• Je ne suis pas la cible de ce genre de film (je n'ai pas entre 12 et 17 ans). il faut noter que c'est bien fait, bien joué etc... Bien sûr, on peut regretter que ce soit d'une crétinerie absolue: mais cela repose le cerveau vu que cela ne nécessite pas la moindre réflexion. mais bon, je ne suis pas la cible ;)

    scénario: 12/20      acteurs: 16/20     technique: 16/20   note finale: 12/20

     

    Divergente

    Tris vit dans un monde post-apocalyptique où la société est divisée en cinq clans (Audacieux, Érudits, Altruistes, Sincères, Fraternels). À 16 ans, elle doit choisir son appartenance pour le reste de sa vie. Cas rarissime, son test d’aptitude n’est pas concluant : elle est Divergente. Les Divergents sont des individus rares n’appartenant à aucun clan et sont traqués par le gouvernement. Dissimulant son secret, Tris intègre l’univers brutal des Audacieux dont l’entraînement est basé sur la maîtrise de nos peurs les plus intimes.


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  •  frais et léger mais pas son meilleur film. Ces six acteurs parlent, parlent, parlent, parlent beaucoup trop. Du théâtre filmé. Caroline Sihol est très mauvaise. les autres font ce qu'ils peuvent. c'est beaucoup trop long bien que la mise en scène soit originale. Je sais, c'est pas beau de dire du mal d'un mort :(

    scénario: 10/20     acteurs: 8/20     technique: 16:20  note finale: 8/20 

    Aimer, boire et chanter

    Dans la campagne anglaise du Yorkshire, la vie de trois couples est bouleversée pendant quelques mois, du printemps à l’automne, par le comportement énigmatique de leur ami George Riley.
    Lorsque le médecin Colin apprend par mégarde à sa femme Kathryn que les jours de son patient George Riley sont sans doute comptés, il ignore que celui-ci a été le premier amour de Kathryn. Les deux époux, qui répètent une pièce de théâtre avec leur troupe amateur locale, persuadent George de se joindre à eux. Cela permet à George, entre autres, de jouer des scènes d’amour appuyées avec Tamara, la femme de son meilleur ami Jack, riche homme d’affaires et mari infidèle. Jack, éploré, tente de persuader Monica, l’épouse de George qui s’est séparée de lui pour vivre avec le fermier Simeon, de revenir auprès de son mari pour l’accompagner dans ses derniers mois. Au grand désarroi des hommes dont elles partagent la vie, George exerce une étrange séduction sur les trois femmes : Monica, Tamara et Kathryn
    Laquelle George Riley emmènera-t-il en vacances à Ténérife ?

    Alain Resnais, 91 printemps et un plaisir intact à créer et à partager. Plaisir du cinéma, plaisir du théâtre, amour immodéré pour le jeu de (avec) ses comédiens… Après Smoking / No Smoking (1993) et Cœurs (2006), le réalisateur adapte pour la troisième et dernière fois au cinéma une pièce de l'anglais Alan Ayckbourn. Ce faisant il s'amuse à nouveau comme un fou avec sa boîte à outils d'artisan génial du cinéma, mettant un joyeux bazar dans la conduite du récit, se jouant des codes réalistes de la représentation au fil d’une mise en scène à la théâtralité assumée et pourtant d'une fluidité, d'une élégance purement cinématographiques… Truffé d’humour et gaillardement vaudevillesque, Aimer, boire et chanter questionne la complexité, la versatilité des sentiments amoureux entre les membres d’un groupe d’amis dont l’un est condamné à mourir bientôt.

    Dans la campagne anglaise du Yorkshire, la vie de trois couples est bouleversée pendant quelques mois, du printemps à l’automne, par le comportement énigmatique de leur ami George Riley. Lorsque le médecin Colin (Hippolyte Girardot) révèle par mégarde à sa femme Kathryn (Sabine Azéma) que les jours de son patient George Riley sont sans doute comptés, il ignore que celui-ci a été le premier amour de Kathryn. Les deux époux répètent une pièce de théâtre au sein d'une troupe amateur locale, qui va bientôt accueillir George en son sein, chacun étant persuadé que la pratique théâtrale offrira un dérivatif bienvenu à leur ami condamné… Cela va permettre à George de jouer les amoureux éperdus auprès de Tamara (Caroline Silhol), qu'il a semble-t-il étroitement fréquentée dans leur jeune âge, et qui est actuellement la femme de son meilleur ami Jack (Michel Vuillermoz), riche homme d’affaires… et mari infidèle. Jack, dépité, tente de persuader Monica (Sandrine Kiberlain), l’épouse de George qui s’est séparée de lui pour vivre avec le fermier Simeon (André Dussolier), de revenir auprès de son mari légitime pour l’accompagner durant ses derniers mois. Au grand désarroi des hommes dont elles partagent la vie, George exerce une étrange séduction sur les trois femmes : Monica, Tamara et Kathryn. Et il apparaît qu'il a promis à chacune d'entre elles de l'emmener en vacances à Ténérife… Avec laquelle George Riley partira-t-il en voyage ? That is the question, comme dirait un autre dramaturge britannique…
    Alors que Georges est la figure centrale du film, l'unique objet de leurs sentiments et ressentiments, on ne le verra jamais à l'écran. Figure imaginaire pour le spectateur, il prend vie à travers l'évocation qu'en font les protagonistes, et les interférences qu’il crée dans leurs relations – à l’instar de la proposition du voyage à Tenerife qui suscite bien des jalousies… Derrière les enjeux du texte et des situations, c’est bien l’approche formelle du réalisateur qui passionne, même si dans un premier temps elle désarçonne. Comme dans Smoking / No smoking, Alain Resnais emploie des décors et des éclairages qui appartiennent à l'univers du théâtre, qui mettent à distance toute tentation de réalisme, mais qui en même collent à la perfection à la vérité, ou plutôt aux vérités des personnages. Tout l'art de Resnais est bien de nous faire évoluer, de nous laisser respirer dans cet entre-deux, ce théâtre cinématographique qu'il anime à la perfection et au cœur duquel on se laisse emporter joyeusement.

