•  Pas du tout mon genre de film mais c'est réussi. Le suspens tient jusqu'au bout du film.

    scénario: 16/20     acteurs: 16/20    technique: 16/20    note finale: 16/20

    Alors qu'il est en plein vol, un agent de la police de l’air reçoit des SMS d’un inconnu qui dit être à bord et vouloir assassiner un passager toutes les 20 minutes s'il ne reçoit pas 150 millions de dollars.


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  • Une comédie très réussie. C'est amusant, on rit et les acteurs sont formidables.

    scénario: 18/20      acteurs: 18/20    technique: 18/20  note finale: 18/20

    Romain Faubert est un homme seul qui, à bientôt 40 ans, n’a ni femme ni enfant. Le métier qu’il exerce, photographe pour dictionnaire médical en ligne, n’arrange rien à une hypocondrie maladive qui guide son style de vie depuis bien trop longtemps et fait de lui un peureux névropathe. Il a comme seul et véritable ami son médecin traitant, le Docteur Dimitri Zvenska, qui dans un premier temps a le tort de le prendre en affection, ce qu’il regrette aujourd’hui amèrement. Le malade imaginaire est difficilement gérable et Dimitri donnerait tout pour s’en débarrasser définitivement. Le docteur Zvenska pense avoir le remède qui le débarrassera en douceur de Romain Flaubert : l’aider à trouver la femme de sa vie. Il l’invite à des soirées chez lui, l’inscrit sur un site de rencontre, l’oblige à faire du sport, le coach même sur la manière de séduire et de se comporter avec les femmes. Mais découvrir la perle rare qui sera capable de le supporter et qui par amour l’amènera à surmonter enfin son hypocondrie s’avère plus ardu que prévu...


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  • J'adore le cinéma israélien et une fois de plus, j'ai adoré ce film. Il sort beaucoup de film sur ces palestiniens qui collaborent et sur les méthodes du shabbak. Très bien fait. les acteurs sont incroyablement justes.

    scénario: 18/20       acteurs: 18/20      technique: 18/20    note finale: 18/20

    Bethléhem

    2005. Bethlehem sud de Jérusalem. Sanfur, un jeune palestinien vit dans l'ombre de son frère Ibrahim un terroriste à la tête d'un réseau influent. Razi, un agent des services secrets israëliens qui recrute des informateurs dans les territoires occupés s'en fait un allié, lui offrant ce qui manque à sa vie, l'estime et la bienveillance d'un père. Tentant d'assurer son rôle tout en restant loyal envers son frère, Sanfur navigue comme il peut d'un camp à un autre, commettant des impairs. Les services secrets découvrent qu'il participe aux activités de son frère, plongeant Razi dans un profond dilemme : doit-il donner une seconde chance à son indic ou obéir aux ordres ?


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  • Bon, il faut dire que j'ai été un peu déçu par ce film plein d'humour par moment, aux dialogues croustillants par moment, mais pas tout le temps. c'est pas mal mais ça casse pas des barres.

    scénario: 14/20   technique: 16/20  acteurs: 16/20   note finale: 15/20

    Le crocodile du Botswanga

     

    Leslie Konda, jeune footballeur français talentueux, repéré à son adolescence par Didier, un agent de faible envergure qui a su le prendre sous sa coupe, vient de signer son premier contrat d’attaquant dans un grand club espagnol. Dans le même temps, sa notoriété grandissante et ses origines du Botswanga, petit état pauvre d’Afrique centrale, lui valent une invitation par le Président de la République en personne : Bobo Babimbi, un passionné de football, fraîchement installé au pouvoir après un coup d’état militaire. Leslie se rend donc pour la première fois dans le pays de ses ancêtres accompagné par Didier pour être décoré par le Président Bobo qui s’avère rapidement, malgré ses grands discours humanistes, être un dictateur mégalomane et paranoïaque sous l’influence néfaste de son épouse. À peine ont-ils débarqué que Bobo conclut un deal crapuleux avec Didier : faire pression sur son joueur afin que celui-ci joue pour l’équipe nationale : les Crocodiles du Botswanga…


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  • Alors, là, c'est génial!! On voyage à travers l'histoire, c'est plein d'humour etc...

    scénario: 18/20         technique: 17/20    note finale: 18/20

     

    M. Peabody et Sherman : Les Voyages dans le temps

    M.Peabody est la personne la plus intelligente au monde. Il est à la fois lauréat du prix Nobel, champion olympique, grand chef cuisinier... et il se trouve aussi être un chien ! Bien qu’il soit un génie dans tous les domaines, M. Peabody est sur le point de relever son plus grand défi : être père. Pour aider Sherman, son petit garçon adoptif, à se préparer pour l’école, il décide de lui apprendre l’histoire et construit alors une machine à voyager dans le temps. Les choses commencent à mal tourner quand Sherman enfreint les règles et perd accidentellement dans le temps Penny, sa camarade de classe.


