•  Ce film avait tout pour être réussi: de grands acteurs, du budget et une réalisatrice confirmée. Malgré tout cela, la sauce ne prend pas. L'image, les décors, les costumes sont magnifiques et c'est très bien filmé mais on s'ennuie ferme. C'est dommage. Les acteurs font ce qu'ils peuvent mais quand le scénario n'est pas dynamique, c'est difficile.

    scénario: 14/20    technique: 19/20    acteurs: 15/20   note finale: 15/20

    Cézanne et moi

    Ils s’aimaient comme on aime à treize ans : révoltes, curiosité, espoirs, doutes, filles, rêves de gloires, ils partageaient tout. Paul est riche. Emile est pauvre. Ils quittent Aix, « montent » à Paris, pénètrent dans l’intimité de ceux de Montmartre et des Batignolles. Tous hantent les mêmes lieux, dorment avec les mêmes femmes, crachent sur les bourgeois qui le leur rendent bien, se baignent nus, crèvent de faim puis mangent trop, boivent de l’absinthe, dessinent le jour des modèles qu’ils caressent la nuit, font trente heures de train pour un coucher de soleil... Aujourd’hui Paul est peintre. Emile est écrivain. La gloire est passée sans regarder Paul. Emile lui a tout : la renommée, l’argent une femme parfaite que Paul a aimé avant lui. Ils se jugent, s’admirent, s’affrontent. Ils se perdent, se retrouvent, comme un couple qui n’arrive pas à cesser de s’aimer.

    C’est l’histoire d’une amitié. Une amitié au moins aussi longue qu’une vie et au moins aussi intense qu’une histoire d’amour. Une amitié forte et tumultueuse, houleuse, passionnée et sans concession. Une amitié qui n’aurait rien d’extraordinaire si les deux êtres qu’elle liait ainsi à la vie à la mort n’étaient pas eux même deux êtres exceptionnels, j’ai nommé Paul Cézanne et Emile Zola.
    Rien ne semble effrayer Danièle Thompson, scénariste de talent et réalisatrice à succès qui n’a pas froid aux yeux quand il s’agit de s’attaquer à bras le corps à deux monstres sacrés du patrimoine culturel national. Le projet est d’envergure et la machinerie, colossale, puisque l’ambition du film est bien d’embrasser l’amitié des deux hommes sur près de quarante années, dans une France en pleine effervescence artistique et politique… Mêler l’intimité d’une relation complexe à un questionnement sur l’art et l’artiste, comment il rencontre son époque, ou pas, comment il se hisse aux sommets de la reconnaissance, ou pas, comment il doute, comment il crée…
    Alors bien entendu, on a connu plus sobre et plus intimiste dans les portraits au cinéma de grands artistes : Pialat quand il fait son inoubliable Van Gogh ou même Michel Bouquet quand il incarne Renoir au crépuscule de sa vie… Danièle Thompson est dans une autre démarche, plus flamboyante et son histoire est à l’image de cette amitié incandescente entre deux fougues inépuisables que rien ne semble freiner… alors oui bien sûr, parfois, on a un peu le tournis, ça s’enflamme et ça jaillit de tous côtés, ça explose souvent, ça va et vient entre les époques, les œuvres, les succès, les déceptions. Mais à chaque fois que le film semble s’alourdir, l’écriture reprend le flambeau du récit. Les dialogues sont ciselés avec une rare intelligence, le rythme est parfait, le ton juste et le verbe reprend toujours ses droits, portés par deux comédiens habités par l’aura de ces grands hommes.

    Il faut dire qu’elle est intense, cette histoire d’amitié, elle ne connaît pas la tiédeur. Cézanne et Zola se rencontrent à Aix, ils ont treize ans et partagent les mêmes rêves, les mêmes utopies… tous deux montent à Paris, fréquentent les même quartiers : Montmartre, les Batignolles, tous deux crachent sur les bourgeois qui le leur rendent bien, tous deux ont soif de reconnaissance et de gloire aussi… Mais alors que Zola va connaître rapidement le succès et devenir très vite « un auteur » reconnu et respecté, son ami Paul, impétueux, colérique, intransigeant avec son art et avec lui-même, ne parvient pas à percer et s’enferme peu à peu dans la posture de l’artiste incompris et maudit, bohème, éternellement fauché, irrémédiablement tourmenté. Danièle Thompson film cette douloureuse marche à contre-courant des deux hommes, l’un filant tranquillement vers la gloire avec tout le confort, la sécurité et les concessions que cela suppose, l’autre fuyant tout compromis, toute modération dans son rapport aux autres pour servir un art dont il sent pourtant qu’il est plus fort ou plus grand que lui, un art qui, comme le succès, lui échappe.
    Au cœur du film, comme un point d’ancrage, il y a un roman de Zola, L’œuvre qui scellera définitivement la brouille entre les deux hommes. Une œuvre qui interroge précisément la place de l’artiste et de la création, mais pose au-delà le lien douloureux et complexe entre la fiction et le vécu. Pour la peinture, l’époque est passionnante : on y croise Monsieur Manet et les premiers peintres impressionnistes (que Zola, jeune critique d’Art défendra), on y croise aussi (bon d’accord, de loin) les tumultes politiques…

    Au-delà d’un film sur l’œuvre (magistrale) de Zola ou sur la peinture (tout aussi majeure) de Cézanne, Cézanne et moi est finalement le récit intimiste et libre (quoique parfaitement documenté) de l’amitié entre Paul et Emile mise à l’épreuve du feu de la célébrité et de celui, peut-être plus dangereux encore, de l’orgueil.

     


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  •  Une petite comédie sans prétention mais qui n'apporte pas grand chose. Virginie Effira est parfaite mais le scénario n'est pas génial. C'est bien filmé.

    scénario: 14/20     acteurs: 16/20    technique: 16/20   note finale: 15/20

    Victoria

    Victoria Spick, avocate pénaliste en plein néant sentimental, débarque à un mariage où elle y retrouve son ami Vincent et Sam, un ex-dealer qu’elle a sorti d’affaire. Le lendemain, Vincent est accusé de tentative de meurtre par sa compagne. Seul témoin de la scène, le chien de la victime. 
    Victoria accepte à contrecœur de défendre Vincent tandis qu'elle embauche Sam comme jeune homme au pair. Le début d’une série de cataclysmes pour Victoria.

    Tous ceux qui aiment les grands classiques de la comédie hollywoodienne, Cukor (Indiscrétions), Hawks (L'Impossible Monsieur Bébé) ou plus récemment Blake Edwards (d'ailleurs on ne nous fera pas croire que le prénom Victoria a été choisi au hasard) – autrement dit tous ceux qui aiment le cinéma – vont être enchantés, emballés par ce film français qui se hisse au niveau des grandes réussites du genre. Ce n'est pas si souvent qu'on peut avancer cette comparaison sans exagérer, on ne va donc pas se priver d'exprimer ici notre enthousiasme, d'autant plus que Victoria ne se contente pas d'être une mécanique comique imparable, il dit aussi plein de choses acérées sur notre monde tel qu'il va. Pas de doute, après le très intéressant mais un peu foutraque et un brin fatiguant La Bataille de Solférino, Justine Triet monte de deux crans, passe à la vitesse supérieure et nous livre un deuxième film remarquablement écrit, construit, maîtrisé de bout en bout.