    Il va sans dire – mais ça va mieux en le disant – que la troupe de comédiens réunis par Resnais interprète avec une virtuosité de chaque instant la partition millimétrée du maestro. L’intensité et la distance combinées de leur jeu participent activement du plaisir (on y revient) dispensé par ce film qui ne ressemble à aucun autre… sauf à un autre film de Resnais !


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  •  L'histoire d'une fille qui décide de se séparer de son compagnon depuis 14 ans et dont la vie vire au cauchemar entre les relations d'un soir, les copines bizarres etc... c'est pathétique. Et le film n'est pas terrible. La vie de cette pauvre fille est inintéressante au possible et la voir coucher avec tous ce qui bouge et est barbu, n'a pas grand intérêt. C'est dommage car le générique de début plein de créativité me fiasit penser que le film allait être d"licieux. Bof, il est banal, le scénario n'apporte rien et montrer tout ça est inutile.

    scénario: 12/20        acteurs: 12/20   technique: 12/20  note finale: 12:20

    Les Gazelles

    Marie et Eric, trentenaires en couple depuis le lycée, signent l'achat de leur premier appartement quand Marie est saisie d’un doute vertigineux. Sa rencontre avec un beau brun ténébreux va précipiter sa décision : elle quitte Eric pour plonger dans le grand bain du plaisir et de la liberté.
    Mais elle va surtout se manger le fond de la piscine…
    Et découvrir un monde sans pitié : à son âge, le célibat est vite perçu comme une tare suspecte.
    Eclairée par des amitiés nouvelles, Marie va apprendre à envisager son célibat comme une chance d'où elle pourrait sortir plus forte, et enfin prête à être heureuse.


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  • Si on enlève les scènes avec hémoglobine et coupage de tête etc... il n'y a plus rien. Eva Green est superbe mais l'absence de scénario est une horreur.

    scénario: 5/20 technique: 16/20  acteurs: 16/20   note finale: 8/20

    300 : La naissance d'un Empire

    Le général grec Thémistocle tente de mobiliser toutes les forces de la Grèce pour mener une bataille qui changera à jamais le cours de la guerre. Il doit désormais affronter les redoutables Perses, emmenés par Xerxès, homme devenu dieu, et Artémise, à la tête de la marine perse…


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  •  Kitch et absurde mais je n'ai ps du tout accroché. Je n'ai pas du tout été sensible à l'univers de ce film qui est étrange et qui peut plaire mais qui m'a laissé de marbre.

    scénario: 8/20    technique: 16/20   acteurs: 12/20   note finale: 10/20

    The Grand Budapest Hotel

    Le film retrace les aventures de Gustave H, l’homme aux clés d’or d’un célèbre hôtel européen de l’entre-deux-guerres et du garçon d’étage Zéro Moustafa, son allié le plus fidèle.
    La recherche d’un tableau volé, oeuvre inestimable datant de la Renaissance et un conflit autour d’un important héritage familial forment la trame de cette histoire au coeur de la vieille Europe en pleine mutation.


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  •  Les acteurs sont laids, mal coiffés, mal maquillés, mal habillés et jouent mal: vous avez devinés: nous sommes dans un film sur les pauvres. les dialogues sont nuls. La vie des personnages est vide et pauvrette, du coup, on s'ennuie.

    scénario: 12/20        technique: 12/20     acteurs: 12/20   note finale: 12/20

    Tonnerre

    Un rocker trop sentimental, une jeune femme indécise, un vieux père fantasque. Dans la petite ville de Tonnerre, les joies de l’amour ne durent qu’un temps. Une disparition aussi soudaine qu’inexpliquée et voici que la passion cède place à l’obsession.


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  •  Cette version n'est pas très réussie. On s'ennuie, c'est mal filmé, mal réalisé, les mouvements de caméra sont aléatoires. bref, je me suis ennuyée. C'est filmé en noir et blanc mais un vilain noir et blanc, sans esthétisme.

    scénario: 12/20         acteurs: 12/20   technique: 12/20   note finale: 12/20

    Beaucoup de bruit pour rien

    De retour de la guerre, Don Pédro et ses fidèles compagnons d’armes, Bénédict et Claudio, rendent visite au seigneur Léonato, gouverneur de Messine. Dans sa demeure, les hommes vont se livrer à une autre guerre. Celle de l’amour. Et notamment celle qui fait rage entre Béatrice et Bénédict, que leur entourage tente de réconcilier tout en essayant de déjouer les agissements malfaisants de Don Juan.


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  • Petite déception car je m'attendai à un film sur le travail d'YSL et il s'agit principalement d'un film sur sa vie privée et dissolue. il y a beaucoup trop de scènes de sexe plus qu'explicites et de partouzes, limite film porno. Et plein de scène de scéances de drogue également. On se demande comment ce film n'a pas été interdit au moins au moins de 12 ans. L'interpétation de Pierre Niney et de Guillaume Gallienne est parfaite et excellente et j'espère qu'ils auront un prix d'interprétation. mais le film est trop sex pour moi et on ne voit pas assez les robes. c'est divinement filmé et les images sont magnifiques.

    scénario: 12/20     acteurs: 19/20    technique: 17/20   note finale: 12/20

    Yves Saint Laurent

     

    Paris, 1957. A tout juste 21 ans, Yves Saint Laurent est appelé à prendre en main les destinées de la prestigieuse maison de haute couture fondée par Christian Dior, récemment décédé. Lors de son premier défilé triomphal, il fait la connaissance de Pierre Bergé, rencontre qui va bouleverser sa vie. Amants et partenaires en affaires, les deux hommes s’associent trois ans plus tard pour créer la société Yves Saint Laurent. Malgré ses obsessions et ses démons intérieurs, Yves Saint Laurent s’apprête à révolutionner le monde de la mode avec son approche moderne et iconoclaste.


