• Les minions seront toujours les minions et nous réjouiront toujours.

    scénario: 16/20    acteurs: 16/20    technique: 16/20

    Les minions

    A l'origine de simples organismes monocellulaires de couleur jaune, les Minions ont évolué au cours des âges au service de maîtres plus abjectes les une que les autres. Les disparitions répétitives de ceux-ci, des tyrannosaures à Napoléon, ont plongé les Minions dans une profonde dépression. Mais l'un d'eux, prénommé Kevin, a une idée. Flanqué de Stuart, l'adolescent rebelle et de l'adorable petit Bob, Kevin part à la recherche d'un nouveau patron malfaisant pour guider les siens.
    Nos trois Minions se lancent dans un palpitant voyage qui va les conduire à leur nouveau maître : Scarlet Overkill, la première superméchante de l'histoire. De l'Antarctique au New York des années 60, nos trois compères arrivent finalement à Londres, où ils vont devoir faire face à la plus terrible menace de leur existence : l'annihilation de leur espèce.


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  •  Un joli film israélien d'avant garde. beau scénario, grandes actrices. une réussite.

    scénario: 16/20       technique: 16/20       acteurs: 16/20     note finale: 16/20

    Self made

    Des crabes mélomanes, un casque rose fluo, un drôle de sac, un gâteau d’anniversaire, une biennale d’art contemporain, une ceinture d’explosifs, du rap palestinien, un Skype qui ne marche pas et un lit suédois à assembler mais pas assez de vis, vraiment pas assez de vis. Situations burlesques, coups du sort, deux jeunes femmes – Michal, artiste israélienne et Nadine, ouvrière palestinienne – vivant de chaque côté du mur de séparation, après une confusion à un check-point, se retrouvent à vivre la vie de l’autre.


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  •  Le sujet, l'émancipation des femmes dans les sociétés traditionnelles, va au delà du film. C'est pourquoi on va lui pardonner bien des choses: la technique par exemple.La caméra qui va dans tous les sens, bof. le jeu pas terrible des acteurs. Mais le sujet méritait dêtre traité. Alors bravo!

    scénario: 14/20   technique: 14/20   acteurs: 14/20   note finale: 16/20

    Difret

    A trois heures de route d’Addis Abeba, Hirut, 14 ans, est kidnappée sur le chemin de l’école: une tradition ancestrale veut que les hommes enlèvent celles qu’ils veulent épouser. Mais Hirut réussit à s’échapper en tuant son agresseur. Accusée de meurtre, elle est défendue par une jeune avocate, pionnière du droit des femmes en Ethiopie. Leur combat pour la justice commence, mais peut-on défier une des plus anciennes traditions ?

    En langue amharique, parlée en Ethiopie, « difret » signigie courage, ou oser. Le titre dit bien ce qu'est le film, son projet, son ambition, à la fois modeste et immense compte tenu du contexte : célébrer le courage d'une jeune fille et d'une femme qui ont osé affronter les règles iniques de la société outrageusement patriarcale dans laquelle elles vivaient. Le scénario est directement inspiré d'une histoire réelle qui s'est déroulée en 1996 et qui a bouleversé le pays, avant d'initier un changement de certaines de ses règles judiciaires.
    Ethiopie 1996, donc. Meaza Ashenafi est une jeune avocate ambitieuse, une mordue de travail, fondatrice d'une organisation qui fournit gratuitement l'aide juridique aux femmes démunies et aux enfants. Comme défenseure inlassable des femmes, elle opère avec l'agrément du gouvernement jusqu'à ce que survienne un cas particulièrement dramatique et explosif, qui bouleverse complètement son travail en même temps qu'il menace la survie même de son organisation.

