•  Le seul intérêt de ce film, ce sont les images d'archives du procès Eichmann!! Le reste est d'un ennui mortel et d'une lenteur exaspérante! L'actrice principale est très mauvaise et cela plombe le film dont le scénario est loin d'être génial... Et ça ne fait que fumer!  dommage!

    scénario: 10/20      acteurs: 13/20   technique: 16/20  note finale: 11/20

    Hannah Arendt

    1961
    La philosophe juive allemande Hannah Arendt est envoyée à Jérusalem par le New Yorker pour couvrir le procès d’Adolf Eichmann, responsable de la déportation de millions de juifs.
    Les articles qu’elle publie et sa théorie de “La banalité du mal” déclenchent une controverse sans précédent.
    Son obstination et l’exigence de sa pensée se heurtent à l’incompréhension de ses proches et provoquent son isolement.

    Quelle aubaine (en particulier pour les profs de philo et d'histoire !) que ce film pour tous ceux qui tentent de comprendre le présent par l'éclairage du passé, ou de saisir une pensée en marche, et ses applications dans la réflexion sur ce qui se passe autour de nous. Pas fastoche de transcrire au cinéma une pensée en train de se construire : cinéma et philosophie ne font pas forcément bon ménage, le premier étant par essence l'art des illusions que la seconde s'obstine à démonter… Et hélas Margarethe Von Trotta ne le réussit pas , en s'attachant à un épisode bien précis de sa vie, à dérouler en images ce qui fut probablement le plus riche travail de réflexion de la célèbre philosophe Hannah Arendt, elle nous ennuie. C'est vraiment vraiment bien ennuyeux! Et l'actrice principale fait de la peine tant elle est mauvaise: il faut dire qu'elle se débat avec un scénario fort peu intéressant. Sa principale activité est non de faire de la philosophie ou de réfléchir, mais de fumer! triste de la réduire à cela!

    Situons le cadre. Nous sommes en 1961, Hannah Arendt est, depuis près d'une décennie, une philosophe reconnue aux Etats Unis où elle enseigne et où elle a publié un des sommets de son œuvre, Les Origines du Totalitarisme. Elle parle en connaissance de cause puisque, jeune étudiante juive, elle a fui l'Allemagne et a transité par le camp d'internement de Gurs, cette antichambre des camps de concentration si bien tenue par la maréchaussée française, avant de réussir à prendre en 1941 un bateau pour les USA via Lisbonne. Elle a donc échappé de peu à la persécution nazie, et a été profondément affectée par l'allégeance faite au parti national socialiste par son ancien mentor et amant Martin Heidegger (qu'elle soutiendra malgré tout lors de son procès après la guerre). En 1961, le journal Le New Yorker la sollicite pour aller couvrir à Jérusalem le procès du nazi Eichmann : elle devra réaliser un reportage en cinq parties, qui seront par la suite réunies dans un ouvrage. Un défi pour Arendt qui va se trouver replongée dans l'horreur et confrontée à l'incarnation du mal absolu, à un des acteurs majeurs du génocide. Et celui qu'elle découvre dans le box des accusés n'est pas le monstre attendu, ivre d'une idéologie meurtrière, mais un médiocre petit fonctionnaire qui s'exprime avec maladresse et se défend minablement en se retranchant derrière l'obéissance aux ordres de ses supérieurs dans la machine totalitaire du Reich. C'est ainsi qu'Arendt se convainc et construit sa célèbre théorie sur la banalité du mal : les grands systèmes de répression totalitaires sont bien sûr nourris par des idéologies folles conçues par des esprits malades mais n'existent que par la servilité, la lâcheté, l'absence totale de volonté et de pensée critique de milliers d'agents zélés du système. Les théories d'Arendt dérangent car, dans l'esprit de ses détracteurs, elles contribuent à relativiser la responsabilité d'Eichmann. Elle se met définitivement à dos l'opinion israélienne et juive américaine et se coupe de ses plus proches amis en soulignant – oh scandale ! – le rôle ambigu de certains dignitaires juifs qui ont cru échapper au pire en collaborant partiellement avec le régime nazi…

    Ce qui est ennuyeuxt dans le film et mal fait, au-delà de la retranscription plus ou moins fidèle d'un épisode historique, c'est bien de voir comment cette pensée se construit au fur et à mesure que le procès avance. Margarethe Von Trotta mêle pure fiction et images d'archives saisissantes (ça c'est intéressant), utilisant en particulier les vrais témoignages d'Eichmann, enregistrés à l'époque (des images qu'on avait pu découvrir dans le formidable documentaire d'Eyal Sivan et Rony Brauman, Un Spécialiste).
    Reconstituant par quelques rares flash-back – évoquant notamment la relation avec Heidegger – la personnalité complexe de la philosophe, piètrement incarnée par Barbara Sukowa, le film brosse mal le portrait d'une femme hors du commun. C'est dommage car le sujet aurait pu donner un film fort et très intéressant.

    mais là, c'est nul

     


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  • Bof, pas très réussi. Ennuyeux même. Je n'ai pas accroché.Il faut dire que l'histoire de base est assez conne et peu intéressante, mais bref.

    scénario: 12/20    acteurs: 12/20   technique: 16/20     note finale: 12/20

    11.6

    Toni Musulin est convoyeur de fonds depuis dix ans. Le 5 novembre 2009, à 10 heures du matin, il appuie doucement sur l’accélérateur de son fourgon blindé. À l’arrière de son véhicule, 11.6 millions d’euros…


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  • Enorme déception pour ce film. le cinéma belge nous a habitué à beaucoup mieux. Mais pourquoi les pauvres sont-ils toujours laids et bêtes dans les films. Ce film très ennuyeux au scénario approximatif ne nous entraîne jamais dans son histoire improbable. Dave est remarquable.

    scénario: 8/20      acteurs:16/20       technique: 14/20      note finale:12/20

    Une chanson pour ma mère

    Quelque part dans les Ardennes, aujourd’hui…
    C’est parce qu’ils adorent leur maman qui est en train de disparaitre, que les membres de cette famille décomposée décident de lui offrir le plus incroyable des cadeaux d'adieu: Dave, le chanteur, son idole, en personne !
    Mais ce projet délirant est peut-être un peu trop ambitieux pour ces frères et soeurs qui croulent sous les non-dits et le silence depuis si longtemps.
    Leur amour pour leur mère et la force des liens familiaux retrouvée va leur donner le courage et la folie nécessaire pour atteindre leur but. Au grand désespoir de Dave, leur victime d’un soir…


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  • Si ennuyeux, que je suis parti avant la fin. Sans queue ni tête, Agtnes Jaoui bégaie toujours autant. C'est bavard et vain. Déception. Même les acteurs se demande ce qu'ils font là.

    scénario: 5/20         technique: 16/20    acteurs: 12/20  note finale: 8/20

    Au bout du conte

    Il était une fois une jeune fille qui croyait au grand amour, aux signes, et au destin ; une femme qui rêvait d’être comédienne et désespérait d’y arriver un jour ; un jeune homme qui croyait en son talent de compositeur mais ne croyait pas beaucoup en lui.
    Il était une fois une petite fille qui croyait en Dieu.
    Il était une fois un homme qui ne croyait en rien jusqu’au jour où une voyante lui donna la date de sa mort et que, à son corps défendant, il se mit à y croire.