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  •  Bof, le même genre que Gabsy le magnifique sorti il y a quelques semaines. Du vu et revu. Du coup, cela en devient ennuyeux et Leonardo devrait se renouveler un peu et ne pas jouer tout le temps les mêmes rôles.

    scénario: 12/20     acteurs: 16/20       technique: 16/20      note finale: 12/20

    Le loup de Wall Street

    L’argent. Le pouvoir. Les femmes. La drogue. Les tentations étaient là, à portée de main, et les autorités n’avaient aucune prise. Aux yeux de Jordan et de sa meute, la modestie était devenue complètement inutile. Trop n’était jamais assez…

    « Le Loup de Wall Street », c'était le véritable surnom de Jordan Belfort, courtier en bourse qui, après avoir sévi dans les hautes sphères financières dans les années 90, s'est retrouvé inculpé et emprisonné quelques mois pour crime fédéral lié aux activités boursières. Mais avant de changer de vie du tout au tout, de faire table rase de son passé, d’écrire un livre qui est à la base de ce nouveau film de Scorsese, Jordan Belfort menait grande vie : il était devenu, à force de talent, magouilles et autres tours de passe-passe dont les traders ont le secret, l’un des hommes les plus riches et puissants de New York. Une vie à la hauteur de la démesure que génère l’argent trop vite gagné : fêtes décadentes, abus en tout genres, scandales, filles à gogo, corruption…
    C'était un sujet en or pour Scorsese que cette vie-là. Un sujet en or parce qu’une fois encore il permet à l'auteur de Casino et des Affranchis de raconter l'envers du rêve américain, le côté obscur et pourtant flamboyant de personnages emblématiques d'une Amérique sans cesse au bord du gouffre. Des personnages qui, par leur démesure, offrent un miroir grossissant de notre vie et de ce qui contribue à la rendre moins heureuse chaque jour.

    Ici les gangsters sont en col blanc, ils n'officient pas dans l'underground, les tripots ou les bordels, ils sont la crème de la société, ils sont des exemples à suivre, des icônes du modèle ultra libéral tellement vanté pendant les décennies 80 et 90. Ils travaillent à Wall Street et font la pluie et le beau temps sur l'économie du monde. La violence qu'ils exercent sur leurs semblables et sur le monde reste quasiment impunie puisque jamais ils n'enfonceront un stylo dans l'oreille d'un quidam qui se met en travers de leur chemin, que jamais ils ne balanceront un type poignardé dans un coffre de bagnole pour aller l'enterrer dans le désert de Las Vegas. Non, ils exercent une violence plus feutrée et plus dévastatrice, une violence qui est devenue la norme de l'économie mondiale. Ils sont célébrés comme des enfants prodigues même si, de temps à autre, il faut tirer l'oreille d'un de ces garnements pour faire bonne figure.
    Le Loup de Wall Street est un récit fleuve de presque trois heures. Il fallait bien ça pour mettre en scène tambour battant, avec le brio et le goût pour l’excès propres à Scorsese, cette histoire tellement américaine, cette illustration corrompue du fameux héros américain, le self-made man. Scorsese n'en fait pas non plus un film à thèse pour les dossiers de l'écran, il le fait sur le ton d’une comédie corrosive et sans tabou portée par un Leonardo DiCaprio une fois encore grandiose.
    Scorsese filme Sodome et Gomorrhe, grandeur et décadence, jeux du cirque, nous balance en pleine face le cauchemar éveillé du capitalisme triomphant. La gloire du bling-bling et du porno chic élevés au rang de mode de vie. Il a toujours eu l'art de nous fasciner avec des personnages antipathiques, violents, égoïstes, égocentriques, paranoïaques et j'en passe. Celui-ci ne fait pas exception : malgré sa cupidité, sa complète immoralité, sa sexualité prédatrice, on ne peut s’empêcher, comme ses employés qui l'écoutent tel un prédicateur évangéliste, d'être séduits ou du moins sidérés par ce triste personnage.

    Après la parenthèse enchantée de son hommage à Méliès, Scorsese revient au bruit et à la fureur. Il ne dénonce pas, il donne à voir, à travers les tribulations de ce trader ordinaire, un système financier devenu un socle de valeurs amorales et ce qu'il engendre de désastre et de vide. C'est le cadeau de Noël d'oncle Martin, et il va faire tomber les boules du sapin…


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  • Enorme déception, ce film est ennuyeux comme la pluie. C'est vide, c'est creux, il n'y a rien dans ce film. les acteurs sont laids.  Un scénario minimaliste et inintéressant, des acteurs moyens. C'est bavard, longet ennuyeux. On passe beaucoup de temps au musée à voir les oeuvres: le réalisateur comble le vide sidéral de ce navet. C'est bien filmé mais il y a vraiment trop de longueurs dans ce film.

    scénario: 10/20   acteurs: 10/20  technique: 16/20  note finale: 8/20

    Museum Hours

    Lorsqu'un gardien du musée de Vienne se lie d'amitié avec un visiteur énigmatique, le musée devient un carrefour mystérieux, propice à l'exploration de leur vie, de la ville, et de la manière dont les œuvres reflètent et façonnent le monde.


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  • Ce film avait tout pour être un grand film: des décors somptueux, des costumes magnifiques, une histoire romantique bien connue et de grands acteurs. Et c'est une énorme déception car tout ce potentiel est complètement gâché par une absence de réalisation (vos vidéos de vacances sont des chef-d'oeuvres par rapport à ce "film"), un camraman probablement alcoolique (ça tremble de partout Et filmer à l'épaule est très très difficile et rarement réussi) et un montage catastrophique!!! On passe d'un plan à l'autre à vous en donner le tournis, les plans sont bizarres (on ne voit par exemple que le buste des acteurs?, ou des bouts de chevaux?) et le caméraman "tourne" autour des acteurs sans qu'on sache vraiment pourquoi. Il y a des contre-jours, des photos voilées, floues etc... Bref, techniquement, c'est un horreur pure et simple. Ensuite, la scène d'amour entre Angélique et Peyrac est gratuite et très mal filmée. Pauvre Lanvin, pour une fois qu'il acceptait une scène d'amour. Nora Arnezeder surjoue. Ce film donne mal à la tête tant, il est mauvais techniquement. M^me le pite film d'art et d'essais est mieux tourné. Les seconds rôles sont une catastrophe. Lanvin est génial comme toujours, mais il ne peut faire un film à lui tout seul.  C'est d'autant plus dommage que l'image est magnifique. Voir ce film, c'est comme lire un livre intéressant mais bourré de fautes d'orthographe: juste pas possible!

