruinée. La population de la Terre tente désespérément d’échapper aux crimes et à la pauvreté qui ne cessent de ne propager. Max, un homme ordinaire pour qui rejoindre Elysium est plus que vital, est la seule personne ayant une chance de rétablir l’égalité entre ces deux mondes. Alors que sa vie ne tient plus qu’à un fil, il hésite à prendre part à cette mission des plus dangereuses -  s’élever contre la Secrétaire Delacourt et ses forces armées – mais s’il réussit, il pourra sauver non seulement sa vie mais aussi celle de millions de personnes sur Terre.


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  •  On passe un excellent moment et ce n'est déjà pas si mal. cette comédie est très réussie et les acteurs sont formidables. j'ai beaucoup ri. On voyage et c'est sympa.

    scénario: 16/20     acteurs: 16/20    technique: 16/20  note finale: 16/20

    Red 2

    Lorsque l’agent retraité de la CIA Franck Moses apprend la mort de son ancien collègue Marvin, il se rend à son enterrement avec sa compagne Sarah, sans se douter qu’il va au-devant de gros problèmes… Arrêté et interrogé par le FBI au sujet d’un mystérieux "Projet Nightshade", il ne doit son salut qu’à l’intervention de Marvin qui avait simulé sa mort. Ils se lancent alors dans une course poursuite à travers le monde pour découvrir le secret du "Projet Nightshade".


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  • J'ai bien aimé ce film qui peut dérouter.  C'est bien joué, plein de subtilité et  psychologiquement très riche. il faut dire que j'aime beaucoup l'univers de François Ozon et que j'aime beaucoup son travail

     

    Jeune & jolie

    Le portrait d’une jeune fille de 17 ans en 4 saisons et 4 chansons.

    Les moralistes et les amateurs d'explications définitives resteront sur leur faim : Jeune et jolie n'est en rien un film à thèse sur le destin des jeunes étudiantes obligées de se livrer à la prostitution occasionnelle pour financer leurs études, ni sur les dangers des réseaux plus ou moins mafieux d'exploitation sexuelle des femmes. La jeune et jolie Isabelle, qui s'apprête à rentrer à l'université, n'a aucun problème d'argent, sa famille vit et la fait vivre très confortablement, et pourtant elle va s'adonner à la pratique de la prestation sexuelle tarifée. Avant d'être une quelconque tentative de réflexion sur ces « sujets de société », Jeune et jolie est le portrait sensible et acéré d'une adolescente assez fascinante, incarnée par la splendide et mystérieuse Marine Vacth, en proie à la découverte, aux doutes, aux vertiges de la transgression et à l'envie de voir jusqu'où on peut aller autant dans sa tête qu'avec son corps. Un portrait au rythme des saisons et des chansons, depuis l'été où Isabelle perd sa virginité lors d'une étreinte laborieuse et facilement oubliable sur la plage des vacances (« c'est fait ») jusqu'à la fin de l'année scolaire suivante. Un portrait scandé par quatre chansons doucement mélancoliques de Françoise Hardy, qui offrent un contraste ironique à la dureté de l'état d'esprit d'Isabelle et de certains événements qu'elle choisit de vivre.

    Ozon décrit sans provocation ni tentative d'explication lourdingue comment, par attrait du danger et par le hasard de la vie, l'adolescente sans problème se livre à la prostitution, en pleine connaissance de cause. Non par quête effrénée du plaisir, mais par attirance pour l'inconnu et fascination pour ce rituel lié à la rencontre avec les clients. Ozon met remarquablement en scène, au son de la voix off de l'héroïne, ce mystère qui entoure l'avant : la discussion et la tractation sur internet, le trajet jusqu'à l'hôtel généralement luxueux, la tension avant de rentrer dans la chambre, sans savoir quelles seront les envies du client, les détails de son corps, son comportement courtois ou au contraire violent, tout cet inconnu qui, elle l'avoue, excite Isabelle. Et cette addiction qui la pousse à recommencer, l'argent s'accumulant dans le placard de sa chambrette, puisqu'elle n'en a pas besoin.
    Puis vient le client de trop, celui avec qui elle noue une relation plus forte… Georges, un homme âgé qui fascine Isabelle et avec qui elle prend réellement du plaisir. C'est à cause de Georges que les proches d'Isabelle découvriront sa coupable activité : stupéfaction, incompréhension totale, méfiance. Sa propre mère commence à craindre que sa fille perverse ne jette son dévolu sur son nouveau compagnon, une amie de la famille craint aussi pour son mari… C'est l'occasion de quelques scènes ubuesques qui virent au tragi-comique, le film transgressant les genres et flirtant parfois avec la comédie grinçante, comme quand Isabelle a rendez vous avec un psychanalyste (incarné avec beaucoup d'humour par le vrai psy Serge Hafez) et qu'elle demande à le payer avec le produit de ses passes…