    Les revoilà ! Et c'est complètement raté ! Dame Jaoui et Sieur Bacri sont de retour. Ils reviennent dans un carrosse doré tiré par cent vingt cinq chevaux, menant une  comédie inutile et ratée où les mots sont creux et inutiles  et les situations nous ennuient et nous donnent sommeil . Il devait  s'agir  d'un conte… qui revisiterait les contes, ou qui détournerait les contes, bref, un melting-conte qui embrasse toutes ces belles histoires qui commencent par « Il était une fois… ».

    Mais hélas,  tout est gnan-gnan dans ce film-là. Jaoui-Bacri, c'est hélas, aucune subtilité dans ce film-là, du pathétique, du nul.

    Il était une fois… aujourd'hui, dans une grande ville et sa proche banlieue… Il y a la bonne fée qui travaille avec des enfants dans les écoles. La quarantaine bien sentie tendance un peu paumée, elle planque sa petite déprime sous une belle coiffe pointue et un optimisme à toute épreuve. Il y a le petit chaperon rouge ou la belle au bois dormant. Toute de naïveté et de candeur, elle ne connaît rien encore des choses de la vie, mais nourrit le rêve fou d’un amour pour toujours. Il y a la belle-mère qui adore son reflet dans le miroir. Elle est diaboliquement belle mais elle a triché : la chirurgie esthétique lui permet de défier les lois du temps et des rides mais l'a privée du plaisir de rire, de sourire… Il y a le père, le Roi. Il porte le nœud papillon avec la classe de sa classe et trône sur un empire industriel qui est peut-être « un tout petit peu polluant ». Il y a le prince rêveur, mélange de troubadour (sans justaucorps moulant) et de preux chevalier (sans armure) : il est compositeur et rêve d’absolu plus que de gloire. Il y a le grand méchant loup, le séducteur machiavélique. Il travaille dans la musique et les fait toutes craquer. Il y a la gentille bonne maman, dévouée, bosseuse, qui ne se plaint jamais mais qu'on a toujours envie de plaindre quand même.
    Et puis il y a le type qui ne sort apparemment d’aucun conte pour enfants, le type qui de toute façon exècre les histoires, et puis exècre aussi les enfants parce que ça fait trop de bruit. Lui, il est directeur/moniteur d'auto-école, c’est une sorte d’anti-Gepetto, sans rêve aucun de progéniture : un fils, il en a déjà un, et ça fait vingt ans qu'il ne sait pas comment s'y prendre avec lui. Celui-là, Pierre, il est bien content de ne pas être le personnage d’un conte car les contes, il n'y croit pas. En fait il ne croit pas en pas grand chose. Et il nous ennuie autant qu'il s'ennuie.

    Alors voilà, au bout du compte, tout ce petit monde en fait un très ennuyeux et inutile, de conte. Le ton, le style Jaoui/Bacri, qu'on aimait tant, ce ne sont que  des mots vains et creux ici  !
    Tout va commencer par une date. Pas n’importe laquelle. La date qu’une voyante a donné à Pierre : la date de sa mort. Bien entendu, cette date, il l'a oubliée : il ne croit en rien, il ne va pas se mettre à prendre au sérieux la prédiction d'une voyante ! Sauf que quelqu’un va la lui rappeler et dès lors, il ne va plus penser qu’à ça. Et ça va chambouler son existence, la façon dont il envisage la vie, l’amour, la filiation… Il va devoir refaire ses contes… Et nous si on ne part pas avant la fin, on se sera bien ennuyé. Le tandem nous avait habitué à mieux. Ce film est nul!

     

     


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  •  Je me suis endormi donc il faudra que je le revois afin de donner avis éclairé sur ce film pas très prenant visiblement. La fin est nulle. mais il me manque une partie au milieu pour juger réellement... donc à suivre

    Je l'ai revu et c'est assez ennuyeux. Lambert Wilson est plus folle que jamais: il devrait faire attention! Fabrice Lucchini est formidable mais le scénario est un peu léger. L'Ile de Ré est magnifiquement filmé.

    scénario: 14/20     technique: 17/20    acteurs: 15/20   note finale: 14/20

    Au sommet de sa carrière d’acteur, Serge Tanneur a quitté une fois pour toutes le monde du spectacle. Trop de colère, trop de lassitude. La fatigue d’un métier où tout le monde trahit tout le monde. Désormais, Serge vit en ermite dans une maison délabrée sur l’Île de Ré… Trois ans plus tard, Gauthier Valence, un acteur de télévision adulé des foules, abonné aux rôles de héros au grand cœur, débarque sur l’île. Il vient retrouver Serge pour lui proposer de jouer «Le Misanthrope» de Molière. Serge n’est-il pas devenu une pure incarnation du personnage d’Alceste ? Serge refuse tout net et confirme qu’il ne reviendra jamais sur scène. Pourtant, quelque chose en lui ne demande qu’à céder. Il propose à Gauthier de répéter la grande scène 1 de l’Acte 1, entre Philinte et Alceste. Au bout de cinq jours de répétition, il saura s’il a envie de le faire ou non. Les répétitions commencent : les deux acteurs se mesurent et se défient tour à tour, partagés entre le plaisir de jouer ensemble et l’envie brutale d’en découdre. La bienveillance de Gauthier est souvent mise à l’épreuve par le ressentiment de Serge. Autour d’eux, il y a le microcosme de l’Île de Ré, figée dans la morte saison : un agent immobilier, la patronne de l’hôtel local, une italienne divorcée venue vendre une maison. Et l’on peut se prendre à croire que Serge va réellement remonter sur les planches…