    acteurs: 12/20          technique: 2/20       scénario: 16/20     note finale: 5/20

    Angélique

    Le destin incroyable d’Angélique : une jeune fille aussi belle qu’insoumise, qui trouvera dans son amour pour Joffrey de Peyrac la force de combattre l’injustice et la tyrannie dans un siècle en proie aux luttes de pouvoir, aux inégalités et à l’oppression…


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  •  Valéria BT nous inflige encore une fois sa vie familiale et c'est très ennuyeux. Bof, bof, bof. Un scénario indigent, des acteurs qui vivent leur vie, bof bof. Valéria, essaie de faire des films, pas des documentaires sur ta famille. MERCI!

    scénario: 8/20   acteurs: 10/20   technique: 16/20   note finale: 10/20

    Louise rencontre Nathan, ses rêves ressurgissent. C’est aussi l’histoire de son frère malade et de leur mère, d’un destin : celui d’une grande famille de la bourgeoisie industrielle italienne. L’histoire d’une famille qui se désagrège, d’un monde qui se termine et d’un amour qui commence.


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  • Ouai, bof. pas terrible et pour tout dire, franchement ennuyeux. D'abord on ne comprend rien alors je vais vous faire un vrai résumé de l'histoire. il y a longtemps, le directeur pédophile du grand magasin enlevait des petits garçons et les tuait. Il fut surpris par son fils, l'actuel directeur d'un grand magasin, qui décida de tuer tous les "complices" de l'époque... les complicues en question, ou ceux qui savaient mais qui ne dirent rien, sont tués les uns après les autres et il essaie de faire accuser benjamin M. , qui est payé pour se faire engueuler... au délà, de l'histoire à domri debout, c'est nul et ennuyeux. je n'ai pas lu le livre, mais franchement, le film ne donne pas envie. et je me demande comment un navet pareil a pu donner un film, certes ennuyeux comme la pluie, mais un film! 

    scénario: 2:20  acteurs: 10/20  technique: 15/20  note finale: 05/20

    Au bonheur des ogres

    Dans la tribu Malaussène, il y a quelque chose de curieux, de louche, d’anormal même diraient certains. Mais à y regarder de près, c’est le bonheur qui règne dans cette famille joyeusement bordélique dont la mère sans cesse en cavale amoureuse a éparpillé les pères de ses enfants. Pour Benjamin Malaussène, bouc émissaire professionnel et frère aîné responsable de cette marmaille, la vie n’est jamais ennuyeuse. Mais quand les incidents surviennent partout où il passe, attirant les regards soupçonneux de la police et de ses collègues de travail, il devient rapidement vital pour le héros de trouver pourquoi, comment, et surtout qui pourrait bien lui en vouloir à ce point-là ? Benjamin Malaussène va devoir mener sa propre enquête aux côtés d’une journaliste intrépide surnommée Tante Julia pour trouver des réponses.


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  •  Ce n'est pas l'histoire de la princesse Diana. Disons qu'il s'agit d'une histoire avec un personnage principal qui s'appelle Diana et qui a quelques épisodes de vie commun avec la princesse Diana (l'interview à la BBC, visite en Angola contre les mines anti-personnelles, les vacances avec Doddi) mais pour le reste (entre ces scènes connues de tous), c'est de l'invention pure et simple. Donc, si on considère ce film comme un film ordinaire, avec une histoire inventée de toutes pièces, on doit écrire que c'est très guimauve, un peu commes ces téléfilms allemands "cucu". Si on considère ce film comme la vraie vie de Diana (mais c'est impossible puisque les deux protagonistes n'ont jamais rien dit), c'est du voyeurisme. On peut ajouter que le choix de l'actrice principal est dicutable: elle est beaucoup trop vieille (elle a au moins 15 ans de plus que la princesse Diana) et n'a pas la classe de la princesse. Sans parler des joues de hamster de Naomi Watts, qui est par ailleurs une excellente actrice. Dans ce film, elle est très moyenne. mais c'est très bien filmé et on retrouve toutes les photos de Diana qu'on connaît tous (sur le yacht, poursuivie par les paparazzi etc...)

    scénario: 8/20       acteurs: 12/20       technique: 18/20   note finale: 12/20

    1er Septembre 1995 : La princesse de Galles et le docteur Hasnat Khan sont présentés l’un à l’autre par Oonagh Toffolo, amie de Diana, au Royal Brompton Hospital de Londres. Officiellement séparée du prince Charles depuis décembre 1992, Diana a connu plusieurs aventures amoureuses décevantes. Alors qu’elle s’interroge sur le sens à donner à sa vie, elle s’éprend du chirurgien pakistanais et, pour une fois, parvient à garder quelques temps secrète leur liaison. Son divorce définitivement prononcé en août 1996, Diana veut croire à un avenir possible avec cet homme qui l’aime avec ses qualités et ses défauts, indifférent à l’image d’icône princière qu’elle incarne aux yeux du monde depuis plus de quinze ans.
    6 Septembre 1997 : Un homme effondré derrière ses lunettes noires assiste aux obsèques de Diana. Peu de gens reconnaissent Hasnat Khan. Alors que les tabloïds affirment que Diana s’apprêtait à épouser Dodi Al-Fayed, rares sont ceux qui savent que, peu avant son accident, elle essayait encore de joindre Hasnat pour le convaincre de revenir à elle.