    À trois heures de route d'Addis Abeba, en pleine campagne, une collégienne de quatorze ans, Hirut, est kidnappée sur le chemin de l'école par un groupe d'hommes, menés par un fermier de vingt-neuf ans qui a jeté son dévolu sur la jeune fille et a décidé d'en faire son épouse. Une tradition ancestrale veut en effet qu'un homme a le droit d'enlever celle qu'il veut épouser, quel que soit son âge, et de lui imposer un rapport sexuel. Hirut résiste, se défend et, à la faveur d'un moment d'inattention de ses ravisseurs, saisit un fusil et tue son kinappeur avant se s'enfuir et de regagner la maison de ses parents, terrorisée.
    Elle est aussitôt arrêtée par la police locale, accusée de meurtre et mise en prison sans délai. Elle risque la peine de mort, alors même qu'il est évident qu'elle a agi en état de légitime défense.
    Son histoire et ses conséquences se répandent dans les médias éthiopiens comme un feu de brousse et Meaza Ashenafi va décider de la représenter devant la justice, quels que soient les risques. Commence la recherche de toutes les voies légales utilisables pour défendre la jeune fille et l'arracher à une exécution qui semble inéluctable.

    Difret est filmé simplement, sobrement, sans chercher les effets spectaculaires, sans en rajouter dans l'émotion. Le film dégage ainsi une force et une efficacité incontestables, qui emportent l'adhésion.
    En 2004, le code pénal éthiopien a été révisé : depuis cette date, les enlèvements et les viols sont passibles de quinze ans d'emprisonnement. Malgré tout, le nombre de jeunes filles enlevées reste encore trop important. Même s'il existe un appareil juridique, l'Éthiopie est une société toujours extrêmement patriarcale, dans laquelle les femmes et les filles ignorent l'existence des lois ou ne savent pas vers qui se tourner en cas de nécessité… D'où le rôle que peut jouer un film comme celui-ci.


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  •  C'est peu de dire que ce n'est ps fin. Le scénario ne risque pas de vous faire mal à la tête... les dialogues non plus. C'est plus pathétique qu'autre chose. Mais les mecs sont beaux, quoique pas très futés, et dansent bien...

    scénario: 8/20      technique: 16/20     acteurs: 14/20   note finale: 12/20

    Magic Mike XXL

    Trois ans après que Mike ait renoncé à sa vie de strip-teaseur, les Kings of Tampa sont eux aussi prêts à jeter l'éponge. Mais ils veulent le faire à leur façon – en enflammant la piste de danse lors d'un ultime spectacle époustouflant à Myrtle Beach et en partageant l'affiche avec le légendaire Magic Mike. Alors qu'ils se préparent pour leur finale et qu'ils se rendent à Jacksonville et Savannah pour renouer avec d'anciennes connaissances et se faire de nouveaux amis, Mike et ses camarades s'initient à de nouvelles acrobaties et évoquent le passé de manière surprenante…


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  • D'une folie jubilatoire, ce film est parfois ennuyeux et on se serait bien passé de certaines scènes vraiment pornographiques. L'image est d'une beauté à couper le souffle.

    scénario: 14/20        technique: 19/20     acteurs: 15/20   note finale: 14/20

    Que viva Eisenstein

    En 1931, fraîchement éconduit par Hollywood et sommé de rentrer en URSS, le cinéaste Sergueï Eisenstein se rend à Guanajuato, au Mexique, pour y tourner son nouveau film, Que Viva Mexico ! Chaperonné par son guide Palomino Cañedo, il se brûle au contact d’Éros et de Thanatos. Son génie créatif s’en trouve exacerbé et son intimité fortement troublée. Confronté aux désirs et aux peurs inhérents à l’amour, au sexe et à la mort, Eisenstein vit à Guanajuato dix jours passionnés qui vont bouleverser le reste de sa vie.

    Ce film aussi historique que foldingo (l'association des deux est pour le moins surprenante et tient au talent érudit et malicieux de Greenaway) met en scène un des plus grands cinéastes de tous les temps, visionnaire, novateur, qui révolutionna le langage des images – dans le sillage d'une autre révolution – , un génie que d'autres géants comme Gance ou Griffith considéraient comme le maître absolu du montage. Sergueï Eisenstein, né à Riga, capitale de l'actuelle Lettonie, fut LE cinéaste de la Révolution Russe. En trois films réalisés entre 1924 et 1928 (La Grève, Le Cuirassé Potemkine, Octobre), Eisenstein a non seulement traduit en images l'histoire officielle d'une révolution mais surtout fait preuve d'une extraordinaire modernité cinématographique en posant comme matrice du récit le montage des images plutôt qu'un schéma narratif classique inspiré de la littérature, faisant se succéder des plans emblématiques, comme l'inoubliable scène de l'escalier d'Odessa dans son Potemkine, une scène qui a marqué la mémoire collective mondiale.