    Au départ, comme dans nombre de bonnes comédies, il y a deux hommes que tout oppose. Gauthier Valence est le séduisant acteur à succès d’une série télé médicale inepte, qui lui donne confort matériel et adulation de la foule innombrable des téléspectateurs voyant en lui le chirurgien et le gendre idéal qui sauve les enfants de par le monde. Serge Le Tanneur est également acteur mais, dégouté du milieu du spectacle, il a depuis longtemps quitté les plateaux pour mener une vie d’ermite bougon au fin fond de l’Ile de Ré. Les deux hommes n’auraient jamais dû se revoir si Gauthier, au faîte de sa gloire mais en manque de grands textes, ne voulait monter Le Misanthrope de Molière pour lequel il veut absolument Serge pour partenaire. Gauthier décide donc de quitter Paris, ses impresarios la cour qui l’entoure pour tenter coûte que coûte de convaincre Serge de remonter sur les planches. La première scène, très drôle, est symbolique des difficultés que va affronter Gauthier : quand il arrive, Serge est en train de se débattre avec des entrepreneurs qui veulent lui extorquer 5000 euros pour la fosse septique de sa maison délabrée. Et la suite ne va pas être simple : Gauthier, habitué aux contrats rapidement signés, comptait rentrer sur Paris le lendemain mais Serge, après avoir refusé tout net, va demander une semaine pour faire ensemble des répétitions avant de donner une réponse définitive. Le film va donc raconter le long apprivoisement réciproque entre deux hommes si différents par leur passé et leur conception du métier et pourtant unis par l’amour du jeu.

    La force du film tient probablement à ce qu’il correspond à une réalité : Le Misanthrope est le texte fétiche de Fabrice Luchini, qui incarne magnifiquement Serge, personnage qui est probablement très proche de lui-même. Et c’est d’ailleurs sur cette passion pour la pièce de Molière, découverte sur le tournage des Femmes du sixième étage, que Philippe Le Guay a construit son film. Lambert Wilson joue de son côté parfaitement Gauthier, son ambiguïté, son glamour naturel, sa force douce mais bien présente. Mais les deux vrais héros du film sont d’une part le texte du Misanthrope, splendidement restitué par les deux hommes dans des circonstances parfaitement incongrues, en vélo ou au-dessus d’un muret dans une scène très réussie. Et d’autre part l’Ile de Ré, à la fois magnifiée mais aussi moquée (dans cette tirade où Gauthier à bout de nerfs hurle qu’il déteste cette île pleine de « cathos et de petits blonds en vacances »). Le cinéaste a l’intelligence de glisser une très jolie histoire d’amour et d’amitié à la Jules et Jim quand une jolie femme divorcée italienne s’immisce entre les deux acteurs qui deviennent rapidement des coqs en concurrence. Et s’amuse aussi avec une satire assassine du monde du cinéma et de la télévision. Mais il livre des moments de grâce avec des personnages secondaires savoureux comme cette jeune serveuse de l’hôtel au visage angélique mais actrice X à ses heures, qui s’avère lors d’un bout d’essai une Célimène bouleversante. Après cet Alceste à bicyclette vous (ainsi que vos enfants ou élèves si vous enseignez) ne verrez plus tout à fait Molière avec le même regard.


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  • Malgré un Gérard Depardieu comme d'habitude génial et une photo d'une beauté à couper le souffle, ce film n'a ni queue ni tête. C'est du grand n'importe quoi. <Je ne savais pas que Victor Hugo avait écrit des histoires aussi débiles. Autre point faible du film, l'acteur qui joue Gwynplaine: il a non seulement un accent bizarre mais en plus, il joue comme une casserole et face à Depardieu, ça ne pardonne pas. Bref, grosse déception pour ce film.

    L'Homme qui rit

    En pleine tourmente hivernale, Ursus, un forain haut en couleurs, recueille dans sa roulotte deux orphelins perdus dans la tempête : Gwynplaine, un jeune garçon marqué au visage par une cicatrice qui lui donne en permanence une sorte de rire, et Déa, une fillette aveugle.
    Quelques années plus tard, ils sillonnent ensemble les routes et donnent un spectacle dont Gwynplaine, devenu adulte, est la vedette. Partout on veut voir ‘L’Homme qui rit’, il fait rire et émeut les foules. Ce succès ouvre au jeune homme les portes de la célébrité et de la richesse et l'éloigne des deux seuls êtres qui l’aient toujours aimé pour ce qu’il est : Déa et Ursus.


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  • Ouai bof, exactement le genre de film qui ne sert à rien et qui n'apporte rien. 5 meutres ont eu lieu et on s'aperçoit avec un nombre incroyables d'invraisemblances que ce n'est poas ce que ça doit être. mais vous vous en doutez, Tom Cruise, va résoudre tout ça. D'un vide abyssal. Inutile. Prévisible. un téléfilm comme on en voit temps. Un scénario et des dialogues d'une vacuité incroyable. Les acteurs sont moyens. Mais c'est bien filmé.

    scénario: 2/20    acteurs: 8/20      technique: 16/20     note finale: 5/20

    Jack Reacher

    Un homme armé fait retentir six coups de feu. Cinq personnes sont tuées. Toutes les preuves accusent l’homme qui a été arrêté. Lors de son interrogatoire, le suspect ne prononce qu’une phrase : « Trouvez Jack Reacher. »
    Commence alors une haletante course pour découvrir la vérité, qui va conduire Jack Reacher à affronter un ennemi inattendu mais redoutable, qui garde un lourd secret.


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  • Mortel ennui! Mon Dieu, que ce film est ennuyeux: on souhaite chaque seconde qu'il se termine enfin mais il continue, il continue... C'est pénible. >Il faut dire que sans scénario, difficile de faire un bon film C'est vraiment dommage que ce soit si ennuyeux car c'est magnifiquement filmé, les décors, les paysages et les costumes sont magnifiques. Mais il n'y a pas vraiment d'histoire et c'est trop lent et ennnuyeux. Les acteurs font ce qu'ils peuvent.

    scénario: 8/20     acteurs: 12/20   technique: 18/20  note finale: 9/20

    Renoir

     

    1915. Sur la Côte d’Azur. Au crépuscule de sa vie, Auguste Renoir est éprouvé par la perte de son épouse, les douleurs du grand âge, et les mauvaises nouvelles venues du front : son fils Jean est blessé… Mais une jeune fille, Andrée, apparue dans sa vie comme un miracle, va insuffler au vieil homme une énergie qu’il n’attendait plus. Éclatante de vitalité, rayonnante de beauté, Andrée sera le dernier modèle du peintre, sa source de jouvence.
    Lorsque Jean, revenu blessé de la guerre, vient passer sa convalescence dans la maison familiale, il découvre à son tour, fasciné, celle qui est devenue l’astre roux de la galaxie Renoir. Et dans cet éden Méditerranéen, Jean, malgré l’opposition ronchonne du vieux peintre, va aimer celle qui, animée par une volonté désordonnée, insaisissable, fera de lui, jeune officier velléitaire et bancal, un apprenti cinéaste…