    Victoria Spick (drôle de patronyme) mène, comme disaient les anciens, une vie de bâton de chaise. Autrement dit son existence est pour le moins cahotique, pour ne pas dire bordélique. Avocate pour les causes qu'elle peut trouver, elle a une vie sentimentale foireuse qui vogue au bon gré de tinder (pour les déconnectés, cette application permet aux célibataires et assimilés en manque affectif et/ou sexuel de trouver dans une zone géocalisée d'éventuels partenaires souffrant des mêmes carences) et s'occupe plutôt très mal de ses enfants qu'elle confie trop souvent à des babysitters surexploités… Il paraît que c'est ce qu'on appelle une vraie femme moderne. Et comme si ça ne suffisait pas, elle va faire deux choix qui ont toutes les chances de s'avérer mauvais, voire cata : accepter de défendre, contrairement à l'éthique professionnelle, son meilleur ami, accusé par la femme qu'il vient d'épouser de l'avoir poignardée en plein mariage (cérémonie à laquelle Victoria a assisté) ; et prendre comme baby sitter et colocataire un ancien client dealer, charmant par ailleurs (excellent Vincent Lacoste, qui joue dans le film un rôle dévolu aux femmes dans les classiques hollywoodiens évoqués plus haut ; Virginie Efira, elle, endosse carrément le rôle de Cary Grant !). Dans le même temps son ex, écrivain raté mais entêté, s'est mis à tenir un blog où il raconte tous les travers de son ancienne compagne, y compris des secrets concernant des clients parfois facilement énervables… Tout cela va avoir des conséquences en cascade, conséquences professionnelles, conséquences sentimentales, conséquences fâcheuses, conséquences rocambolesques surtout, qui ne feront peut-être pas le bonheur de notre personnage mais qui font en tout cas le nôtre !

    On ne racontera pas toutes les séquences hilarantes – souvent des scènes de procès – qui ponctuent le film et en font un festival de drôlerie. On citera quand même celle où Victoria dissèque, avec le plus grand sérieux, l'analyse comportementale d'un chien, ou bien celle où elle présente comme pièce à conviction un selfie pris par un chimpanzé… Et encore cette impayable plaidoirie, au lendemain d'une soiré dépressive et médicamentée, qui voit Victoria dérouler son argumentaire comme un 45 tours passé en 33… Stop !
    Mais on ne peut pas ne pas insister sur la performance époustouflante de Virginie Efira, qui s'impose définitivement comme une magnifique interprète de comédie (la dernière actrice à nous avoir fait une telle impression, c'était Sandrine Kiberlain dans le Neuf mois ferme de Dupontel, le rôle lui a valu un César, le rendez-vous est pris). Virginie Efira aussi épatante quand elle est volubile et cynique que lorsqu'elle est amoureuse et fragile, craquant sous le vernis. Une grande comédienne pour une formidable comédie !


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  •  Une comédie sympa mais qui ne fera pas date. Pas super réussi. Mais on rit.

    scénario: 14/20      technique: 16/20      acteurs: 16/20   note finale: 15/20

    Radin

    François Gautier est radin ! Economiser le met en joie, payer lui provoque des suées. Sa vie est réglée dans l’unique but de ne jamais rien dépenser. Une vie qui va basculer en une seule journée : il tombe amoureux et découvre qu’il a une fille dont il ignorait l’existence. Obligé de mentir afin de cacher son terrible défaut, ce sera pour François le début des problèmes. Car mentir peut parfois coûter cher. Très cher…


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  • le scénario est bâclé! l'histoire pas terrible, et les acteurs peu convaincants. Les images de nature sont magnifiques mais vues et revues. Bref, pas terrible et peu d'imagination.

    scénario: 12/20   acteurs: 10/20  technique: 16/20   note finale: 12/20

    L’histoire époustouflante de l’amitié entre un garçon nommé Lukas, son aigle Abel et Danzer, le garde forestier. Lukas, un jeune garçon élevé par un père autoritaire, recueille un aiglon tombé du nid. Il nomme son nouveau compagnon Abel et s’en occupe en secret avec l’aide de Danzer. L’aigle et l’enfant s’apprivoisent et grandissent ensemble. Mais, lorsque vient le jour pour Abel de prendre son envol, Lukas parviendra-t-il, lui aussi, à prendre le sien ?


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  •  Grossier et vulgaire mais amusant. Dommage que ce soit aussi grossier. Le scénario est intéressant. Les acteurs sont bons. Manque de finesse.

    scénario: 13/20         acteurs: 16/20        technique: 16/20       note finale: 14/20

    Cinq amis d'enfance rêvent depuis toujours d'habiter en colocation. Lorsque l’occasion d’emménager ensemble se présente, Julia, Vadim, Nestor et Timothée n’hésitent pas une seule seconde, surtout quand Samuel se propose de payer la moitié du loyer ! A peine installés, Samuel se retrouve sur la paille mais décide de ne rien dire aux autres et d'assumer sa part en se mettant à vendre de l'herbe. Mais n'est pas dealer qui veut et quand tout dégénère, Samuel n’a d’autres choix que de se tourner vers la seule famille qu'il lui reste : ses amis !


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  •  Bof, c'est très moyen tant au niveau du scénario que de la mise en scène que du jeu des acteurs. Moyen

    scénario: 12/20       acteurs: 12/20    technique: 12/20   note finale: 12/20

    Rosalie Blum

    Vincent Machot connaît sa vie par cœur. Il la partage entre son salon de coiffure, son cousin, son chat, et sa mère bien trop envahissante. Mais la vie réserve parfois des surprises, même aux plus prudents... Il croise par hasard Rosalie Blum, une femme mystérieuse et solitaire, qu'il est convaincu d'avoir déjà rencontrée. Mais où ? Intrigué, il se décide à la suivre partout, dans l'espoir d'en savoir plus. Il ne se doute pas que cette filature va l’entraîner dans une aventure pleine d’imprévus où il découvrira des personnages aussi fantasques qu’attachants. Une chose est sûre : la vie de Vincent Machot va changer…


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  • Mais à quoi sert ce film? Qu'apporte-t-il? Rien. Encore un film qui ne sert à rien. c'est moyen, pas franchement ennuyeux mais pas franchement intéressant non plus. Médiocre et inutile.

    scénario: 10/20         acteurs: 12/20       technique: 16/20      note finale: 10/20

    Paris-Willouby

    Les Guilby Lacourt forment une famille recomposée typique de notre époque. Entre père, belle-mère, petite sœur, frère, demi-sœur, ou encore demi-oncle, ils ont parfois du mal à s’y retrouver ! Un soir, ils apprennent la mort d'un grand-père avec qui ils ont coupé les ponts depuis une dizaine d'années. Fatalement voués à cohabiter le temps d'un long voyage pour se rendre à son enterrement, ils vont tous très vite devoir s'adapter au concept du "vivre ensemble" dans l'espace exigu de la voiture familiale. Pour le meilleur et pour le pire !