    Le film de Peter Greenaway évoque un épisode très particulier de la vie d'Eisenstein : en 1931, le cinéaste internationalement adulé, après avoir parcouru durant deux ans l'Europe et les États-Unis et rencontré les plus grands intellectuels et artistes de gauche (Joyce, Brecht, Cocteau, Shaw, Dos Passos, Stein, Von Stroheim, Flaherty, Chaplin, Stravinski, Disney, Le Corbusier, Bunuel, Dietrich, Garbo…), débarque dans le Mexique révolutionnaire hérité de l'insurrection de Zapata, avec l'intention un peu floue d'y réaliser un film qui devrait s'intitulier Que viva Mexico !. Eisenstein est devenu une star fantasque et capricieuse, transportant avec lui une quantité extravagante de malles remplies de livres. Et à peine arrivé il se laisse emporter sans résistance par l'atmosphère captivante du Mexique, sa fascination pour la religiosité morbide, et surtout par l'attrait sensuel de son guide Palomino Canedo, qui va faire découvrir au cinéaste russe de nouveaux émois, l'homosexualité plus ou moins assumée d'Eisenstein étant un secret de polichinelle, ce qui déplut fort d'ailleurs au très peu gay friendly Joseph Staline.

    Au-delà de l'intérêt historique du film, c'est évidemment la mise en scène foisonnante de Peter Greenaway qui vaut le détour. Greenaway, expérimentateur insatiable et imprévisible, traduit ici en images fortes l'ambiance aussi chaude que morbide du Mexique, en même temps que les jeux érotiques – décrits sans trop de précautions – du cinéaste russe et de son guide. Par un jeu virtuose de superpositions, de divisions de l'écran, Greenaway mélange à plusieurs reprises le récit du voyage au Mexique aux images mêmes des films d'Eisenstein. C'est assez étourdissant…
    Eisenstein est incarné par Elmer Bäck, acteur finlandais inconnu dans nos contrées, qui impose sa puissante stature, son visage étrange de poupon surplombé d'une coiffure hirsute, ses crises d'enthousiasme et d'hystérie, transmettant toute son énergie à un film hors normes consacré à un personnage qui l'était tout autant.


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  • Un très joli film sur l'adolescence. les petits acteurs sont formidables. Audrey Tautou fait une apparition remarquée. Beaucoup plus réussi que "l'écume des jours". Les dialogue et le scénario sont très réussis. C'est bien filmé.

    scénario: 17/20   technique: 17/20   acteurs: 17/20   note finale: 17/20

    Microbe et gasoil

    Les aventures débridées de deux ados un peu à la marge : le petit "Microbe" et l'inventif "Gasoil". Alors que les grandes vacances approchent, les deux amis n'ont aucune envie de passer deux mois avec leur famille. A l'aide d'un moteur de tondeuse et de planches de bois, ils décident donc de fabriquer leur propre "voiture" et de partir à l'aventure sur les routes de France...

    Voilà un film jubilatoire qui arrive à point nommé en ce début d'été, un film à voir tout seul ou à deux ou à plusieurs, à voir en famille, composée, recomposée, décomposée. Un film qui devrait rassembler toutes les générations par sa tendresse, son intelligence, sa fantaisie, sa foldinguerie. Un film qui donnera envie aux ados débutants de profiter des vacances pour s'affranchir un peu de leurs parents et aux parents inquiets de nature de les laisser faire en toute confiance.
    Aux commandes de ce film qui fait du bien, l'imprévisible et follement talentueux Michel Gondry. Il est libre, Michel. Jamais là où on croit pouvoir l'attendre, toujours surprenant, toujours inventif, toujours prêt à se lancer et à nous embarquer avec lui dans la grande ou la petite aventure… Ici c'est celle de deux collégiens, deux titis versaillais formidablement attachants. Microbe a quatorze ans, si on l'appelle comme ça c'est parce qu'il est évidemment plus gringalet que la moyenne, ce qui forcément le rend timide et peu conquérant avec les filles… En plus de ça, il doit se coltiner une maman un poil dépressive, décidément trop gentille et trop affectueuse (l'hilarante Audrey Tautou), adepte de gourous bidon, traînant régulièrement son fiston à des soirées mystiques dont il se passerait bien. Il est aussi affublé d'un frère aîné, punk, qui fait de son univers sonore un enfer sur terre. Microbe tente de tout oublier dans le dessin et la rêvasserie, ce qui n'est guère compatible avec les bons résultats scolaires.