    « Un sein, c'est rond, c'est chaud. Si Dieu n'avait créé la gorge de la femme, je ne sais si j'aurais été peintre. » Auguste Renoir

    L’homme est au crépuscule de sa vie. Son corps paralysé n’est qu’un cri de souffrance, ses doigts déformés par la polyarthrite ne sont plus en mesure de tenir le pinceau, son âme pleure la perte douloureuse de son épouse. L’homme est vieux et seul, ses deux fils, Jean et Pierre, sont au front, blessés, et il craint à chaque instant que la grande faucheuse ne l’oublie lui pour les arracher eux à cette vie qui lui échappe un peu plus chaque jour. L’homme est au crépuscule de sa vie, mais l’artiste est un jeune homme… sensible comme à vingt ans aux pulsions vitales qui l’entourent : le vent qui s’engouffre dans les arbres longeant l’allée de sa demeure provençale, les parfums de fleur d’oranger et de jasmin qui lui parviennent comme depuis un lointain printemps, les couleurs d’une nature éblouissante qui éclaboussent cette année 1915 comme un pied de nez à 1914 et à sa déclaration de guerre. Auguste Renoir peint. Inlassablement, obstinément. Le pinceau attaché à ses doigts crochus par des bandages est comme un prolongement de lui-même, son chapeau de paille est vissé à son crâne chauve pour le protéger d’un soleil qui a pourtant tant et tant à lui offrir. Renoir peint la vie qui coule, qui s’échappe, qui fuit, qui renaît.

    La vie, c’est Andrée. Belle plante rousse aux formes généreuses et au tempérament de lave. Andrée qui arrive avec les premiers rayons du matin pour faire le modèle chez Monsieur Renoir. Elle déboule dans le cadre du vieux monsieur et c’est pour lui comme un miracle : la jeune fille va insuffler au peintre une énergie qu’il n’attendait plus. Eclatante de beauté et de volupté, étendue nue dans un pré ou à demi tournée sur un sofa, elle sera son ultime muse, son inspiration colorée, sa délicieuse et bouillonnante « Dédée »…
    Mais la belle attrapera aussi dans ses filets Jean, le fils blessé venu en convalescente dans cet eden méditerranéen bien loin des horreurs du front. Jean qui semble si discret, si indécis face à un père autoritaire, parfois tyrannique et tellement certain de son art. Sa rencontre avec Andrée sera décisive : c’est par amour pour elle, pour faire d’elle « une vedette » qu’il se lancera timidement dans le cinéma pour devenir celui que l’on sait.
    En s’attachant aux événements d’un seul été, Gille Bourdos livre un portrait sensible mais ennuyeux de celui dont la peinture fut la plus charnelle, la plus instinctive et la plus joyeuse du mouvement impressionniste. Le contraste entre le vieil homme immobilisé par la maladie et la jeune fille qui n’est que mouvement, vitalité, exubérances est d’une beauté émouvante. Entre eux deux, l’art devient le trait d’union, révélant la force absolue de la peinture, qui fait oublier la douleur pour que seule la beauté demeure.

    La seule réussite du film, c'est sa splendeur visuelle. Cela aurait pu être l’interprétation de Michel Bouquet, à propos duquel l’usage de tout superlatif semble inapproprié pour rendre compte avec justesse de l’étendue de son talent, mais pas dans ce film où il est pathétique et où il défend comme il peut un scénraio sans intérêt. Les deux jeunes acteurs sont très moyens.

    Renoir nous laisse le sentiment d'un film gâché qui avait tout pour être une grande réussite. Mortel ennui.


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  •  N'importe quoi. pas très réussi. ce film partait d'une bonne intention mais c'est fouilli, cela part dans tous les sens et c'a pas grand intérêt finalement. Nous étions 3 dans la salle. Un signe?

    scénario: 11/20   acteurs: 12/20   technique: 16/20   note finale: 12/20

    Télé gaucho

    Tout a commencé lorsque les caméscopes ont remplacé les caméras. Faire de la télé devenait alors à la portée de tous. Jean-Lou, Yasmina, Victor, Clara, Adonis et les autres ne voulaient pas seulement créer leur propre chaîne de télé, ils voulaient surtout faire la révolution. Ainsi naquit Télé Gaucho, aussi anarchiste et provocatrice que les grandes chaînes étaient jugées conformistes et réactionnaires. Cinq années de grands foutoirs, de manifs musclées en émetteur pirate, de soirées de beuveries en amours contrariées... et ce fut ma parenthèse enchantée.

    C'est une époque qui nous semble proche et étrangement lointaine à la fois. En 1995, il y a donc dix-sept ans, Michel Leclerc – qui a depuis débuté dans la réalisation avec un coup de maître : le savoureux et ironique Le nom des gens – est un jeune monteur pour la télé commerciale, qui s'investit parallèlement dans Télé Bocal, une télé de proximité du vingtième arrondissement créée par de joyeux flibustiers ribouldingues qui ont profité de l'arrivée des nouvelles caméras numériques légères pour tenter de contrebalancer les images dominantes. Deux décennies après les premières radios libres, dont les ondes ont été libérées en 1981 avant d'être en majeure partie avalées par la grande récup de la FM commerciale, un bel espoir était né du côté des télés « pirates », avec Télé Bocal, Zalea TV et quelques autres qui firent trembler le PAF bien endormi.
    Michel Leclerc aurait pu faire de cette aventure un documentaire avec les protagonistes encore actifs et quelques images bien dingos tournées à l'époque, mais il a senti le potentiel comique et déjanté de cette histoire, avec sa galerie de personnages tout droit sorties d'une BD, tout en gardant un fil autobiographique à travers le personnage principal, Victor, un jeune apprenti cinéaste recruté in extremis, le seul à peu près raisonnable dans une bande d'allumés, une sorte de clown blanc au milieu des augustes de l'audiovisuel pirate.