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  •  Un téléfilm d'après-midi mais pas un film. C'est ennuyeux, bavard et ça n'apporte rien. On voir New York. On s'ennuie autant que les actrices principales. le scénario est minimaliste.

    scénario: 12/20   technique: 15/20    acteurs: 15/20   note finale: 13/20

    Misstress America

    Étudiante en première année dans une université de New York, Tracy se sent bien seule : elle ne fait ni les rencontres exaltantes auxquelles elle s'attendait, ni ne mène la vie urbaine trépidante à laquelle elle aspirait. Jusqu'au jour où elle est accueillie par sa future demi-soeur Brooke, New-Yorkaise pure et dure habitant à Times Square. Séduite par les extravagances de Brooke, Tracy découvre enfin le Manhattan dont elle rêvait…

    Six mois à peine après l'excellent et très drôle While we were young, voici l'assez drôle et très moyen Mistress America. Deux films par an, c'est trop. il devrait plus travailler ses scénario.  La Mistress America du titre, c'est Brooke, interprétée par Greta Gerwig (qui impose ici un tempérament comique hors du commun), également co-scénariste du film. Mais pour entrer dans l'histoire, il faut passer par Tracy : c'est elle le personnage central, ce sont ses yeux et ses mots qui nous serviront de guide.

    La réservée, la presque timide Tracy (parfaite et attachante Lola Kirke) débute sa première année d'études littéraires dans une université de Manhattan… et on ne peut pas dire que ce soit la joie. Ses cours sont plutôt ennuyeux, sa camarade de chambre est plutôt revêche, ses condisciples sont plutôt banals… Bref son entrée dans la vie étudiante new-yorkaise, qu'elle rêvait enrichissante, surprenante, excitante… est plutôt décevante. Il y a bien Tony, qui partage son goût pour l'écriture – ils s'échangent et critiquent mutuellement leurs premières tentatives – mais il a un côté mollasson assez désespérant… et en plus il se fait mettre le grappin dessus par une Nicolette ultra-possessive et méga-jalouse. Pas grand chose à espérer donc sur le campus. Alors quand sa candidature au cercle littéraire qu'elle voulait intégrer est rejetée par les abominable snobinards du comité de rédaction, elle se persuade qu'il faut peut-être aller voir ailleurs si l'air est plus vivifiant et se résout à contacter – comme le lui demande sa mère, avec insistance, depuis son arrivée à New-York – la fameuse Brooke.
    Mais qui donc est cette Brooke ? C'est en fait sa future demi-sœur : son père va incessamment sous peu épouser la mère de Tracy, c'est censé créer des liens aussi immédiats que durables… Tracy n'y croit guère mais la première rencontre va être ébouriffante : Brooke est une sorte de tornade blonde, exubérante, enthousiaste, qui habite Times Square, « the place to be », dans un appartement bric-à-brac qu'elle a évidemment décoré elle-même – et qu'elle occupe de manière plus ou moins clandestine –, qui connaît tout un tas de gens formidables, qui déborde de projets tous plus épatants les uns que les autres, dont le plus immédiat est l'ouverture d'un resto-salon de coiffure-galerie d'art-centre communautaire, il faut juste qu'elle arrive à convaincre un partenaire financier et l'affaire est faite… Sans avoir le temps de dire ouf, Tracy est emportée dans le tourbillon de cette fille rigolote, spontanée, grande gueule et touche-à-tout, qui aurait tout pour être exaspérante si on ne sentait pas en elle une vraie générosité et une grande fragilité…

    La suite des événements montrera en effet que Brooke a peut-être plein de relations mais pas vraiment d'amis, plein de désirs mais peu de conclusions, plein d'idées mais qui n'aboutissent jamais ou alors qu'on lui pique. C'est ainsi, prétend-elle, que son ex-meilleure amie Mamie Claire s'est appropriée une de ses idées qui lui a apporté la fortune. Et en même temps Mamie Claire lui a fauché son boyfriend et ses chats ! Brooke décide donc d'aller affronter cette traîtresse pour la pousser à investir dans sa future affaire, car il faut vous dire qu'entre temps son bailleur de fonds s'est désisté… Et pour cette confrontation décisive, elle embarque sa demi-sœur putative, flanquée par un concours de circonstances de Tony et Nicolette… L'équipée sera particulièrement ennuyeuse !


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  • D'une réjouissante absurdité! Ce film se moque avec talent des communicants politiques. Mais hélas, le scénario est un peu faible et certaines situations vraiment trop loufoques et absurdes.

    scénario: 12/20        technique: 16/20     acteurs: 16/20  note finale: 14/20

    Gaz de France

     

    Dans la France des années 2020, Michel Battement, l'éminence grise du chef de l'état, doit d'urgence remonter la cote de popularité du président Bird afin d'empêcher la chute imminente du régime. Au fin fond des sous-sols surchargés de l’Élysée, il organise une consultation secrète, en compagnie des meilleurs cerveaux du pays.


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  • On passe de bons moments même s'il n'arrive pas à la cheville de "la cuisine au beurre" dont il est un vague remake. Bien joué même s'il manque un je ne sais quoi pour que ce soit vraiment réussi. Bien joué et bien filmé.

    scénario: 14/20     technique: 16/20   acteurs: 16/20   note finale: 15/20

    Pension complète

    François et Charlotte dirigent ensemble un hôtel-restaurant gastronomique au bord de la mer mais leur relation conjugale n’est pas au beau fixe : obsessionnel acharné, François veut sa première Étoile au Guide Michelin tandis que Charlotte, à l’aube de la quarantaine, ne rêve que d’un premier enfant. Cette situation, déjà compliquée, va littéralement exploser le jour où le premier mari de Charlotte, Alex, débarque dans leur vie alors que tout le monde le croyait mort dans le terrible tsunami de 200


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  • Le film peine à commencer, c'est bavard et il y a 30 minutes de trop. Mais c'est intéressant et ces histoires de finances sont incroyables. On s'ennuie tant c'est long. Dommage.

    scénario: 14/20    acteurs: 14/20   technique: 14/20   note finale: 14/20

    The Big Short : le Casse du siècle

    Wall Street. 2005. Profitant de l’aveuglement généralisé des grosses banques, des medias et du gouvernement, quatre outsiders anticipent l’explosion de la bulle financière et mettent au point… le casse du siècle ! Michael Burry, Mark Baum, Jared Vennett et Ben Rickert : des personnages visionnaires et hors du commun qui vont parier contre les banques … et tenter de rafler la mise !

    Dans le New York Times, Paul Krugman, Prix Nobel d’économie en 2008, écrit que The Big short « réussit génialement à rendre distrayantes les arnaques de Wall Street et à exploiter l’humour noir inhérent à la manière dont tout s’est écroulé ».
    Réalisateur-phare de la nouvelle comédie américaine aux côtés de son comparse et ami Will Ferrell, relativement méconnu en France, Adam McKay décale avec The Big short son angle de tir. Loin des délires absurdes et infantiles qu’il affectionne, le sujet est cette fois plutôt grave, puisqu’il s’agit de la crise des subprimes, étincelle inaugurale d’une crise économique mondiale. McKay, qui pas plus qu’un autre ne se refait, n’en signe pas moins un film drôle, mais d’un nouveau genre dans l’ordre du rire, qu’on pourrait nommer « comique pédagogique ». Le défi n’est pas mince : il s’agit à la fois de divertir en montrant une brochette de personnages passablement allumés, mus par des affects schizophréniques, et d’informer le spectateur en lui expliquant les mécanismes spéculatifs financiers relativement complexes qui nourrissent leur pathologie.