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  • Enorma déception pour ce film qui avait tout pour être réussi (une bonne histoire) mais qui est raté et très très ennuyeux. tout d'abord, la réalisation est approximative, vraiment pas bonne. Ensuite, l'image est dégueulasse, peut-être pour faire plus années 80?Enfin, les acteurs sont vraiment mauvais, mauvais, mauvais et on n'y croit pas une seconde. Ce pauvre Gilles Lellouche semble complètement perdu dans une histoire à laquelle il ne croit pas lui-même. Le montage n'erst pas terrible. Et la BOF est une abomination: on a vraiment envie de se boucher les oreilles tant elle est nulle et agaçante. Bref, un gros ratage.

    scénario: 8/20       technique: 10/20      acteurs: 10/20    note finale: 8/20

    Gibraltar

    « Toujours mentir. Jamais trahir. »
    Afin de mettre sa famille à l'abri du besoin, Marc Duval, un français expatrié à Gibraltar, devient agent d'infiltration pour le compte des douanes françaises.
    De petits trafics en cargaisons troubles, il gagne progressivement la confiance de Claudio Lanfredi, un puissant importateur de cocaïne associé aux cartels Colombiens. Cette immersion en eau profonde dans l’univers des narcotrafiquants lui fait courir des risques de plus en plus importants. Mais à mesure que Marc gravit les échelons du cartel, il découvre aussi le luxe et l’argent facile... En permanence sur le fil du rasoir, seuls ses mensonges le maintiennent encore en vie. Lorsque les douanes anglaises rentrent dans la partie pour arrêter Lanfredi, le jeu devient encore plus dangereux et sa famille risque d’en payer le prix.


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  • Bof, le film qui n'en finit pas. Le montage est d'une lenteur désespérante et on s'ennuie ferme. l'histoire, tirée de faits réels , pourrait être intéressante mais c'est beaucoup trop long et on n'est pas pris par l'histoire. 

    scénario: 12/20   technique: 15/20    acteurs: 14/20   note finale: 8/20

    No Pain No Gain

    À Miami, Daniel Lugo, coach sportif, ferait n’importe quoi pour vivre le « rêve américain » et profiter, comme sa clientèle fortunée, de ce que la vie offre de meilleur : maisons de luxe, voitures de course et filles de rêve… Pour se donner toutes les chances d’y arriver, il dresse un plan simple et (presque) parfait : enlever un de ses plus riches clients et… lui voler sa vie. Il embarque avec lui deux complices, Paul Doyle et Adrian Doorbal, aussi influençables qu’ambitieux.

    NO PAIN NO GAIN s’inspire de l’histoire incroyable mais vraie de ces trois kidnappeurs amateurs qui, à la recherche d’une vie meilleure, se retrouvent embarqués dans une série d’actes criminels qui dégénèrent rapidement… Rien ne se déroule jamais comme prévu.


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  • Mortel ennui! Ce film aurait pu être réussi mais ça pleurniche beaucoup trop et c'est trop lent. Il aurait fallu être plus dynamique au niveau du montage. Et l'image est dégueulasse: et moi les films à l'image maronnasse (ça se passe chez les pauvres, alors les acteurs sont laids, mal habillés, et l'image est dégueulasse, c'est toujour scomme ça dans les films), j'aime pas. Mauvais image, scénario ennuyeux et acteurs peu convaincants, vous avez compris, on s'ennuie ferme! 

    scénario: 10/20   technique: 12/20  acteurs: 12/20   note finale: 8/20

    les amants du Texas

    Bob et Ruth s’aiment, envers et contre tout. Et surtout contre la loi. Un jour, un braquage tourne mal et les deux amants sont pris dans une fusillade. Quand Bob est emmené par la police, Ruth a tout juste le temps de lui annoncer qu’elle est enceinte. Dès lors, Bob n’aura qu’une obsession : s’échapper de prison pour rejoindre sa femme et son enfant.

    Mais quand il y parvient, quatre ans plus tard, le rêve correspond mal à la réalité. En fuite, poursuivi par la police et par les membres d’un gang, Bob peine à rétablir le lien avec sa famille. Ruth est devenue mère et elle ne veut pas d'une vie de cavale : courtisée par un policier attentionné, la jeune femme devra choisir entre le passé et l'avenir ( ça c'est faux! la deuxième partie de la phrase n'est pas exacte!)


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  •  Aussi passionnant qu'un téléfilm allemand. Steve Jobs passe pour un crétin fini dans ce film, un profiteur et le pauvre type qui profita de tous ses amis qu'il laissa tomber ou vira quand son entreprise commença à marcher. je ne connais rien de lui mais c'est le film c'est vraiment un connard. le film est très moyen et vraiment lent et chiant. 

    scénario: 8/20    acteurs: 16/20  technique: 16/20   note finale: 12/20

    Jobs

    Partout sur la Terre, Steve Jobs est célébré comme un créateur de génie dont les inventions ont révolutionné notre façon de vivre et de percevoir notre monde. Il est aussi connu comme l’un des chefs d’entreprise les plus charismatiques et les plus inspirants qui soient.
    Mais qui connaît l’homme derrière l’icône ? Qui sait quel parcours humain se cache derrière la destinée de ce visionnaire d’exception ? De l’abandon de ses études universitaires au formidable succès de sa société, voici l’incroyable ascension de Steve Jobs, co-créateur d’Apple Inc., l'un des entrepreneurs les plus créatifs et respectés du XXIe siècle.


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  • Déception! C'est long, ça n'en finit pas. c'est également l'avis des enfzants qui étaient près de moi et n'ont cessé de s'ennuyer. Pas très innovant et beaucoup trop long. 

    scénario: 12/20   technique: 12/20    note finale: 12/20

    Monstres académie

    Même quand il n’était qu’un tout petit monstre, Bob Razowski rêvait déjà de devenir une Terreur. Aujourd’hui, il est enfin en première année à la prestigieuse université Monstres Academy, où sont formées les meilleures Terreurs. Son plan de carrière bien préparé est pourtant menacé par sa rencontre avec James P. Sullivan, dit Sulli, un vrai crack qui a un don naturel pour Terrifier. Aveuglés par leur désir de se prouver l’un à l’autre qu’ils sont imbattables, tous deux finissent par se faire renvoyer de l’université. Pire encore : ils se rendent compte que s’ils veulent que les choses aient une chance de rentrer dans l’ordre, ils vont devoir travailler ensemble, et avec un petit groupe de monstres bizarres et mal assortis…


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  • Je cherche encore l'intérêt d'avoir fait un tel film... Pour moi, c'est un film inutile avec une hsitoire grotesque. On voit essentiellement Clovis Cornillac faire du vélo. un peu lassant. Mauvaise nouvelle: il y  avait une seule personne dans la salle quand j'ai vu ce film, MOI. Mauvais signe... Mais c'est bien filmé et on voit de beaux paysages, comme lors des diffusion du tour de France...

    scénario: 10/20         acteurs: 10/20    technique: 17/20   note finale: 10/20

    La grande boucle

    François est un passionné du Tour de France.
    Licencié par son patron et quitté par sa femme, il part faire la Grande Boucle avec un jour d’avance sur les pros. D’abord seul, il est vite rejoint par d’autres, inspirés par son défi. Les obstacles sont nombreux mais la rumeur de son exploit se répand. Les médias s’enflamment, les passants l’acclament, le Maillot Jaune du Tour enrage. François doit être stoppé !