    Sans rien dévoiler de la fin du film – marquée par l'apparition lumineuse de Charlotte Rampling, qui incarne la femme de Georges –, elle n'apportera nullement la touche finale morale que certains attendraient peut être.

    Les moralistes et les amateurs d'explications définitives resteront sur leur faim : Jeune et jolie n'est en rien un film à thèse sur le destin des jeunes étudiantes obligées de se livrer à la prostitution occasionnelle pour financer leurs études, ni sur les dangers des réseaux plus ou moins mafieux d'exploitation sexuelle des femmes. La jeune et jolie Isabelle, qui s'apprête à rentrer à l'université, n'a aucun problème d'argent, sa famille vit et la fait vivre très confortablement, et pourtant elle va s'adonner à la pratique de la prestation sexuelle tarifée. Avant d'être une quelconque tentative de réflexion sur ces « sujets de société », Jeune et jolie est le portrait sensible et acéré d'une adolescente assez fascinante, incarnée par la splendide et mystérieuse Marine Vacth, en proie à la découverte, aux doutes, aux vertiges de la transgression et à l'envie de voir jusqu'où on peut aller autant dans sa tête qu'avec son corps. Un portrait au rythme des saisons et des chansons, depuis l'été où Isabelle perd sa virginité lors d'une étreinte laborieuse et facilement oubliable sur la plage des vacances (« c'est fait ») jusqu'à la fin de l'année scolaire suivante. Un portrait scandé par quatre chansons doucement mélancoliques de Françoise Hardy, qui offrent un contraste ironique à la dureté de l'état d'esprit d'Isabelle et de certains événements qu'elle choisit de vivre.

    Ozon décrit sans provocation ni tentative d'explication lourdingue comment, par attrait du danger et par le hasard de la vie, l'adolescente sans problème se livre à la prostitution, en pleine connaissance de cause. Non par quête effrénée du plaisir, mais par attirance pour l'inconnu et fascination pour ce rituel lié à la rencontre avec les clients. Ozon met remarquablement en scène, au son de la voix off de l'héroïne, ce mystère qui entoure l'avant : la discussion et la tractation sur internet, le trajet jusqu'à l'hôtel généralement luxueux, la tension avant de rentrer dans la chambre, sans savoir quelles seront les envies du client, les détails de son corps, son comportement courtois ou au contraire violent, tout cet inconnu qui, elle l'avoue, excite Isabelle. Et cette addiction qui la pousse à recommencer, l'argent s'accumulant dans le placard de sa chambrette, puisqu'elle n'en a pas besoin.
    Puis vient le client de trop, celui avec qui elle noue une relation plus forte… Georges, un homme âgé qui fascine Isabelle et avec qui elle prend réellement du plaisir. C'est à cause de Georges que les proches d'Isabelle découvriront sa coupable activité : stupéfaction, incompréhension totale, méfiance. Sa propre mère commence à craindre que sa fille perverse ne jette son dévolu sur son nouveau compagnon, une amie de la famille craint aussi pour son mari… C'est l'occasion de quelques scènes ubuesques qui virent au tragi-comique, le film transgressant les genres et flirtant parfois avec la comédie grinçante, comme quand Isabelle a rendez vous avec un psychanalyste (incarné avec beaucoup d'humour par le vrai psy Serge Hafez) et qu'elle demande à le payer avec le produit de ses passes…

    Sans rien dévoiler de la fin du film – marquée par l'apparition lumineuse de Charlotte Rampling, qui incarne la femme de Georges –, elle n'apportera nullement la touche finale morale que certains attendraient peut être.