    Ce qu’il faut donc souligner – par comparaison avec d’autres œuvres remarquables qui se sont emparées du sujet, du documentaire Inside job, de Charles Ferguson, au Loup de Wall Street, de Martin Scorsese – c’est le côté retors du film. The Big short raconte en effet l’histoire d’une brochette de financiers qui, plus clairvoyants que les autres, ont décelé le caractère délictueux des prêts hypothécaires consentis aux particuliers par les banques, et vu venir l’énormité de la crise des subprimes qui allait s’ensuivre. Tout l’intérêt du film consiste à montrer comment ces personnages, qui ont raison contre leur milieu, vont se positionner à la fois professionnellement et moralement par rapport à ce qu’ils perçoivent comme une catastrophe annoncée.
    C’est très exactement en cette délicate articulation que le film gagne ses galons. Car si tous entrent en lutte contre la gigantesque manœuvre qui gangrène les milieux financiers, c’est essentiellement par les mêmes moyens et pour les mêmes fins : la spéculation financière, l’enrichissement personnel, le shoot d’adrénaline. Ces hommes-là ont beau être dans le vrai, ils n’en misent pas moins sur l’effondrement général, des spéculateurs comme de leurs victimes, pour mettre du beurre dans leurs épinards. Voilà en un mot la grandeur de The Big short, qui est de nous rappeler que la probité ne sort jamais gagnante d’un système où l’ultime valeur, le serait-elle au nom d’une certaine définition du bien public, est le profit.

    Loin d’être sentencieuse, cette petite leçon de choses néolibérales s’appuie sur une dramaturgie pleine de tension, filme le huis clos à la manière d’un documentaire… et tire grand profit d’acteurs à l’abattage frénétique. Christian Bale campe ainsi impérialement Michael Burry, ex-neurologue, génie des algorithmes, gestionnaire de fonds excentrico-autarcique, amateur de rock metal et massacreur de batterie, inventeur du mécanisme qui permettra à tous les personnages du film de rafler la mise au moment où Wall Street la perdra.
    Steve Carell, grande mèche teinte rabattue sur le front, incarne Mark Baum, sorte de Saint-Just perpétuellement indigné d’un milieu dont il fait pourtant partie intégrante, ce qui l’énerve encore plus. Ryan Gosling est Jared Vennett, un jeune loup de Wall Street froid comme la mort, qui a lui aussi senti le coup venir. Finn Wittrock et John Magaro interprètent quant à eux deux jeunes ambitieux gestionnaires de fonds qui vont s’adjoindre le concours d’un ex-trader devenu un intégriste de l’écologie (Brad Pitt) pour jouer dans la cour des grands. Autant de héros dont la victoire sera célébrée par un désastre, invitant à considérer The Big short comme une tragédie qui ne dit pas son nom.


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  •  Ceux qui s'attendent à un film historiques en seront pour leur frais. Pas mal mais ennuyeux. Bien filmé et les costumes et les décors sont magnifiques. le scénario est moyen. les acteurs jouent bien. mais vraiment avec tous ces moyens, je m'attendais à mieux.

    scénario: 14/20       acteurs: 14/20   technique: 18/20   note finale: 14/20

    Les anarchistes

    Paris 1899. Le brigadier Jean Albertini, pauvre et orphelin, est choisi pour infiltrer un groupe d’anarchistes. Pour lui, c’est l’occasion de monter en grade. Mais, obligé de composer sans relâche, Jean est de plus en plus divisé. D’un côté, il livre les rapports de police à Gaspard, son supérieur, de l’autre, il développe pour le groupe des sentiments de plus en plus profonds.


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  •  Un scénario léger comme une plume. Et quand le scénario est minimaliste... le film ne peut pas être génial. Ensuite, ils ont trouvé une blonde qui joue mal. Par contre, les dialogues sont parfois amusants. C'est bien filmé. Fabrice Lucchini a un tout petit rôle. Manu Payet est formidable! Bref, tout cela fait un film très très moyen.

    scénario: 7/20     acteurs: 12/20   technique: 16/20    note finale: 12/20

    un début prometteur

    Martin, désabusé pour avoir trop aimé et trop vécu, retourne chez son père, un horticulteur romantique en fin de course. Il y retrouve Gabriel, son jeune frère de 16 ans, exalté et idéaliste, qu’il va tenter de dégoûter de l’amour, sans relâche. Mais c’est sans compter Mathilde, jeune femme flamboyante et joueuse, qui va bousculer tous leurs repères...


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  •  Olivier Gourmet est un acteur fantastique qui peut tout jouer, absolument tout. Le problème, c'est que les bons acteurs sont rares et quand en face de lui, il y a une mauvaise actrice, comme c'est le cas dans ce film, ça ne passe pas. Le scénario est très bien, c'est bien filmé, les décors et les costumes sont magnifiques, mais le rôle féminin est très très mal distribué. Dommage!

    scénario: 18/20   acteurs: 14/20 (18/20 pour Olivier Gourmet)   technique: 18/20   note finale: 16/20

    L'odeur de la mandarine

    Eté 1918. La guerre fait rage pour quelques mois encore, mais pour Charles et Angèle, elle est déjà finie. Lui, officier de cavalerie y a laissé une jambe. Elle, son infirmière à domicile, vient de perdre au front son grand amour, le père de sa petite fille. Unis par le besoin de se reconstruire, ils nouent une complicité joyeuse qui les ramène à la vie. Sur l'insistance de Charles, Angèle accepte un mariage de raison. Il leur faudra entrer en guerre, contre eux-mêmes et contre l'autre avant d'accepter l'évidence de la passion qui les lie malgré eux…

    En cette période anniversaire de la première Guerre Mondiale, le cinéma nous offre une sorte de panorama de ces années sombres. Après le radical La Peur, après le beau film britannique Mémoires de jeunesse et avant le formidable film d’animation Adama, qui retrace le parcours d’un jeune garçon, de sa luxuriante vallée en Afrique au paysage désolé de Verdun, parti à la recherche de son frère enrôlé comme tirailleur sénégalais, – Gilles Legrand signe un film romanesque et sensuel autour de la rencontre de deux personnages abîmés par la guerre et qui tentent de se reconstruire.

    Eté 1918. La guerre fait rage pour quelques mois encore, mais pour Charles elle est déjà finie. Officier de cavalerie, il y a laissé une jambe et rumine dans son domaine sur sa nouvelle condition de riche estropié. C’est alors qu’arrive au château une jeune femme, Angèle, accompagnée de sa fille. Angèle est infirmière à domicile, elle vient de perdre au front son grand amour, le père de sa petite fille. La jeune femme soigne Charles avec doigté et bienveillance, évoque avec lui les douleurs fantômes du membre absent, lui apporte légèreté et bonne humeur.
    Très vite ils nouent une complicité joyeuse qui les ramène à la vie. Elle est une cavalière émérite, elle est spirituelle, elle joue au billard et fume le cigare. Autant de qualités qui subjuguent littéralement le capitaine de cavalerie… lequel ne tarde pas à lui demander sa main. Mais Angèle ne le voit pas de cet œil, elle est encore amoureuse du père de sa fille et elle se refuse à trahir ses sentiments. Il leur faudra entrer dans une autre guerre, intime celle-là, contre eux-mêmes et contre l’autre, avant d’accepter l’évidence de la passion qui les lie presque malgré eux…

    Le récit repose sur un jeu d’équilibre entre humanité et animalité. Et Olivier Gourmet incarne à merveille ces deux éléments. Il est tour à tour émouvant, fragile, autoritaire, bestial, délicat et éduqué, rustre et monstrueux. Face à lui Georgia Scalliet, qu’on découvre : c’est son premier film mais elle est sociétaire de la Comédie Française. La jeune femme déploie un jeu intense, qui désarçonne au départ et fascine au final. Elle incarne une jeune femme déjà libre pour l’époque : fille-mère, elle s’est émancipée par la force des choses et par le surgissement de la guerre. Une femme indépendante et instruite – elle nous fait penser à l’héroïne de La Leçon de piano de Jane Campion – tiraillée entre amour et désir. Les deux comédiens jouent cette partition pas si facile avec justesse et intensité, restituant toute la gamme complexe des émotions qui les traversent.