    Et puis un jour débarque dans la classe un nouveau, très vite surnommé Gasoil parce qu'il a souvent les mains dans le cambouis. Avec son père mi antiquaire-mi ferrailleur, sa mère mégère et son blouson sorti tout droit de Thriller de Michael Jackson, il détonne dans le collège propret. Entre les deux garçons pas franchement intégrés, pas franchement populaires pour ne pas dire têtes de Turc, l'amitié va être immédiate, au point d'envisager un rêve fou entre le dessinateur et le bricoleur : construire, avec des matériaux de récup et un moteur de tondeuse, un mini mobil-home pour partir en vacances sur les routes de France… Et ils vont passer à l'acte !

    Inspiré d'un projet d'enfance réel – bien qu'inabouti – de Michel Gondry (qui fut lui-même collégien versaillais fils de parents hippies), le film passe de la chronique familiale et scolaire drôlatique au film d'aventures réjouissant. Microbe et Gasoil est délicieusement atypique et un peu hors du temps, l'exact contraire d'un film « branché ». Les deux ados – qui sont allergiques à la technologie et s'expriment de manière assez châtiée, ce qui crée un décalage assez désopilant – vont croiser lors de leur périple un couple de dentistes possessif en mal d'enfants, une équipe asiatique autant que patibulaire de football américain, des masseuses thaïlandaises qui peuvent être coiffeuses… tout ça jusqu'au Morvan. On passe vraiment un merveilleux moment, vivifiant, rafraichissant, avec ce petit bijou d'invention bricoleuse et d'humour décalé, illuminé par deux jeunes acteurs épatants, Ange Dargent et Théophile Bacquet.


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  • Un très joli documentaire sur l'arrivée de Raf Simons chez Dior. Il est montré comme un être sensible et talentueux.

    scénario: 16/20      technique: 16/20   note finale: 16/20

    Dior et moi

    Nommé directeur artistique de la maison Dior en avril 2012, suite au départ précipité de John Galliano, le styliste belge Raf Simons ne dispose que de huit semaines pour lancer sa première collection haute couture. Le défi se révèle une aventure collective, pleine d’humour et d’émotions, autour de la passion d’un métier et au service de la vision d’un créateur atypique, qui fuit les projecteurs. Loin des clichés inhérents à un univers où podium et excentricités ont souvent la part belle, la caméra attentive de Frédéric Tcheng livre un portrait attachant et haut en couleurs des petites mains et collaborateurs d’une des maisons françaises les plus mythiques.

    Beaucoup lui doivent beaucoup : Pierre Cardin, Yves Saint Laurent ont fait leurs premiers pas chez Christian Dior. Pour autant et pour le commun des mortels, le nom de Dior évoque avant tout une marque de luxe, et guère davantage… Signe de nos temps mercantiles où les sigles ont remplacé les hommes, où la création artistique a laissé place aux flagrances et autres fards à joues et où les stars de cinéma sont devenus des enseignes publicitaires sur jambes (souvent très belles, au demeurant).
    Ce documentaire rend donc à Dior ce qui appartient à Christian et nous offre un voyage à la fois intime et public entre deux époques, deux styles, deux hommes qui auront placé leurs destinées sous le signe de la Maison Dior : Christian Dior lui-même, évidemment, le fondateur et génial couturier, et Raf Simons, directeur artistique des collections prêt-à-porter, haute couture et accessoires, qui succéda en 2012 au sulfureux John Galliano. Le film n’aura de cesse de croiser les regards et les univers de ces deux créateurs, suivant les pas du styliste belge faisant ses premières armes dans la grande maison au rythme des mots de Christian Dior, ceux qu’il coucha dans ses mémoires et qui ponctuent le récit des créations d’hier et d’aujourd’hui.