    Dans la bande de Télé Bocal, rebaptisée Télé Gaucho pour le film, il y a les fondateurs : Jean-Lou, le chef un peu tchatcheur, un peu gourou, très dragueur, incarné par un Eric Elmosino au mieux de sa forme ; Yasmina, la furie politique toujours prête à en découdre avec la maréchaussée dans les manifs de sans papiers ou les occupations d'immeubles (Maïwenn est parfaite) ; Etienne, l'idéologue intransigeant qui voit des stigmates de la bourgeoisie partout tout en habitant les beaux quartiers… La bande est bientôt rejointe par Clara, miss catastrophe irrésistiblement touchante, sorte de furie toujours enthousiaste, incarnée par la toujours azimutée Sara Forestier.
    Michel Leclerc épingle, de manière sarcastique mais tendre, les paradoxes de ce milieu, avec ses personnages tout en contradictions, mus par une énergie incroyable mais aussi par les tensions liées au pouvoir – Jean-Lou, qui se proclame anar, est le pire des tyrans hystériques –, liées au machisme, qui n'épargne pas les gauchistes comme nombre de femmes ont pu s'en apercevoir… Il pointe aussi les limites du dézinguage de la télé dominante quand ils essaient de piéger la présentatrice de télé-réalité Patricia Gabriel (Emmanuelle Béart), employeuse fascinante de Victor, pas aussi crétine qu'elle en a l'air.

    Mais au delà de toutes ses réserves, le film montre de manière hilarante la créativité et la causticité de la bande, autant quand Victor crée ces mini-séries désopilantes qui ont fait le succès de Télé-Bocal (par exemple « Ces objets qui nous font chier ») ou quand l'équipe infernale monte le piratage durant quelques secondes d'une retransmission d'un discours de l'Elysée… Tout ça baigne dans une joyeuse ambiance punk bercée par une bande son entre titre des Motivés et du groupe punk K-Roll.


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  • Les 30 premières minutes sont ennuyeuses mais le reste du film est relativement intéressant même si c'est typiquement américain avec des références à la culture américaine etc... On peut noter un clin d'oeil amusant: celui de la fée des dents américaine à sa cousine française la petite souris. Mais à part ça, c'est un peu creux. 

    scénario: 8/20   technique: 14/20  note finale: 10/20

    L’aventure d’un groupe de héros, tous doués de pouvoirs extraordinaires. Emmenées par Jack Frost, un adolescent rebelle et ingénieux, ces cinq légendes vont devoir, pour la première fois, unir leurs forces pour protéger les espoirs, les rêves et l’imaginaire de tous les enfants.

    Et si la légende du Père Noël, du Lapin de Pâques, de la Fée des Dents et du Marchand de Sable ne nous avait pas dévoilé tous ses secrets ? Et si ceux qui nous offrent généreusement des cadeaux, des œufs, de l’argent ou des rêves avaient gardé en eux une part de mystère ? Les Gardiens de l’enfance, chargés de veiller sur l’innocence et l’imaginaire de nos chères têtes blondes, vont devoir déployer leurs forces comme jamais encore ! Car dès lors que Pitch, un redoutable esprit maléfique menace d’éliminer les Gardiens en volant aux enfants leurs rêves et leurs espoirs pour répandre la peur, nos quatre héros demandent à Jack Frost de les rejoindre et les aider dans leur mission. Adolescent rebelle et solitaire, Jack Frost peut, grâce à sa canne magique, et pour son plus grand plaisir, créer de la glace, du vent et de la neige mais il ne connaît rien de son passé et n’a aucun réel but dans la vie… Invisible aux yeux des enfants, Jack Frost n’a pas conscience de l’étendue de son pouvoir mais en s’engageant aux côtés des quatre légendes dans un combat sans merci contre le mal, il va enfin se révéler à lui-même et aux enfants du monde entier.

    Adaptation des romans et livres illustrés de William Joyce, ce long métrage déploie un imaginaire foisonnant et fascinant et nous offre une belle réussite visuelle doublée d’un joli conte de Nœl, magique et divertissant. Les méchants sont méchamment maléfiques et les héros sont sages et courageux, autour d’eux des fées colibris virevoltent au-dessus de sculptures en pierres vivantes et de gentils yétis dans des décors chatoyants… tous les ingrédients sont réunis. Dreamworks a bien compris qu’un film d’animation se doit de toucher tout le monde, mais le temps de ce long-métrage, on sera vraiment tous des enfants…


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  •  Enorme déception. Un scénario vraiment minimaliste. Je préférai vraiment le précédent. Les cascades sont toujours les mêmes mais énorme déception pour l'histoire en elle-même. Pas de James Bond girl, il y a bien la femme du méchant qui a exactement quatre scènes dans le film. Bien filmé.  Donc, of.

    scénario: 8/20   technique: 16/20   acteurs: 16/20   note finale: 9/20

    Skyfall

    Dans sa 23ème aventure ciné, James Bond doit prouver sa loyauté envers M lorsque le passé de celle-ci revient la hanter, et que le MI6 est attaqué.


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  •  Un  film pour les vieux!! Vous savez les vieux: ceux qui vont au cinéma à VOTRE séance, et qui passent leur film à parler alors qu'ils ne font rien de la journée et qu'ils pourraient aller dans un café pour parler mais qui préfèrent aller à VOTRE séance et vous pourrir le film!! Et bien ce film est un film pour les vieux. Un genre de conte de fée pour vieux. Et moi, comme , ça ne m'a pas trop plu bien que je n'ai rien de spécial à repprocher à ce film qui est juste une histoire de vieux pour vieux. bref, pas trop concerné. Les vieux qui étaient à la même séance que moi ont adoré le film qu'ils n'ont pas cessé de commenter une seconde. Je les hais! J'ai trouvé ce film dégoutant et très ennuyeux. Et je préfère les films pour enfants! loool Mais si vous êtes vieux, vous allez ADORER ce film!

    scénario: 14/20   acteurs: 14/20   technique: 14/20  note finale: 8/20 

    Tous les espoirs sont permis

    Kay et Arnold forment un couple fidèle depuis de longues années, mais Kay rêve de pimenter un peu leur vie et de resserrer les liens avec son mari. Lorsqu’elle entend parler d’un thérapeute spécialisé dans les problèmes conjugaux qui exerce dans la ville de Great Hope Springs, elle fait tout pour persuader son mari de prendre l’avion pour une semaine intense de thérapie de couple… Tout recommencer n’est pas évident, mais c’est loin d’être triste !