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  • bof, bof, bof. Julien Doré est toujours aussi mauvais acteur et il est particulièrement ridicule dans ce film. le scénario fait de la peine tant il est débile. un navet. Mais c'est très bien filmé et on voit de beaux paysages.

    scénario: 5/20    acteurs: 8/20   technique: 17/20   note finale: 8/20

    Chaque été, depuis leur adolescence, les Dead MaKabés se paient ce qu’ils appellent prétentieusement une "tournée d’été" - quelques concerts dans des festivals du fin fond de l’Europe.
    Mais, pour ces quatre copains, la crise de la trentaine couve et cette semaine de récréation risque bien d’être la dernière.
    Difficile de rester fidèle à ses idéaux quand on est membre d’un groupe de black metal…

     


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  • L'image est vraiment dégueulasse dans ce film, et vous savez ce que je pense des films à l'image jaunasse... Plus un téléfilm qu'un film de cinéma. Pas vraiment réussi. Les acteurs sont ridicules, la mise en scène pathétique et le scénario pas terrible. bref, payer pour ça, bof, bof.

    scénario: 10/20      acteurs: 12/20   technique: 8/20   note finale: 8/20

    The iceman

    Tiré de faits réels, voici l’histoire de Richard Kuklinski, surnommé « The Iceman », un tueur à gages qui fut condamné pour une centaine de meurtres commandités par différentes organisations criminelles new-yorkaises. Menant une double vie pendant plus de vingt ans, ce pur modèle du rêve américain vivait auprès de sa superbe femme, Deborah Pellicotti, et de leurs enfants, tout en étant secrètement un redoutable tueur professionnel.
    Lorsqu’il fut finalement arrêté par les fédéraux en 1986, ni sa femme, ni ses filles, ni ses proches ne s’étaient douté un seul instant qu’il était un assassin. Pourquoi l’est-il devenu, et comment a-t-il réussi à continuer pendant si longtemps ?

     


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  •  N'yant pas vu les 5 premiers, il y a des choses qui mes ont passées par dessus la tête. Plein de courses et de bastons. je suppose que cela plaira aux amateurs du genre. Les cascades et les trucages sont impressionnants. Pas trop mon style. histoire débile.

    scénario: 10/20      acteurs: 16/20      technique: 17/20     note finale: 14/20

    Fast & Furious 6

    De passage en Europe pour un braquage, Dom Toretto, Brian O'Conner et leur groupe doivent faire face à une bande rivale, déjà sur le coup.


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  •  Ce film aurait du s'appeler "règlements de compte". On dirait un téléfilm allemand, vous savez ces naiseries qui passent l'après-midi. On se demande comment un scénario peut être aussi débile et comment un telle brochette d'excellents acteurs a pu tourner dans un tel navet??? des dettes? des impôts à payer? Une comédie ratée même si on rit quelquefois.

    scénario: 5/20     acteurs: 8/20   technique: 16/20    note finale: 8/20

    Un Grand Mariage

    Don et Ellie ont divorcé depuis longtemps, mais pour le mariage de leur fils adoptif, et pour le bien de sa mère biologique, les voilà obligés de sauver les apparences en faisant semblant de former un couple uni et heureux comme au premier jour… Au milieu de la famille et de tous leurs amis réunis, leur mensonge va rapidement provoquer des choses qu’ils n’avaient pas imaginées… Entre secrets et faux-semblants, entre hypocrisie et vieilles rancoeurs, rien ne sera épargné aux convives, qui ne vont pas tarder à se jeter dans la bataille. La fête s’annonce saignante et réjouissante…


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  • Mais c'est quoi tous ces films communautaires qui sortent en ce moment? Il n'y a plus de français pour jouer dans des films sans rapport avec les arabes? qui ne se passe pas chez les arabes? Trop de films communautaires tuent le film communautaire. Toujours les mêmes clichés, toujours les mêmes histoires... c'est pénible et cela d'autant plus quand on est complètement étranger à ce monde. Si c'est pour faire plaisir aux arabes ou espérer faire de nombreuses entrées, à mon avis c'est mort! Cette cible préfère les grossses machineries américaines. Et qui voudrait aller voir au cinéma ce qu'il a à la maison, ou dans la rue? lool . Nul

    scénario: 5/20  acteurs: 5/20  technique: 16/20   note finale: 6/20

    Cheba Louisa

    A 30 ans, Djemila, juriste célibataire a enfin son propre appartement... à deux pas de chez ses parents. Française d'origine maghrébine, elle fait tout pour gommer ses origines. Emma, sa voisine déjantée et fauchée, rame pour élever seule ses deux enfants. Alors que tout oppose les deux femmes, une amitié profonde va naître grâce à leur amour de la musique.


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  •  Je n'ai jamais vu Eric Judor joué dans un bon film et ça continue. C'est tellement idiot que je regrette de l'avoir vu. Je pense que ce film pourra plaire aux arabes. il laissera les autres de marbre, tant il est débile.

    scénario: 3/20      acteurs: 10/20       technique: 16/20     note finale: 6/20

    Mohamed Dubois

    Héritier de la banque Berthier, Arnaud Dubois a plutôt une tête à se prénommer... Mohamed. D'ailleurs ne serait-il pas plutôt le fils de Saïd, l'ex-prof de tennis de sa mère à Djerba ? Suite à une dispute avec son père, il décide de quitter le nid douillet du Vésinet. Il croise alors le chemin de Mustafa, qui lui présente sa sœur Sabrina dont Arnaud tombe immédiatement amoureux. Mais il réalise très vite que le seul moyen de la séduire est de lui laisser croire qu'il est un beur comme elle et qu'il s'appelle... Mohamed. Il s'installe alors dans la cité de Sabrina, où il fera tout pour s'intégrer.