    Gilles Legrand met en scène avec talent cette histoire de désirs et de sexualité contrariée et dessine le portrait puissant de deux amputés, lui de sa jambe, elle de son grand amour, deux handicapés, luttant pied à pied pour se débarrasser de leurs fantômes, tâtonnant dans l’obscurité à la recherche de la lumière.


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  •  Pas mal, mais un peu trop onirique pour moi. Il manque un je ne sais quoi à ce film pour qu'il soit totalement réussi. Mais pâs mal. On a vu pire. Quelques scènes très amusantes.

    scénario: 14/20   acteurs: 16/20  technique: 16/20  note finale: 15/20

    Fred et Mick, deux vieux amis approchant les quatre-vingts ans, profitent de leurs vacances dans un bel hôtel au pied des Alpes. Fred, compositeur et chef d’orchestre désormais à la retraite, n’a aucune intention de revenir à la carrière musicale qu’il a abandonnée depuis longtemps, tandis que Mick, réalisateur, travaille toujours, s’empressant de terminer le scénario de son dernier film. Les deux amis savent que le temps leur est compté et décident de faire face à leur avenir ensemble.
    Mais contrairement à eux, personne ne semble se soucier du temps qui passe…

    Au cœur des Alpes suisses, dans un grand hôtel réservé aux plus fortunés, où tout ne devrait être que luxe, calme et volupté, nous allons en fait côtoyer une belle bande d'agités : un jeune acteur en plein questionnement sur son prochain rôle, un couple qui semble ne jamais échanger le moindre mot, un ancien footballeur argentin en surpoids (eh oui, c'est lui), Miss Univers en personne, un guide de montagne probablement plus habitué au charme spartiate d'un refuge, une masseuse de l'hôtel qui se rêve danseuse, une jeune prostituée désabusée... Mais nous fréquenterons surtout, pour notre plus grand plaisir, un vieux réalisateur venu travailler à ce qui devrait être son film-testament – Harvey Keitel – et son meilleur ami, un chef d'orchestre à la retraite – Michael Caine. Ce dernier se verra proposer par un émissaire de la reine d'Angleterre de reprendre la baguette pour diriger un morceau particulier à la fête d'anniversaire du prince Philip. Il opposera un refus ferme et définitif à cette demande... Mais n'est-ce pas de toute façon le privilège de l'âge de pouvoir se détacher de certaines obligations et se permettre d'envoyer paître la reine d'Angleterre ? Cela dit, même à 80 ans, les choses ne sont pas si simples, surtout quand on a une grande fille qui est aussi son agent personnel et qui a des idées bien arrêtées sur ce qu'est la carrière d'un grand maître de la musique...
    La présence de ces personnages dans ce lieu de rencontre naturel qu'est l'hôtel va permettre de multiples échanges qui seront source de réflexion et même d'évolution pour certains. La vie, la mort, la création, la beauté, le sens des choix que l'on fait, le temps qui passe, l'amitié, la paternité, l'amour, la fidélité, ce qui nous obsède, ce dont on se souvient, ce que l'on préfère oublier... autant de thèmes évoqués ou sous-entendus lors de ces discussions plus profondes qu'elles n'en ont l'air sur le moment. Cela n'empêche d'ailleurs pas nos octogénaires d'aborder des questions plus terre à terre, comme de s'enquérir chaque jour du nombre de gouttes qu'ils auront réussi à pisser ! Et l'on peut faire confiance à Paolo Sorrentino pour déployer tout au long du film une finesse, une subtilité, une tendresse, une drôlerie qui font tout son prix. Ce nouveau film de l'Italien Sorrentino est tourné en anglais et l'immense Michael Caine prend en quelque sorte le relais de Toni Servillo, l'acteur fétiche du réalisateur, dans le rôle de l'homme d'âge mûr impassible, au regard affûté, qui occupe son temps à scruter les habitudes et les manies de ses semblables. Les autres acteurs sont tout autant à leur place dans l'univers de Sorrentino, Paul Dano, parfait, ou Harvey Keitel dont vous n'oublierez pas le face à face avec Jane Fonda.
    Plus encore que dans ses précédents films, La Grande Bellezza ou Il Divo, l'humour est ici très présent : il s'exprime essentiellement à travers des dialogues savoureux, mais aussi au détour de quelques épatantes trouvailles visuelles. Bref, un qualificatif résume bien la forte impression que nous fait ce film : brillant !


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  • Inutile de préciser que je regrette Jasan Statham. Le nouveau transporteur est vraiment sans saveur à côté de Jason. Mais le transporteur reste le transporteur avec ses courses de voiture, ses filles maigres et blondes et son histoire à dormir de debout. Ni pire, ni meilleur que les précédents.

    scénario: 16/20     acteurs: 16/20   technique: 16/20   note finale: 16/20

    Le transporteur Héritage

    Frank Martin, un ex-mercenaire des forces spéciales, est aujourd’hui spécialisé dans le transport de colis top secrets pour des clients pas toujours recommandables.
    Alors que son père lui rend visite dans le Sud de la France, Frank se retrouve entraîné dans un braquage par Anna, cliente mystérieuse et manipulatrice, et ses trois partenaires. Précipité au cœur d’une vendetta impitoyable menée par ces quatre femmes fatales, et tandis que l’ombre de la mafia russe plane sur la Riviera, Frank devra plus que jamais faire appel à ses talents de pilote et de séducteur.


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  • Un biopic ennuyeux. Il manque un je ne sais quoi pour que ce soit bien.

    scénario: 12/20    acteurs: 15/20     technique: 16/20   note finale: 16/20

    Oriana Fallaci

    Oriana Fallaci raconte la vie à cent à l'heure de cette journaliste italienne hors norme, de la Dolce vita au 11 Septembre en passant par le Vietnam, la Grèce des colonels ou l'Iran de Khomeiny. Oriana Fallaci est impertinente, drôle et parfois brutale. Elle a révolutionné le journalisme, a sillonné la planète et surtout rencontré et bousculé tous ceux qui font l’Histoire.


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  • Comme d'habitude, un scénario aux rebondissements improbables. Tom Cruise est égal à lui-même. Ca va dans tous les sens, c'est plein d'énergie et c'est un peu bête. Les cascades sont si ridicules qu'on n'y croit pas une seconde. MDR

    scénario: 14/20       technique: 16/20   acteurs: 16/20    note finale: 16/20

    Mission impossible: Rogue Nation

    L’équipe IMF (Impossible Mission Force) est dissoute et Ethan Hunt se retrouve désormais isolé, alors que le groupe doit affronter un réseau d’agents spéciaux particulièrement entraînés, le Syndicat. Cette organisation sans scrupules est déterminée à mettre en place un nouvel ordre mondial à travers des attaques terroristes de plus en plus violentes. Ethan regroupe alors son équipe et fait alliance avec Ilsa Faust, agent britannique révoquée, dont les liens avec le Syndicat restent mystérieux. Ils vont s’attaquer à la plus impossible des missions : éliminer le Syndicat.