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  •  Ca, c'est le film totalement improbable tant l'histoire de base est hasardeuse. On passe d'un einvraisemblance à l'autre et les dialogues sont d'une grossièreté inouie. Malgré cela, on rit tant c'est débile.

    scénario: 15/20   acteurs: 16/20   technique: 16/20   note finale: 15/20

    Voisins du troisième type

    À Glenview, dans l’Ohio, quatre banlieusards ordinaires décident de former un comité de surveillance de quartier. Même s’il s’agit surtout d’un prétexte pour échapper à leurs mornes existences, nos quatre héros vont tout de même faire une découverte incroyable : leur paisible petite ville a été envahie par des extraterrestres qui se font passer pour d’honnêtes citoyens. Face à la menace, le sort de leur quartier – et du monde – est désormais entre leurs mains…


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  • Si vous aimez 100 meurtres à la seconde, vous allez adorer cette histoire abrancadabresque... Et je passe sur les invraisemblances. Je me suis endormi malgré le buit du film.

    scénario: 4/20   acteurs: 14/20   technique: 16/20   note finale: 13/20

    Expendables 2: unité spéciale

    Les Expendables sont de retour, et cette fois, la mission les touche de très près...
    Lorsque Mr. Church engage Barney Ross, Lee Christmas, Yin Yang, Gunnar Jensen, Toll Road et Hale Caesar – et deux nouveaux, Billy The Kid et Maggie – l’opération semble facile. Mais quand l’un d’entre eux est tué, les Expendables jurent de le venger. Bien qu’en territoire hostile et donnés perdants, ils vont semer le chaos chez leurs adversaires, et se retrouver à tenter de déjouer une menace inattendue – cinq tonnes de plutonium capables de modifier l’équilibre des forces mondiales. Cette guerre-là n’est pourtant rien comparée à ce qu’ils vont faire subir à l’homme qui a sauvagement assassiné leur frère d’armes…

     


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  •  Pas inintéressant mais beaucoup trop violent et sanglant pour moi, et c'est souvent mal filmé. Les acteurs sont bien mais techniquement, c'est mauvais.

    scénario: 10/20     technique: 08/20    acteurs: 14/20   note finale: 9/20

    Savages

    Laguna Beach, Californie : Ben, botaniste bohème, Chon, ancien Navy Seal, et la belle O partagent tout. Ben et Chon sont à la tête d’un business florissant. Les graines ramenées par Chon de ses missions et le génie de Ben ont donné naissance au meilleur cannabis qui soit. Même s’il est officiellement produit pour des raisons thérapeutiques, ils en dealent partout avec la complicité de Dennis, un agent des stups. Leur affaire marche tellement bien qu’elle attire l’attention du cartel mexicain de Baja, dirigé d’une main de fer par Elena. Face à leur proposition d’"association", Chon est partisan de résister par la force, mais Ben préfère tout abandonner. Pour les contraindre à coopérer, le cartel kidnappe O. Elena a eu raison d’utiliser les liens très forts du trio, mais elle a aussi sous-estimé leur capacité à réagir… C’est le début d’une guerre entre l’organisation du crime dont le bras armé, Lado, ne fait aucun cadeau et le trio. Qu’il s’agisse de pouvoir, d’innocence, ou de la vie de ceux qu’ils aiment, tout le monde a quelque chose à perdre.


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  • Enorme déception. Je m'attendais vraiment à mieux: le scénario est faible, le graphisme est primaire et l'histoire est sans consistance. On s'ennuie et c'est un peu bête. Et ce n'est surtout pas pour les enfants.

    scénario:   11/20      technique: 11/20   note finale: 10/20

    Le magasin des suicides

    Imaginez une ville où les gens n’ont plus goût à rien, au point que la boutique la plus florissante est celle où on vend poisons et cordes pour se pendre. Mais la patronne vient d’accoucher d’un enfant qui est la joie de vivre incarnée. Au magasin des suicides, le ver est dans le fruit…


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  • Un scénario incertain où les invraisemblances sont légions, des acteurs pas vraiment impliqués et des tueries constantes: bref, pas très réussi tout ça. Un thriller qui aurait mérité un méilleur scénario.

    scénario: 10/20      technique: 15/20     acteurs: 14/20     note finale: 12/20

    Le guetteur

    Le commissaire Mattei est sur le point d'arrêter un notoire gang de braqueurs de banques, lorsqu'un tireur d'élite, en couverture sur les toits, décime à lui seul une armée de flics et permet à ses complices de s'enfuir. Malheureusement, l'un d'eux est grièvement blessé, et la suite de leur plan est compromise. Tandis que Mattei organise une gigantesque chasse à l'homme, le gang entame une véritable descente aux enfers...


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  • Il est temps d 'arrêter cette série! Car l'idée commence à s'essoufler. Cet opus est ennuyeux. les acteurs sont merveilleux mais leur talent ne masque pas un scénario indigent et des dialogues insignifiants.

    scénario: 12/20      acteurs: 16/20     technique: 16/20 

    Associés contre le crime

    Prudence et Bélisaire Beresford ont décidé de prendre un repos bien mérité. Mais une richissime héritière russe disparaît, et Prudence ne résiste pas à l’appel du danger… Bélisaire est bien obligé de suivre sa turbulente épouse. L’enquête va les conduire sur les traces d’un mystérieux savant qui détient le secret de l’éternelle jeunesse…


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  • Un film chiant qui tourne à vide. Et en plus, tous les acteurs sont moches. Un film inutile. Dans le même genre (un inconnu qui devient célèbre sans savoir pourquoi) , le film de Woody Allen était beaucoup mieux réussi.

    scénario: 3/20   acteurs: 5/20   technique: 16/20  noe finale: 5/20

    Superstar

    Un anonyme devient soudain célèbre, sans savoir pourquoi.


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  •  Je mets bof et je suis sympa... Je cherche encore l'intérêt de ce navet. On se demande tout le film où ils veulent en venir et tout à coup, c'est fini. c'est débile. Je vous le déconseille. Sans queue ni tête. Pire qu'un mauvais téléfilm allemand. Mais là en plus, vous payez...  le navet de l'été?

    scénario: 5/20                  acteurs: 5/20               technique: 16/20                note finale: 6/20

    Mains armées

    Lucas a 46 ans. Un grand flic, patron au trafic d’armes à Marseille.
    Maya a 25 ans. Elle est jeune flic aux stups, à Paris.
    Comme souvent, les armes croisent la drogue.
    Et Lucas va croiser Maya. Pas forcément par hasard.
    Flag, braquage, indics… leurs enquêtes vont s’entremêler.
    Leurs vies aussi.
    Parce que leur histoire a commencé bien longtemps avant leur rencontre…


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  • Si vous survivez à la première heure de ce film très ennuyeux, peut-être y trouvezrez-vous quelque intérêt. Surtout si vous aimez la castagne. Un film qui tourne à vide, un scénario désespérement plat. Le casting était alléchant mais sans scénario... difficile de jouer. Heureusement, il y a le beau Channing Tatum mais ça ne suffit pas à faire de ce film autre chose qu'une série B.

    scénario: 6/20   acteurs: 14/20  technique: 16/20  note finale: 8/20

    Piégée

    Agent d’élite, Mallory Kane est spécialiste des missions dans les endroits les plus risqués de la planète. Après avoir réussi à libérer un journaliste chinois retenu en otage à Barcelone, elle découvre qu’il a été assassiné – et que tous les indices l’accusent. Elle est désormais la cible de tueurs qui semblent en savoir beaucoup trop sur elle… Mallory a été trahie. Mais par qui ? Et pourquoi ?