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  • Ni pire, ni meilleur que les films de la même catégorie. Plein d'action et d'effets spéciaux sont au service d'une intrigue minimaliste.  C'est jsutement ça le problème: les effets spéciaux, le scénario, "l'intrigue": tout cela a déjà été vu 1000 fois. On aimerait bien un peu de changement lorsqu'on va voir ce genre de film... Le quatrième est visiblement prévu. Gwyneth fait son âge dans le film...

    scénario: 15/20       technique: 16/20    acteurs: 16/20   note finale: 14/20

    Iron Man 3

    Tony Stark, l’industriel flamboyant qui est aussi Iron Man, est confronté cette fois à un ennemi qui va attaquer sur tous les fronts. Lorsque son univers personnel est détruit, Stark se lance dans une quête acharnée pour retrouver les coupables. Plus que jamais, son courage va être mis à l’épreuve, à chaque instant. Dos au mur, il ne peut plus compter que sur ses inventions, son ingéniosité, et son instinct pour protéger ses proches. Alors qu’il se jette dans la bataille, Stark va enfin découvrir la réponse à la question qui le hante secrètement depuis si longtemps : est-ce l’homme qui fait le costume ou bien le costume qui fait l’homme ?


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  • Bof. Ce film est d'un ennui mortel malgré la totale réussite de la mise en scène des excentricités de Boris Vian (les mures qui se rétrecissents, les fleurs qui soignent, le nénuphare etc...). On s'ennuie, mais on s'ennuie, c'est à peine croyable. le livre était bien, le film est ennuyeux. De plus, dans le livre, les protagonistes ont 20 ans alors quae dans les film ils ont le double. Le film manque donc de fraîcheur. L'existentialisme, ce n'est décidément pas pour moi.

    scénario: 12/20       technique: 18/20       acteurs:12/20      note finale: 10/20

     

    L'écume des jours

    L’histoire surréelle et poétique d’un jeune homme idéaliste et inventif, Colin, qui rencontre Chloé, une jeune femme semblant être l’incarnation d’un blues de Duke Ellington. Leur mariage idyllique tourne à l’amertume quand Chloé tombe malade d’un nénuphar qui grandit dans son poumon. Pour payer ses soins, dans un Paris fantasmatique, Colin doit travailler dans des conditions de plus en plus absurdes, pendant qu’autour d’eux leur appartement se dégrade et que leur groupe d’amis, dont le talentueux Nicolas, et Chick, fanatique du philosophe Jean-Sol Partre, se délite.

    « J’espère que tu vas nous faire un bon film, parce qu’on adore tous ce roman… » Agnès Varda à Michel Gondry

    Agnès Varda sera, on l’espère, d’accord avec nous : oui, Michel Gondry a réussi son coup, oui il est fidèle à l’esprit et à l’inspiration du roman culte de Boris Vian. Ce n’est pas pour rien si le film s’ouvre sur cette belle scène d’un immense atelier où une armée de dactylographes s’affairent à écrire… les premières lignes du roman ! Preuve est donnée d’entrée de jeu que le roman de Boris Vian sera présent, guidant chacun des pas de Gondry. Bien sûr il y a quelques libertés, quelques adaptations : L’Écume des jours a été écrit en 1947 et Gondry a pris soin de ne pas enfermer son film dans cette époque, ni dans une autre d’ailleurs. Mais l’essence, la grâce, la poésie surréaliste, l’humour, le romantisme du roman sont là, palpables à chaque plan, dans chaque regard, dans chaque note de musique (ces trompettes de jazz si chères Vian), dans les jeux de mots, dans le moindre détail de ce décor hallucinant fait de bric et de broc.

    Car Gondry est un magicien, un vrai, un pur, qui travaille à l’ancienne, en artisan. Pour recréer l’univers de Colin et de Chloé, il a laissé son imaginaire délirant envahir le champ : un immense terrain de jeu avec des objets plus vivants que bien des vivants, avec une souris bienveillante, avec des voitures où l’avant est à l’arrière, avec des murs qui rétrécissent comme rétrécit l’espoir des personnages et toute une panoplie d’inventions bricolées, plus barrées les unes que les autres. Avouons-le, cette débauche de trouvailles fait un peu peur au début : on se demande si le magicien ne va pas se perdre (et nous avec) dans ses tours tout au fond de son chapeau sans fond. Mais non. Parce que le roman, toujours le roman, et cette histoire d’amour belle et terrible qui ressurgit plus forte que tous les effets.
    Gondry s’engage alors sans peur et avec une inventivité folle sur le chemin emprunté par les deux amoureux et trouve une voie plus sombre, plus personnelle, plus allégorique aussi pour raconter toute la deuxième partie du livre : le combat contre le nénuphar qui dévore la vie de Chloé et celle de son amoureux. Alors le monde apparaît tel qu’il est : un univers individualiste et armé, une société autoritaire où l’homme est utilisé comme le maillon d’une chaîne déshumanisée. Alors, tout devient terrible, puissant et tragique.

    Deux mots tout de même de l’histoire : Chick (Gad Elmaleh dans le film), ingénieur et collectionneur, est invité à déjeuner chez son ami Colin (Romain Duris), jeune homme « au sourire de bébé », qui « possède une fortune suffisante pour vivre convenablement sans travailler pour les autres ». Il lui raconte qu’il a fait l’amour avec Alise (Aïssa Maïga), la cousine de Nicolas (le cuisinier de Colin, alias Omar Sy), qu’il a rencontrée lors d’une conférence de Jean-Sol Partre (Philippe Torreton). Plus tard, lors d’une fête chez Isis Ponteauzanne, Colin rencontre Chloé (Audrey Tautou) dont il tombe immédiatement amoureux. Le coup de foudre est réciproque, très vite ils décident de se marier. Au même moment, Chick songe à épouser Alise, mais faute de revenus suffisants, il ne peut le faire. Colin, généreux, offre à son ami 25 000 doublezons, soit le quart de sa fortune. Le mariage de Colin et Chloé se « déroule avec faste, dans les effluves de l’hiver finissant. » Mais au cours du voyage de noces, la jeune femme prend froid et tombe malade. Le professeur Mangemanche (Michel Gondry) diagnostique la présence d’un nénuphar dans le poumon droit… et on n’en dira pas plus.