     

     


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  • Pas mal mais moins réussi que le premier; Et on se demande pourquoi ils se moquent à ce point des allemands? Très bavard et scénario mal ficelé. Le jeu des acteurs est approximatif

    scénario: 14/20        acteurs: 14/20   technique: 14/20     note finale: 14/20

    Pitch Perfect 2

    Les Barden Bellas sont de retour pour faire vibrer le monde dans Pitch Perfect 2, suite de The Hit Girls qui racontait l’histoire d’une bande d’adorables jeunes filles un brin marginales qui n’avaient qu’un point commun : leurs voix inoubliables lorsqu’elles chantaient ensemble et ne formaient plus qu’un. Cela fait trois ans que les Bellas se sont imposées comme le premier groupe exclusivement féminin à remporter un titre national grâce à leurs voix, leur style et leur attitude reconnaissables entre toutes. Mais lorsqu’elles se retrouvent radiées suite à un scandale qui risque de compromettre leur dernière année à Barden, nos trois championnes à l’esprit combatif estiment que, cette fois, elles ont perdu la partie. Alors qu’il ne leur reste qu’une occasion de reconquérir leur titre, les Bellas doivent se battre pour avoir le droit de concourir au championnat du monde de chant a capella de Copenhague. Entre la pression de la compétition musicale et la peur de rater leur année de Terminale, les Bellas devront se serrer les coudes pour retrouver leur voix et remporter le championnat…


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  •  C'est peu de dire que ce n'est ps fin. Le scénario ne risque pas de vous faire mal à la tête... les dialogues non plus. C'est plus pathétique qu'autre chose. Mais les mecs sont beaux, quoique pas très futés, et dansent bien...

    scénario: 8/20      technique: 16/20     acteurs: 14/20   note finale: 12/20

    Magic Mike XXL

    Trois ans après que Mike ait renoncé à sa vie de strip-teaseur, les Kings of Tampa sont eux aussi prêts à jeter l'éponge. Mais ils veulent le faire à leur façon – en enflammant la piste de danse lors d'un ultime spectacle époustouflant à Myrtle Beach et en partageant l'affiche avec le légendaire Magic Mike. Alors qu'ils se préparent pour leur finale et qu'ils se rendent à Jacksonville et Savannah pour renouer avec d'anciennes connaissances et se faire de nouveaux amis, Mike et ses camarades s'initient à de nouvelles acrobaties et évoquent le passé de manière surprenante…


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  • D'une folie jubilatoire, ce film est parfois ennuyeux et on se serait bien passé de certaines scènes vraiment pornographiques. L'image est d'une beauté à couper le souffle.

    scénario: 14/20        technique: 19/20     acteurs: 15/20   note finale: 14/20

    Que viva Eisenstein

    En 1931, fraîchement éconduit par Hollywood et sommé de rentrer en URSS, le cinéaste Sergueï Eisenstein se rend à Guanajuato, au Mexique, pour y tourner son nouveau film, Que Viva Mexico ! Chaperonné par son guide Palomino Cañedo, il se brûle au contact d’Éros et de Thanatos. Son génie créatif s’en trouve exacerbé et son intimité fortement troublée. Confronté aux désirs et aux peurs inhérents à l’amour, au sexe et à la mort, Eisenstein vit à Guanajuato dix jours passionnés qui vont bouleverser le reste de sa vie.

    Ce film aussi historique que foldingo (l'association des deux est pour le moins surprenante et tient au talent érudit et malicieux de Greenaway) met en scène un des plus grands cinéastes de tous les temps, visionnaire, novateur, qui révolutionna le langage des images – dans le sillage d'une autre révolution – , un génie que d'autres géants comme Gance ou Griffith considéraient comme le maître absolu du montage. Sergueï Eisenstein, né à Riga, capitale de l'actuelle Lettonie, fut LE cinéaste de la Révolution Russe. En trois films réalisés entre 1924 et 1928 (La Grève, Le Cuirassé Potemkine, Octobre), Eisenstein a non seulement traduit en images l'histoire officielle d'une révolution mais surtout fait preuve d'une extraordinaire modernité cinématographique en posant comme matrice du récit le montage des images plutôt qu'un schéma narratif classique inspiré de la littérature, faisant se succéder des plans emblématiques, comme l'inoubliable scène de l'escalier d'Odessa dans son Potemkine, une scène qui a marqué la mémoire collective mondiale.

    Le film de Peter Greenaway évoque un épisode très particulier de la vie d'Eisenstein : en 1931, le cinéaste internationalement adulé, après avoir parcouru durant deux ans l'Europe et les États-Unis et rencontré les plus grands intellectuels et artistes de gauche (Joyce, Brecht, Cocteau, Shaw, Dos Passos, Stein, Von Stroheim, Flaherty, Chaplin, Stravinski, Disney, Le Corbusier, Bunuel, Dietrich, Garbo…), débarque dans le Mexique révolutionnaire hérité de l'insurrection de Zapata, avec l'intention un peu floue d'y réaliser un film qui devrait s'intitulier Que viva Mexico !. Eisenstein est devenu une star fantasque et capricieuse, transportant avec lui une quantité extravagante de malles remplies de livres. Et à peine arrivé il se laisse emporter sans résistance par l'atmosphère captivante du Mexique, sa fascination pour la religiosité morbide, et surtout par l'attrait sensuel de son guide Palomino Canedo, qui va faire découvrir au cinéaste russe de nouveaux émois, l'homosexualité plus ou moins assumée d'Eisenstein étant un secret de polichinelle, ce qui déplut fort d'ailleurs au très peu gay friendly Joseph Staline.

    Au-delà de l'intérêt historique du film, c'est évidemment la mise en scène foisonnante de Peter Greenaway qui vaut le détour. Greenaway, expérimentateur insatiable et imprévisible, traduit ici en images fortes l'ambiance aussi chaude que morbide du Mexique, en même temps que les jeux érotiques – décrits sans trop de précautions – du cinéaste russe et de son guide. Par un jeu virtuose de superpositions, de divisions de l'écran, Greenaway mélange à plusieurs reprises le récit du voyage au Mexique aux images mêmes des films d'Eisenstein. C'est assez étourdissant…
    Eisenstein est incarné par Elmer Bäck, acteur finlandais inconnu dans nos contrées, qui impose sa puissante stature, son visage étrange de poupon surplombé d'une coiffure hirsute, ses crises d'enthousiasme et d'hystérie, transmettant toute son énergie à un film hors normes consacré à un personnage qui l'était tout autant.


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  • Pas mon genre mais il faut dire que c'est réussi. On passe du futur au passé avec bonheur même si parfois, bof bof. les effets spéciaux sont réussis.  Schwarzie est une merveille quand il sourit...

    scénario: 16/20    acteurs: 16/20   technique: 17/20   note finale: 16/20

    Le leader de la résistance John Connor envoie le sergent Kyle Reese dans le passé pour protéger sa mère, Sarah Connor et préserver l'avenir de l’humanité. Des événements inattendus provoquent une fracture temporelle et Sarah et Kyle se retrouvent dans une nouvelle version du passé. Ils y découvrent un allié inattendu : le Guardian. Ensemble, ils doivent faire face à un nouvel ennemi. La menace a changé de visage.