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  • Au milieu de tous ces navets, enfin une comédie avec laquelle on rit de bon coeur. Le scénario est d'une imagination incroyable et je félicite les auteurs des dialogues qui sont à MDR quoiqu'un peu "leste" parfois. les deux actrices sont formidables et on passe un excellent moment. 

    scénario: 17/20      acteurs: 17/20  technique: 17/20   note finale: 17/20

    Les flingueuses

    D'un côté il y a l’agent spécial du FBI, Sarah Ashburn, une enquêtrice rigoureuse et méthodique dont la réputation la précède tant pour son excellence que son arrogance démesurée. De l'autre l’agent de police de Boston, Shannon Mullins, reconnue pour son fort tempérament et son vocabulaire fleuri. L’une comme l’autre, n’ont jamais eu de partenaire dans le travail… ni vraiment d’amis.
    Ainsi, lorsque ces deux représentantes de la loi radicalement opposées sont obligées de faire équipe pour arrêter un baron de la drogue sans pitié, elles se retrouvent à devoir lutter non seulement contre un puissant syndicat du crime, mais aussi et surtout contre l’envie de s’entretuer.


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  • Pas mal, même si c'est le film américain de base. Mais on se laisse prendre à cette histoire à dormir debout.

    scénario: 16/20   acteurs: 16/20  technique: 16/20   note finale: 16/20

    R.I.P.D. Brigade Fantôme

    Dans le film d’aventures surnaturelles, R.I.P.D. Brigade Fantôme, Jeff Bridges et Ryan Reynolds jouent un tandem de flics d’un genre très spécial, puisque défunts, et envoyés par leur unitéde police, le R.I.P.D. (Rest in Peace Department), pour protéger notre planète d’une recrudescence de créatures néfastes qui refusent de passer tranquillement dans l’autre monde. Le shérif Roy Pulsifer est un vétéran de cette brigade dédiée à la traque d’âmes belliqueuses se faisant passer pour des citoyens ordinaires. Sa mission : appréhender les criminels qui tentent d’échapper au Jugement Dernier en se dissimulant parmi les vivants.
    L’irascible et indiscipliné Roy se voit assigner comme nouveau coéquipier feu Nick Walker, un jeune policier de Boston récemment défunt. Les deux «hommes» vont devoir ravaler leur antipathie respective pour mener à bien leur mission. Quand ils découvrent un complot susceptible de mettre fin à la vie telle que nous l’avons toujours connue, les deux cracks du R.I.P.D. n’ont qu’une option : rétablir l’équilibre cosmique pour que le tunnel qui mène vers l’au-delà ne remplisse pas soudain la fonction inverse et ne précipite pas l’avènement des morts.


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  • Un joli film intimiste, une tranche de vie remarquablement interprétée par les acteurs. Le scénario est original même s'il aurait pu être plus approfondi.

    scénario: 16/20   acteurs: 17/20  technique: 17/20   note finale: 17/20

    Landes

    Années 20, dans les Landes. Liéna, 35 ans, hérite à la mort de son mari de ses vastes propriétés au cœur d’une forêt industrielle et de son drôle de rêve : l’électricité partout sur ses terres. Elle veut à tout prix faire de ce rêve électrique une réalité. Sauf que personne n’en veut, ni son milieu, ni les syndicats.
    Alors elle se bat, s’entête… mais comprend qu’il existe d’autres batailles à livrer... Quand le destin d’une femme libre rencontre le destin d’un pays...