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  •  Le seul intérêt de ce film, ce sont les images d'archives du procès Eichmann!! Le reste est d'un ennui mortel et d'une lenteur exaspérante! L'actrice principale est très mauvaise et cela plombe le film dont le scénario est loin d'être génial... Et ça ne fait que fumer!  dommage!

    scénario: 10/20      acteurs: 13/20   technique: 16/20  note finale: 11/20

    Hannah Arendt

    1961
    La philosophe juive allemande Hannah Arendt est envoyée à Jérusalem par le New Yorker pour couvrir le procès d’Adolf Eichmann, responsable de la déportation de millions de juifs.
    Les articles qu’elle publie et sa théorie de “La banalité du mal” déclenchent une controverse sans précédent.
    Son obstination et l’exigence de sa pensée se heurtent à l’incompréhension de ses proches et provoquent son isolement.

    Quelle aubaine (en particulier pour les profs de philo et d'histoire !) que ce film pour tous ceux qui tentent de comprendre le présent par l'éclairage du passé, ou de saisir une pensée en marche, et ses applications dans la réflexion sur ce qui se passe autour de nous. Pas fastoche de transcrire au cinéma une pensée en train de se construire : cinéma et philosophie ne font pas forcément bon ménage, le premier étant par essence l'art des illusions que la seconde s'obstine à démonter… Et hélas Margarethe Von Trotta ne le réussit pas , en s'attachant à un épisode bien précis de sa vie, à dérouler en images ce qui fut probablement le plus riche travail de réflexion de la célèbre philosophe Hannah Arendt, elle nous ennuie. C'est vraiment vraiment bien ennuyeux! Et l'actrice principale fait de la peine tant elle est mauvaise: il faut dire qu'elle se débat avec un scénario fort peu intéressant. Sa principale activité est non de faire de la philosophie ou de réfléchir, mais de fumer! triste de la réduire à cela!

    Situons le cadre. Nous sommes en 1961, Hannah Arendt est, depuis près d'une décennie, une philosophe reconnue aux Etats Unis où elle enseigne et où elle a publié un des sommets de son œuvre, Les Origines du Totalitarisme. Elle parle en connaissance de cause puisque, jeune étudiante juive, elle a fui l'Allemagne et a transité par le camp d'internement de Gurs, cette antichambre des camps de concentration si bien tenue par la maréchaussée française, avant de réussir à prendre en 1941 un bateau pour les USA via Lisbonne. Elle a donc échappé de peu à la persécution nazie, et a été profondément affectée par l'allégeance faite au parti national socialiste par son ancien mentor et amant Martin Heidegger (qu'elle soutiendra malgré tout lors de son procès après la guerre). En 1961, le journal Le New Yorker la sollicite pour aller couvrir à Jérusalem le procès du nazi Eichmann : elle devra réaliser un reportage en cinq parties, qui seront par la suite réunies dans un ouvrage. Un défi pour Arendt qui va se trouver replongée dans l'horreur et confrontée à l'incarnation du mal absolu, à un des acteurs majeurs du génocide. Et celui qu'elle découvre dans le box des accusés n'est pas le monstre attendu, ivre d'une idéologie meurtrière, mais un médiocre petit fonctionnaire qui s'exprime avec maladresse et se défend minablement en se retranchant derrière l'obéissance aux ordres de ses supérieurs dans la machine totalitaire du Reich. C'est ainsi qu'Arendt se convainc et construit sa célèbre théorie sur la banalité du mal : les grands systèmes de répression totalitaires sont bien sûr nourris par des idéologies folles conçues par des esprits malades mais n'existent que par la servilité, la lâcheté, l'absence totale de volonté et de pensée critique de milliers d'agents zélés du système. Les théories d'Arendt dérangent car, dans l'esprit de ses détracteurs, elles contribuent à relativiser la responsabilité d'Eichmann. Elle se met définitivement à dos l'opinion israélienne et juive américaine et se coupe de ses plus proches amis en soulignant – oh scandale ! – le rôle ambigu de certains dignitaires juifs qui ont cru échapper au pire en collaborant partiellement avec le régime nazi…

    Ce qui est ennuyeuxt dans le film et mal fait, au-delà de la retranscription plus ou moins fidèle d'un épisode historique, c'est bien de voir comment cette pensée se construit au fur et à mesure que le procès avance. Margarethe Von Trotta mêle pure fiction et images d'archives saisissantes (ça c'est intéressant), utilisant en particulier les vrais témoignages d'Eichmann, enregistrés à l'époque (des images qu'on avait pu découvrir dans le formidable documentaire d'Eyal Sivan et Rony Brauman, Un Spécialiste).
    Reconstituant par quelques rares flash-back – évoquant notamment la relation avec Heidegger – la personnalité complexe de la philosophe, piètrement incarnée par Barbara Sukowa, le film brosse mal le portrait d'une femme hors du commun. C'est dommage car le sujet aurait pu donner un film fort et très intéressant.

    mais là, c'est nul

     


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  • Bof, pas très réussi. Ennuyeux même. Je n'ai pas accroché.Il faut dire que l'histoire de base est assez conne et peu intéressante, mais bref.

    scénario: 12/20    acteurs: 12/20   technique: 16/20     note finale: 12/20

    11.6

    Toni Musulin est convoyeur de fonds depuis dix ans. Le 5 novembre 2009, à 10 heures du matin, il appuie doucement sur l’accélérateur de son fourgon blindé. À l’arrière de son véhicule, 11.6 millions d’euros…


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