    Que l’on soit féru de mode ou simple curieux, l’attraction irrésistible du film tient dans ce subtil et classieux mélange des styles et des modes narratifs, tour à tour très énigmatique quand il s’agit d’évoquer les méandres de la création et les interrogations quelquefois tourmentées de Christian Dior puis très pragmatique quand il nous offre à suivre les affres des préparatifs d’un défilé de haute couture, des premiers croquis au jour J.
    Mais le clou du spectacle n’est pas là où on l’attend : les vrais vedettes ne sont ni Monsieur Dior ni Monsieur Simons mais mesdames (les plus nombreuses) et messieurs les ouvriers de l’ombre, les « petites mains » comme il est d’usage de les appeler, garantes d’un savoir-faire, d’un style, d’un coup de ciseaux : ceux de la Maison Dior. Et il est fascinant de pénétrer dans les secrets des ateliers, sous les toits de Paris, un peu comme par effraction, et d’écouter, de suivre, de vibrer avec ces travailleurs ordinaires qui sont au final les véritables artisans d’une collection.
    Tourné dans les coulisses de l'élaboration de la première collection du créateur belge, le film dit les inquiétudes provoquées au sein des ateliers par l'arrivée de ce nouveau designer estampillé « minimaliste » – il s'en agace souvent – et celles qui se font jour dans l'entourage du styliste : le poids de la tradition ne va-t-il pas étouffer la liberté ? Le nouveau venu saura-t-il supporter la pression énorme qui pèse sur ses épaules ? Le réalisateur illustre aussi la tension permanente, au sein de la maison, entre les ambitions purement artistiques et les nécessaires impératifs économiques d’une machine aussi importante que la Maison Dior.

    Par son regard intelligent et le refus de tomber dans une simple approche admirative de son sujet, Frédéric Tcheng réalise ici un travail remarquable qui remet l’art, l’artisanat, la création au cœur du propos… Et l’on gardera en mémoire non pas l’image du regard parfaitement maquillé de Marion Cottillard, mais bel et bien celui, ô combien émouvant, de la chef d’atelier un jour de grand stress…

     


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  • Pas mon genre mais il faut dire que c'est réussi. On passe du futur au passé avec bonheur même si parfois, bof bof. les effets spéciaux sont réussis.  Schwarzie est une merveille quand il sourit...

    scénario: 16/20    acteurs: 16/20   technique: 17/20   note finale: 16/20

    Le leader de la résistance John Connor envoie le sergent Kyle Reese dans le passé pour protéger sa mère, Sarah Connor et préserver l'avenir de l’humanité. Des événements inattendus provoquent une fracture temporelle et Sarah et Kyle se retrouvent dans une nouvelle version du passé. Ils y découvrent un allié inattendu : le Guardian. Ensemble, ils doivent faire face à un nouvel ennemi. La menace a changé de visage.


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  • Le premier fut une heureuse surprise, le second est également très réussi. C'est très amusant. Les acteurs sont excellents et on passe un très bon moment. Même si le scénario aurait pu être un peu plus creusé...

    scénario: 16/20      technique: 16/20  technique: 16/20    note finale: 16/20

    Les profs 2

    Les pires Profs de France débarquent en Angleterre pour une mission ultra-secrète. Avec Boulard, le Roi des cancres, ils sont parachutés dans le meilleur lycée du pays, et ils vont appliquer leurs célèbres méthodes sur la future élite de la nation. L'enjeu est énorme : de leur réussite dépendra l'avenir du Royaume tout entier... Cette année : aux meilleurs élèves, les pires profs quand même !!!


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  • Un excellent thriller plein de suspens et de surprises qui, hélas, n'a pas su trouver son public. Et ce n'est pas mon genre de film. Les acteurs sont exceptionnels!

    scénario: 17/20     acteurs: 17/20     technique: 17/20   note finale: 17/20

    Gunman

    Ex-agent des forces spéciales, Jim Terrier est devenu tueur à gages. Jusqu’au jour où il décide de tourner la page et de se racheter une conscience en travaillant pour une association humanitaire en Afrique. Mais lorsque son ancien employeur tente de le faire tuer, Jim n’a d’autre choix que de reprendre les armes. Embarqué dans une course contre la montre qui le mène aux quatre coins de l’Europe, il sait qu’il n’a qu’un moyen de s’en sortir indemne : anéantir l’une des organisations les plus puissantes au monde…


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