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  • Parfois, on se demande pourquoi certains films sont fait: quel est leur intérêt, leur but, leur objet. Ce film fait partie de cette catégorie. Ce n'est pas de l'humour, ce n'est pas pour les enfants, ce n'est pas une belle histoire, ce n'est pas historique, ce n'est pas de la littérature... Pourquoi le réalisateur a-t-il fait ce film? Pour rien. L'histoire est sans intérêt et j'ai eu droit à ma séance privée: la salle pour moi à la séance de 14h00. Cela n'augure rien de bon pour la vie de ce film. Un film inutile dont je cherche encore l'intérêt.

    scénario: 16/20        acteurs: 16/20   technique: 16/20   note finale:14/20

    La résistance de l'air

    Champion de tir au fusil, Vincent mène une vie tranquille entre sa femme et sa fille. Jusqu’au jour où des problèmes d’argent l’obligent à remettre en cause ses projets et menacent l’équilibre de sa famille.
    Une rencontre au stand de tir avec Renaud, personnage aussi séduisant qu'énigmatique, lui promet une issue grâce à un contrat un peu particulier. Dès lors, Vincent met le doigt dans un engrenage des plus dangereux…


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  •  On pense aux Trois soeurs de Tchékhov, enfermées dans un monde qui n'existe plus. La réalisatrice, scénariste de La fiancée syrienne et Les citronniers d'Eran Riklis, pose un regard inhabituel sur la Palestine avec un scénario étrange. Les quatre interprètes peinent à convaincre. Les décors et les costumes sont réussis et  nous plongent dans un temps indéterminé. Mais ce film n'est pas totalement réussi. Il est même assez ennuyeux et le scénario a visiblement été écrit à la va-vite.

    scénario: 12/20     acteurs: 12/20     technique: 14/20   note finale: 12/20

    La belle promise

    En Palestine, trois soeurs issues de l’aristocratie chrétienne ont perdu leur terre et leur statut social après la guerre des Six Jours de 1967 avec Israël. Incapables de faire face à leur nouvelle réalité, elles s’isolent du reste du monde en s’enfermant dans leur villa pour se raccrocher à leur vie passée. L’arrivée de leur jeune nièce, Badia, ne tarde pas à bousculer leur routine et d’autant plus lorsqu’elles se mettent en tête de lui trouver un mari.


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  •  Pas mal mais une petite déception au niveau du sujet. Je n'avais lu dans aucun résumé qu'il s'agissait principalement d'une fille qui se prend pour un homme en Iran. C'est un peu long et un peu cucul...

    scénario: 14/20       technique: 14/20    acteurs: 14/20   note finale: 14/20

    Une femme iranienne

    Bien que Rana soit une femme traditionnelle, elle est forcée de conduire un taxi à l'insu de sa famille pour rembourser la dette qui empêche son mari de sortir de prison. Par chance, elle rencontre la riche et rebelle Adineh, désespérément en attente d’un passeport pour quitter le pays et ainsi échapper à un mariage forcé. Les deux femmes vont s’aider mutuellement, mais Rana ignore qu’Adineh cache un lourd secret...

     Il faudrait un jour se demander le pourquoi de l'étroite relation entre les cinéastes iraniens et les véhicules automobiles ! Après Abbas Kiarostami (Le Goût de la cerise, Ten), Morteza Farshbaf (Querelles), Jafar Panahi (Taxi Téhéran)… la réalisatrice Negar Azarbayjani utilise encore une fois l'habitacle d'une voiture comme endroit de confidences, de liberté de parole, de confessions…
    Téhéran aujourd'hui. Rana, épouse et mère d'un enfant en bas-âge, conduit donc un taxi mais clandestin, pour faire bouillir la marmite, et ce n'est pas facile tous les jours. Son mari est en effet incarcéré pour malversation financière, associé malencontreux d'hommes d'affaires véreux, et Rana est obligée de travailler doublement, en plus de son métier de couturière, pour payer les dettes de son époux et le sortir de prison.

    Mais la femme, dans le société iranienne contemporaine, est assignée à certains métiers, ses gestes sont constamment surveillés, ses libertés restreintes. La famille, les voisins et la police veillent, constituant autant de carcans dont il est impossible de s'extraire, et rappellent constamment au respect des traditions et des bonnes mœurs. À travers sa belle-mère qui commente et juge ses moindres faits et gestes, son voisin un peu trop curieux qui a vite fait de propager ragots et rumeurs, et la police qui vient sans cesse lui rappeler qu'une femme au volant ce n'est pas si « normal », c'est tout le poids d'une société patriarcale et conservatrice que Rana porte sur ses épaules.

    C'est donc au cours d'une de ses courses que déboule comme une trombe dans son taxi Edi, bonnet enfoncé jusqu'aux oreilles, belle et mystérieuse, et visiblement poursuivie. Elle fuit quelque chose ou quelqu'un, on apprendra par la suite que son père veut la marier de force à un cousin pour en faire une fille honorable… Pas évident pour l'une comme pour l'autre de s'appréhender : entre la plutôt traditionnelle Rana, issue du peuple, et la riche Edi, la rébellion chevillée au corps, va se nouer une relation, faite d'abord d'incompréhension mutuelle, d'agressivité rentrée. Et puis chemin faisant, les deux femmes que tout a priori oppose vont se rapprocher et devenir de véritables amies, chacune faisant des confidences à l'autre : Edi est en attente désespérée d'un passeport pour enfin quitter son pays, puisqu'elle cache un très lourd secret (qu'on ne vous révélera point). Et Rana, bravant les traditions, les interdits, les surveillances, va transcender ses propres croyances et aider jusqu'au bout sa nouvelle amie…


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  • Une jolie comédie romantique, originale et mignonne. Bon après, ce n'est pas non plus la comédie dont on parlera encore dans 10 ans. C'est bien filmé et bien joué.

    scénario: 16/20        technique: 16/20       acteurs: 16/20      note finale: 16/20

    Girls only

    A l’aube de ses 30 ans, on ne peut pas dire que Megan soit fixée sur son avenir. Avec son groupe d'amies déjà bien installées dans la vie, le décalage se creuse de jour en jour. Et ce n'est pas le comportement des hommes qui va l'apaiser ! Au point qu’elle se réfugie chez Annika, une nouvelle amie... de 16 ans. Fuyant avec joie ses responsabilités, elle préfère partager le quotidien insouciant de l'adolescente et ses copines. Jusqu'à croiser le père d'Annika au petit-déjeuner...