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  • Ce n'est pas un film pour enfant mais un film d'horreur/fantastique. Blanche neige n'est que le nom de l'héroîne et tout cela n'a qu'un très lointain rapport avec le conte des frères Grimm. L'actrice qui joue BN est une horreur: elle joue comme une casserole. Un scénario incertain font de ce film un petit film à oublier rapidment malgré le jeu fantastique de Charlize theron.

    scénario: 8/20   acteurs: 8/20  technique: 16/20  note finale: 09/20

    Blanche Neige et le chasseur

    Dans des temps immémoriaux où la magie, les fées et les nains étaient monnaie courante, naquit un jour l’unique enfant d’un bon roi et de son épouse chérie : une fille aux lèvres rouge sang, à la chevelure noire comme l’ébène et à la peau blanche comme neige. Et voilà précisément où l’histoire que vous croyiez connaître prend fin et où la nouvelle adaptation épique et envoutante de ce célèbre conte des frères Grimm débute. Notre héroïne, dont la beauté vient entacher la suprématie de l’orgueilleuse Reine Ravenna et déclencher son courroux, n’a plus rien d’une damoiselle en détresse, et la cruelle marâtre en quête de jeunesse éternelle ignore que sa seule et unique rivale a été formée à l’art de la guerre par le chasseur qu’elle avait elle-même envoyé pour la capturer. Alliant leurs forces, Blanche-Neige et le chasseur vont fomenter une rébellion et lever une armée pour reconquérir le royaume de Tabor et libérer son peuple du joug de l’impitoyable Ravenna.


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  • Une énorme déception: ce film n'a ni queue ni tête. Bof, bof, bof. Ce film tourne complètement à vide. les acteurs font ce qu'ils peuvent mais ils n'arrivent pas à sauver un scénario complètement débile.

    scénario: 03/20         acteurs: 12/20        technique: 16/20   note finale: 5/20

    Adieu Berthe, l'enterrement de mémé

    Mémé is dead. Berthe n'est plus. Armand avait "un peu" oublié sa grand-mère… Pharmacien, il travaille avec sa femme Hélène à Chatou. Dans un tiroir de médicaments, Armand cache ses accessoires de magie car il prépare en secret un tour pour l'anniversaire de la fille… de son amante Alix. Et mémé dans tout ça ? On l'enterre ou on l'incinère ? Qui était Berthe ?

    Il faut le dire, Armand est un peu pleutre, un peu lâche, mais pas plus que la plupart d'entre nous dans certaines circonstances. Et puis c'est un pleutre attachant. Pharmacien à Chatou, petite commune des Yvelines aussi jolie que barbante malgré son Ile des Impressionnistes, il vit l’existence pas folichonne mais reposante d’un petit commerçant, conforté par l’amour immodéré et un peu aveugle de sa femme Hélène, pharmacienne avec lui, affrontant vaillamment l’indifférence d’un fils en pleine crise d’adolescence bercée par les jeux d’arcades, supportant stoïquement la surveillance de belle maman, qui habite à l’étage et tient le couple par ses largesses financières qui permettent à Armand et Hélène de boucler les fins de mois. Armand a heureusement deux jardins secrets : une passion innocente pour la magie (il cache ses instruments dans un tiroir à médicaments) et une moins avouable pour Alix, une dentiste volcanique, aussi grande gueule et soupe-au lait qu'Hélène est discrète et tempérée.

    Armand devrait se séparer d’Hélène, il en est question, mais les deux époux, qui se sont connus sur les bancs de l’université et se sont toujours aimés, n’arrivent pas à franchir le pas, un peu par peur du vide, un peu par confort. Cette vie de petits mensonges pourrait perdurer si ne surgissait un triste événement : la mort de mémé Berthe, que tout le monde avait un peu oubliée, et avec elle l’obligation pour Armand son petit fils de prendre enfin une responsabilité, l’organisation de son enterrement. Un événement qui tombe très mal puisqu’Armand devait organiser l’anniversaire de la fille d’Alix où il devait montrer ses talents de magiciens.
    L’intelligence de Podalydès est de rappeler combien ce genre d’événement tragique ramène tout homme endormi par les conventions et l’habitude à ses vrais regrets, à sa nature profonde, le pousse à enfin prendre sa liberté et ses responsabilités face à ses contradictions. Adieu Berthe est ainsi une jolie réflexion sur les valeurs humaines et familiales bousculées.

    Mais c'est avant tout une comédie jubilatoire comme savent si bien les concocter les frères Podalydès, depuis Versailles Rive Gauche jusqu’à Bancs Publics, avec cette vision à la fois acide et tendre de cette bourgeoisie parfois ridicule mais aussi touchante. Les ressorts comiques reposent sur une poésie du burlesque, avec cette fois-ci une partie de franche rigolade autour de la bataille d'Armand face à sa belle mère sur les conditions de l’enterrement, la belle mère étant totalement dévouée à un gourou des pompes funèbres (le génial Michel Vuillermoz en croque mort mystique) qui propose des funérailles pharaoniques. S’en suivra un enterrement qui prendra un tour grotesque (on pense à Joyeuses funérailles). Un comique qui repose aussi sur d'hilarants petits détails infimes et récurrents comme cette ridicule trottinette électrique avec laquelle Armand se déplace du foyer conjugal à celui de sa maîtresse en passant par le cimetière…
    Tout cela ne serait pas aussi drôle sans le talent des acteurs : Denis Podalydès évidemment, parfait en clown triste à côté de la plaque, Valérie Lemercier, géniale en furie capable de débiter les pires insanités au milieu d’un cimetière, Pierre Arditi en père Alhzeimer glamour, ou la grande comédienne de théâtre Catherine Hiegel en belle-mère possessive et manipulatrice…


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  • Malgré un casting alléchant et prometteur, ce film est très ennuyeux et banal. Tout cela ressemble à un très mauvais téléfilm allemand... Bref, on peut s'en passer.

    scénario: 12/20        technique: 16/20     acteurs: 14/20   note finale: 12/20

    Ce qui vous attend si vous attendez un enfant

    Fous de joie à l’idée de fonder une famille, Jules, séduisante icône du fitness à la télé, et Evan, star d’une émission de danse, réalisent que leur vie sous les projecteurs n’a aucune chance de résister aux exigences inattendues qui accompagnent une grossesse. Wendy, auteur à succès, folle de bébés, se retrouve pour la première fois dans la peau des futures mamans auxquelles elle prodigue ses conseils et découvre les surprenants effets physiques engendrés par les hormones de la grossesse. Son mari, Gary, essaie de ne pas se faire humilier par son père, doté d’un esprit de compétition affûté, dont la très jeune femme trophée, Skyler, attend des jumeaux. Holly, photographe, se prépare à parcourir le monde pour adopter un enfant, mais son mari Alex ne se sent pas prêt et tente de contenir sa panique avec l’aide d’un groupe de jeunes pères solidaires parlent avec franchise de la paternité. Rosie et Marco, deux chefs cuisiniers rivaux de « food trucks », ont une aventure et se retrouvent face à un dilemme : que faire quand votre premier enfant s’annonce avant votre premier rendez-vous ?