     


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  • Voici la pépite de l'été!!! Un très joli fiilm soutenu par des acteurs au meilleur de leur forme! Maria de Medeiros, que l'on voit trop peu, est géniale dans le rôle de la femme de l'écrivain. Mehdi Dehbi, dont j'avais adoré la prestation dans "le fils de lautre", nous montre une fois de plus toute l'étendue de son talent! Le scénario est original, les dialogues sont ciselés et c'est très bien filmé. Encore un film sur l'intégration d'un arabe me direz-vous? c'est vrai mais là, nous sommes au niveau au dessus, et c'est réussi; on se demande pourquoi il y a tant de films sur les arabes, les problèmes d'intégration etc...?

    scénario: 17/20        acteurs: 17/20     technique: 17/20    note finale: 17/20

    Je ne suis pas mort

     

     

    Yacine, brillant étudiant en sciences politiques d’origine modeste, obtient un soutien inattendu de la part de Richard, son professeur de philosophie politique. Celui-ci propose notamment de l’aider à décrocher un stage à l’Élysée. Mais une nuit, Yacine se réveille paniqué.

    En transe, il se dirige vers le domicile de son professeur où il apprend son décès. Étrangement serein, il s’emploie à rassurer la famille : "Ne vous inquiétez pas, personne n’est mort. Je suis Richard !"...

    "Britney Spears naked"


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  • Une jolie comédie. par rapport aux autres films sur les arabes sortis ces derniers temps, celui_là est une réussite malgré ses imperfections. c'est un premier film et la réalisatrice a beaucoup de talent.

    scénario: 16/20      acteurs: 16/20    technique: 16/20   note finale: 16/20

     

    Paris à tout prix

    Maya, d’origine marocaine, vit à Paris depuis 20 ans. C'est une it girl de la mode. En pleine ascension, elle s’apprête à décrocher son premier CDI de styliste dans la maison de haute couture pour laquelle elle travaille. Mais un simple contrôle de police, où l’on découvre que son permis de séjour est périmé, la renvoie en moins de 24 heures directement au Maroc. Retour auprès de ce pays et cette famille qu’elle voulait oublier. Choc des cultures, choc des préjugés, Maya va tout faire pour rentrer. Vraiment tout. Quand l'avenir d'une parisienne trendy devient la galère d’une immigrée sans papier.


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  • J'ai adoré ce film qui va de surprise en surprise et où la fin est vraiment inattendue.

    scénario: 17/20    acteurs: 17/20   technique: 17/20   note finale: 17/20

    Insaisissables

    « Les Quatre Cavaliers », un groupe de brillants magiciens et illusionnistes, viennent de donner deux spectacles de magie époustouflants : le premier en braquant une banque sur un autre continent, le deuxième en transférant la fortune d’un banquier véreux sur les comptes en banque du public. Deux agents spéciaux du FBI et d’Interpol sont déterminés à les arrêter avant qu’ils ne mettent à exécution leur promesse de réaliser des braquages encore plus audacieux. Ils font appel à Thaddeus, spécialiste reconnu pour expliquer les tours de magie les plus sophistiqués. Alors que la pression s’intensifie, et que le monde entier attend le spectaculaire tour final des Cavaliers, la course contre la montre commence.


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  • Très beau film, bien joué, bien filmé. On peut regretter un accent marseillais qui sonne faux. Et cette pauvre Fanny qui ne fait que pleurnicher... mais c'est l'histoire me direz-vous...

    scénario: 16/20   acteurs: 16/20   technique: 17/20   note finale: 16/20

    Fanny

    Fanny, amoureuse et abandonnée, apprend qu’elle attend un enfant de Marius. Elle se retrouve en position dramatique de mère-fille, incapable d’assurer son propre avenir et celui de son enfant. Elle accepte alors, avec l’approbation de sa mère et du grand-père de son enfant, César, de se marier avec un commerçant prospère du Vieux-Port, Honoré Panisse ; celui-ci est âgé de trente ans de plus qu’elle. Il reconnaît son enfant et l’élève comme le sien ; Panisse leur apporte une prospérité certaine, une honorabilité sociale retrouvée et un avenir confortable. Quelques mois après le mariage et la naissance du bébé, Marius, prenant conscience de son amour pour Fanny durant son voyage lointain, mais qui n’a pas de situation sérieuse, revient et cherche à reconquérir Fanny, toujours amoureuse de lui et à reprendre son enfant.