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  • Aucune nouveauté par rapport au premier et hélas le scénario est brouillon et part dans tous les sens et on n'a plus la surprise de la découverte. pour moi, une suite inutile et pas géniale. Mais bon quand on a un filon qui marche... L'Inde est, cependant, toujours aussi bien filmée.

    scénario: 12/20     acteurs: 12/20   technique: 18/20   note finale: 13/20

    Indian Palace- Suite royale

    Maintenant que l’hôtel Marigold affiche complet, ses directeurs, Muriel Donnelly et Sonny Kapoor songent à l’agrandir. Ils ont justement trouvé l’endroit idéal pour ouvrir un deuxième établissement. Tandis que le projet avance, Evelyn et Douglas qui travaillent désormais à Jaipur, se demandent où leurs rendez-vous réguliers autour des délices de la cuisine indienne vont les mener. Norman et Carole essaient de maîtriser les difficultés d’une relation exclusive, et Madge hésite entre deux prétendants aussi intéressants l’un que l’autre. Récemment arrivé, Guy Chambers trouve sa muse en la personne de Mme Kapoor la mère de Sonny, pour écrire son nouveau roman. Sonny doit très bientôt épouser Sunaina, l’amour de sa vie mais il est de plus en plus absorbé par le nouveau projet d’hôtel, qui exige tout son temps… Seule Muriel pourrait peut-être avoir des réponses : personne n’a de secret pour elle. Alors que le grand jour approche, l’ivresse de la préparation d’un mariage traditionnel indien s’empare de tout le monde…


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  •  Si quelqu'un a une explication sur la présence d'un gros noir dans le film Cendrillon, qu'il me laisse un commentaire! Parce que moi je m'interroge encore. l'actrice qui joue Cendrillon est vraiment tarte et avec ses innombrable dents, elle est vraiment bof, bof dans le rôle. Le prince n'est pas si beau que ça. Le choix des acteurs laisse à désirer. Le dessin animé était beaucoup beaucoup mieux. il n'y a par exemple qu'un bal dans le film. Bref, bâclé. Les décors, et les costumes sont sublimes! et c'est très bien filmé.

    scénario: 14/20    acteurs: 14/20    technique: 18/20   note finale: 14/20

    Cendrillon

    Le père d’Ella, un marchand, s’est remarié après la mort tragique de la mère de la jeune fille. Pour l’amour de son père, Ella accueille à bras ouverts sa nouvelle belle-mère et les filles de celle-ci, Anastasie et Javotte. Mais lorsque le père d’Ella meurt à son tour, la jeune fille se retrouve à la merci de sa nouvelle famille, jalouse et cruelle. Les trois méchantes femmes font d’elle leur servante, et la surnomment avec mépris Cendrillon parce qu’elle est toujours couverte de cendres. Pourtant, malgré la cruauté dont elle est victime, Ella est déterminée à respecter la promesse faite à sa mère avant de mourir : elle sera courageuse et bonne. Elle ne se laissera aller ni au désespoir, ni au mépris envers ceux qui la maltraitent. Un jour, Ella rencontre un beau jeune homme dans la forêt. Ignorant qu’il s’agit d’un prince, elle le croit employé au palais. Ella a le sentiment d’avoir trouvé l’âme soeur. Une lueur d’espoir brûle dans son coeur, car toutes les jeunes filles du pays ont été invitées à assister à un bal au palais. Espérant y rencontrer à nouveau le charmant Kit, Ella attend avec impatience de se rendre à la fête. Hélas, sa belle-mère lui défend d’y assister et réduit sa robe en pièces… Pendant ce temps, le Grand Duc complote avec la méchante belle-mère pour empêcher le Prince de retrouver celle qu’il aime... Heureusement, comme dans tout bon conte de fées, la chance finira par sourire à Ella : une vieille mendiante fait son apparition, et à l’aide d’une citrouille et de quelques souris, elle va changer le destin de la jeune fille…

    Près de 65 ans après son dessin animé culte, Disney revisite un de ses grands classiques dans une version fidèle, flamboyante et sucrée, du célèbre conte de fées. Kenneth Branagh et les célèbres studios américains n’ont rien laissé au hasard pour donner vie à la célèbre héroïne et ils se sont assurés d’avoir les meilleurs atouts dans leur jeu. La douce Cendrillon et son Prince charmant sont parfaits et les performances de Cate Blanchett et de Helena Bonham Carter apportent une fantaisie au film sans le faire sombrer dans la clownerie.
    Vous connaissez l’histoire - et c’est le festin visuel promis qui vous aura peut-être fait venir. La costumière Sandy Powell et le décorateur Dante Ferretti, six Oscars à eux deux, s’en donnent à cœur joie dans cette version à la temporalité un peu floue : un monde de conte de fées mais aussi de cinéma où la vilaine belle-mère est lookée comme une méchante du Hollywood de l’âge d’or façon Joan Crawford tandis que la coiffure de la gentille marraine la fée évoque clairement la fée des lilas de Delphine Seyrig. Tout concourt à la réussite de ce Cendrillon au classicisme assumé, le film déroule avec délicatesse les fils d’une histoire universelle dans un écrin brillant et sophistiqué. Au-delà des petit(e)s qui adoreront, il n’y a aucun mal à croquer dans cette très jolie meringue…


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  •  Les photos de ce film sont d'une beauté à couper le souffle. Il faut dire que JJ Annaud sait filmer les paysages et les animaux. Après ce n'est pas son meilleur film. Le scénario est minimaliste. Les deux acteurs principaux ne sont pas géniaux et sont beaucoup trop vieux pour jouer les "jeunes étudiants qui vont enseigner à la campagne": d'ailleurs on ne les voit jamais enseigner. L'histoire avec les loups est sympa mais ça ne va pas chercher loin. Seul le "vieux" du film sauve un peu les meubles en nous rappelant régulièrement l'osmose entre les divers éléments de la nature. Mais le jeu des deux étudiants est juste impossible et cela gâche le film (et je ne parle pas des fausse de l'un des deux acteurs principaux...). Certaines scènes sont vraiment cruelles envers les animaux et j'espère qu'en Chine il est interdit ou de tuer ou de maltraiter les animaux pendant les tournage de films mais j'ai un gros gros doute... qu'en on sait ce qu'ils font aux tigres, aux éléphants etc...

    Technique: 20/20   acteurs: 10/20   scénario: 10/20      note finale: 10/20

    Le dernier loup

     

    1969. Chen Zhen, un jeune étudiant originaire de Pékin, est envoyé en Mongolie-Intérieure afin d’éduquer une tribu de bergers nomades. Mais c’est véritablement Chen qui a beaucoup à apprendre – sur la vie dans cette contrée infinie, hostile et vertigineuse, sur la notion de communauté, de liberté et de responsabilité, et sur la créature la plus crainte et vénérée des steppes – le loup. Séduit par le lien complexe et quasi mystique entre ces créatures sacrées et les bergers, il capture un louveteau afin de l’apprivoiser. Mais la relation naissante entre l’homme et l’animal – ainsi que le mode de vie traditionnel de la tribu, et l’avenir de la terre elle-même – est menacée lorsqu’un représentant régional de l'autorité centrale décide par tous les moyens d’éliminer les loups de cette région.

     


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  •  Un très joli film sur les drames du divorce! Le divorce semble bien commencé et soudain tout part en live. L'originalité, c'est que dans le cas présent, personne ne veut les enfants et pour cela, ils iront loin... La première moitié du film, ça va mais après, c'est n'importe quoi. Et Marina Fois joue très mal, hélas, et face à l'excellent Laurent Lafitte, cela ne passe pas. Le scénario est incertain.

    scénario: 12/20    acteurs: 12/20     technique: 16/20   note finale: 12/20

    Papa ou maman

    Florence et Vincent Leroy ont tout réussi. Leurs métiers, leur mariage, leurs enfants. Et aujourd’hui, c’est leur divorce qu’ils veulent réussir. Mais quand ils reçoivent simultanément la promotion dont ils ont toujours rêvée, leur vie de couple vire au cauchemar. Dès lors, plus de quartier, les ex-époux modèles se déclarent la guerre : et ils vont tout faire pour NE PAS avoir la garde des enfants.


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