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  •  Ce n'est pas du tout mon genre de film et celui-ci ne m'a pas passionné. Hulk sauve le minde mais tous ces super héros sont finalement assez énnuyeux.

    scénario: 10/20        acteurs: 16/20        technique: 16/20      note finale: 12/20

    Avengers

    Lorsque Nick Fury, le directeur du S.H.I.E.L.D., l'organisation qui préserve la paix au plan mondial, cherche à former une équipe de choc pour empêcher la destruction du monde, Iron Man, Hulk, Thor, Captain America, Hawkeye et Black Widow répondent présents.
    Les Avengers ont beau constituer la plus fantastique des équipes, il leur reste encore à apprendre à travailler ensemble, et non les uns contre les autres, d'autant que le redoutable Loki a réussi à accéder au Cube Cosmique et à son pouvoir illimité...


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  • On se demande pourquoi un titre aussi patétique a été choisi. cela doit être du 25ième degré. On n'est pas loinde la grosse daube, du téléfilm fait à la va-vite... on peut s'en passer;

    scénario: 12/20       acteurs: 12/20       technique: 16/20  note finale: 12/20

    Sea, no sex and sun

    La Bretagne, le mois de Juillet, Carnac-Plage.
    Alex, 20 ans, saisonnier au Tennis-Club, profite de sa liberté, sort, fait des rencontres. Guillaume, 35 ans, vient en vacances avec sa femme et sa fille. C’est ici qu’il a passé ses meilleurs étés lorsqu’il était jeune. Pierre, 50 ans, récemment divorcé, séjourne avec ses deux enfants et espère renouer avec eux.
    "Sea, no sex and sun" évoque les déboires de trois hommes de générations différentes, confrontés à leurs désirs et à la difficulté de les assouvir. Une comédie qui se moque gentiment des hommes, éternels insatisfaits. Finalement, un film sur l’acceptation de soi et le renoncement. L’été sera chaud… mais pas trop !


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  • Ouai, bof. Un peu ennuyeux. Cela sent le premier film. Je pense que le problème vient du choix des acteurs qui dans l'ensemble ne sont pas terribles. Dommage!

    scénario: 12/20    acteurs: 12/20    technique: 16/20  note finale: 12/20

    Chercher le garçon

    Un soir de réveillon en compagnie d'une bouteille de champagne, Émilie, 35 ans, s'inscrit sur Meet Me, célèbre site de rencontres sur Internet, avec une bonne résolution pour la nouvelle année : trouver l'amour. Il y a beaucoup d'hommes sur "Meet Me" : des cyniques, des comiques, quelques loustiques et même de grands romantiques. Émilie est loin d'imaginer ce qui l'attend In Real Life... dans la vraie vie.


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  • L'idée de faire un film sur le sminorités arménienne et autre de Turquie était bonne mais que c'est ennuyeux.Voir ce film mal monté, lent, lent lent est une épreuve. Dommage. Les exactions commises par les turs envers TOUTES leurs minorités sont particulièrement bien montrées.

    scénario: 8/20            acteurs: 12/20         technique: 16/20  note finale: 10/20

    Le temps dure longtemps

    Sumru prépare un master d’ethnomusicologie à l’Université d’Istanbul. Elle s’installe dans le sud-est de la Turquie pour quelques mois afin d’y étudier les élégies anatoliennes et leur histoire.
    A Diyarbakır, elle rencontre Ahmet, vendeur de DVD pirates ayant filmé des témoignages de survivants kurdes. Sumru est hantée par le souvenir douloureux de son premier amour, un Kurde mystérieusement disparu.
    Aux côtés d’Ahmet, dans le contexte tragique de cette guerre non reconnue à ce jour, elle va devoir affronter son passé et l’histoire de son pays.


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  • Bof, on a connu mieux. Sans grand intérêt. On rit quelquefois mais le plus souvent, c'est assez navrant.

    scénario: 12/20     acteurs: 16/20   technique: 16/20  note finale: 11/20

    Dépressions et des potes

    Franck a tout pour être heureux. Une jolie fiancée brésilienne, un boulot intéressant et pourtant… En vacances sur une plage de rêve à l’île Maurice, il déprime. De retour à Paris, le diagnostic du médecin tombe : il est en dépression. Quand il retrouve sa bande de potes qu’il n’a pas vus depuis 6 mois, il leur annonce la nouvelle. Chacun va s’investir pour lui faire remonter la pente. Mais on s’aperçoit très vite qu’ils sont aussi déprimés que lui. C’est finalement tous ensemble qu’ils vont essayer de retrouver un équilibre.


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  •  Bof, énorme déception pour ce film au thème vu et revue 100 fois. Le dîner de famille qui tourne au règlement de compte a été si souvent filmé que cela en devient lassant et cela d'autant plus que cette version n'amène rien du tout. Tous les clichézs sont présent et les acteurs font ce qu'ils peuvent mais ce n'est pas grand-chose. Bruel joue toujours comme une casserole, égoïstement et devrait arrêter de nous infliger son jeu navrant. Ce film n'est pas réussi: du mauvais théâtre filmé. L'adaptation manque d'originalité, tout comme le scénario qui est d'une indigence rare même si on arrive à rire quelquefois.

    scénario: 8/10        acteurs: 16/26 (Bruel: 4/20)         technique: 16/20  note finale: 8/20

    Le prénom

     

    Vincent, la quarantaine triomphante, va être père pour la première fois. Invité à dîner chez Élisabeth et Pierre, sa sœur et son beau-frère, il y retrouve Claude, un ami d’enfance.
    En attendant l’arrivée d’Anna, sa jeune épouse éternellement en retard, on le presse de questions sur sa future paternité dans la bonne humeur générale... Mais quand on demande à Vincent s’il a déjà choisi un prénom pour l’enfant à naître, sa réponse plonge la famille dans le chaos.


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