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  • Très joli film. Raphaéel P. est un acteur magnifique, magnifiquement filmé. Et fanny est une cruche. C'est très bien filmé et les décors sont très réussis.

    scénario: 16/20        acteurs: 16/20    technique: 18/20    note finale: 16/20

    Marius

    L’histoire de MARIUS se déroule sur le Vieux-Port de Marseille, dans le Bar de la Marine tenu par César et son fils Marius. Marius ne rêve que d’embarquer sur un des bateaux qui passent devant le bar et prendre le large vers les pays lointains. Fanny, jeune et jolie marchande de coquillages sur le devant du bar, aime secrètement Marius depuis l’enfance ; Marius, sans l’avouer, a toujours aimé Fanny. Pour retenir Marius, pressenti pour un engagement sur un navire d’exploration, Fanny lui dévoile son amour pour lui et parvient à attiser sa jalousie en provoquant une vive dispute entre Marius et un vieil ami de César, le maître-voilier Panisse, qui, beaucoup plus âgé, courtise Fanny. Partagé entre l’appel de la mer et son amour pour Fanny, Marius renonce à son projet et finit par s’unir à Fanny qui s’offre à lui. Mais, alors que César et Honorine, la mère de Fanny, sont prêts à les marier, Marius est repris par sa folie de la mer. Poussé par Fanny qui se sacrifie par amour pour Marius, ce dernier monte à bord du navire qui part, abandonnant Fanny bouleversée, qui retient ses larmes et cache à César le départ de son fils.


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  • Une jolie comédie. On passe un bon moment malgré la présence de Charlotte Le Bon qui est toujours aussi laide (mon Dieu, mais pourquoi ne s'arrange-t-elle pas? au moins les dents...). Le reste, pas mal.

    scénario: 16/20   acteurs: 16/20   technique: 16/20   note finale: 16/20

    Le grand méchan loup

    Il était une fois trois frères qui vivaient heureux. Du moins le pensaient-ils. Un jour leur maman eut un accident. Alors Henri, Philippe et Louis se mirent à se questionner sur le sens de leur vie. Une grande vague de doutes pour ces quarantenaires versaillais sans histoire, qui suffit à leur faire entrouvrir la porte à l'inédit, à l'interdit, à l'aventure... au Grand Méchant Loup!

    De maison de paille en maison de bois, le loup aussi sexy soit-il délogera-t-il nos trois frères ? Et l'hôtel particulier en pierre de taille de l'aîné, est-il vraiment si solide ? Et si au bout du compte la vie d'adulte n'était pas complètement un conte pour enfant ?


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  •  Le problème, c'est que j'adore Jason Statham alors concernant l'objectivité de cette critique, faut pas rêver... MDR Il est comme d'habitude parfait dans ce film. Il est toujours parfait et je rêve de le voir dans une jolie comédie romantique un jour. Il faut être réaliste, le scénario n'est pas terrible mais Jason sauve tout, vous vous en doutez...

    scénario: 14/20    technique: 16/20    acteurs: 17/20   note finale: 16/20

      Crazy Joe

    Ex-soldat des forces spéciales britanniques, Joey Jones se retrouve à la rue dans Londres après s’être enfui pour échapper à un procès en cour martiale. En s’introduisant par effraction dans un appartement inoccupé, il découvre de quoi recommencer une nouvelle vie.
    Bientôt, il décroche un petit boulot dans un restaurant chinois. Plongeur, puis videur, il va peu à peu gravir les échelons pour devenir chauffeur et homme de main d’un ponte de la mafia chinoise. Sa volonté sans limite et sa force physique lui font rapidement gagner la confiance de ses employeurs qui l’ont surnommé "Crazy Joe".
    En voulant retrouver son ancienne petite amie, Joey découvre qu’elle a été assassinée. Il se jure de tout faire pour la venger. Commence alors pour lui une plongée infernale dans les pires bas-fonds de Londres…


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