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  •  Très réussi.

    scénario: 17/20      technique: 17/20  note finale: 17/20

     

    L'île des Miam-nimaux : Tempête de boulettes géantes 2

    Après le succès du premier film, L'île des miam-nimaux : Tempête de boulettes géantes 2 nous entraîne dans les nouvelles aventures de Flint Lockwood. Inventeur d’une machine capable de transformer l’eau en nourriture, Flint avait été obligé de la détruire parce que son invention avait déchaîné des pluies torrentielles de cheeseburgers et des tempêtes de spaghettis, menaçant toute la planète…
    Pourtant, la machine n’a pas disparu, et elle crée maintenant des croisements entre animaux et aliments, les « miam-nimaux » ! Flint et ses amis s’embarquent dans une périlleuse mission pour affronter des tacodiles affamés, des Cheddaraignées, des Serpent à galettes, des Hippopatates…


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  • Pas mal, mais sans plus. On passe un bon moment mais voilà.

    scénario: 15/20   technique: 16/20   acteurs: 17/20   note finale: 16/20

    les trois frères, le retour

    Ils sont trois,
    Ils sont frères,
    Ils sont de retour.
    15 ans après, Didier, Bernard et Pascal sont enfin réunis... par leur mère...
    Cette fois sera peut-être la bonne.


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  • Un film d'un esthétisme exacerbé et d'une beauté à couper le souffle: j'ai adoré!! Léa Sédoux est magnifique et merveilleuse.

    scénario: 19/20  acteurs: 19/20   technique: 20/20   note finale: 19/20

    La belle et la bête

    1810. Après le naufrage de ses navires, un marchand ruiné doit s’exiler à la campagne avec ses six enfants. Parmi eux se trouve Belle, la plus jeune de ses filles, joyeuse et pleine de grâce.

    Lors d’un éprouvant voyage, le Marchand découvre le domaine magique de la Bête qui le condamne à mort pour lui avoir volé une rose.

    Se sentant responsable du terrible sort qui s’abat sur sa famille, Belle décide de se sacrifier à la place de son père. Au château de la Bête, ce n’est pas la mort qui attend Belle, mais une vie étrange, où se mêlent les instants de féerie, d’allégresse et de mélancolie.

    Chaque soir, à l’heure du dîner, Belle et la Bête se retrouvent. Ils apprennent à se découvrir, à se dompter comme deux étrangers que tout oppose. Alors qu’elle doit repousser ses élans amoureux, Belle tente de percer les mystères de la Bête et de son domaine.

    Une fois la nuit tombée, des rêves lui révèlent par bribes le passé de la Bête. Une histoire tragique, qui lui apprend que cet être solitaire et féroce fut un jour un Prince majestueux.

    Armée de son courage, luttant contre tous les dangers, ouvrant son coeur, Belle va parvenir à libérer la Bête de sa malédiction. Et se faisant, découvrir le véritable amour.


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  •  Un excellent documentaire sur le système quasi-mafieux et anti-démocratique du 06. une honte pour la démocratie et honte au Ciotti et à l'autre de Nice. Dommage que ce films soit si peu diffusé.

    scénario: 17/20   technique: 17/20   note finale: 17/20

    Démocratie Zéro6

    Trois villages d’une vallée isolée du Sud-Est de la France, frontalière de l’Italie, décident en commun de consulter leur population sous forme de référendum consultatif concernant leur rattachement administratif à la CARF, Communauté d’Agglomération de la Riviéra Française, dont l’avenir est d’intégrer la métropole de Nice, la toute première créée en France. Le préfet Drevet, soutenu par le président de la métropole Christian Estrosi et le président du conseil général Eric Ciotti, déclare illégal et interdit ce référendum en menaçant élus et associations de 6 mois de prison et de 7500€ d’amende s’ils participent à sa mise en place, alors que partout ailleurs en France ce genre de référendums a lieu sans obstruction. C’est en partant de l’examen de cette situation locale et l’analyse des moyens utilisés par les pouvoirs en place pour créer une métropole, que ce film pose la question de l’exercice de la démocratie représentative sur l’ensemble du territoire.

    On se souvient de ce bon mot de Winston Churchill qui disait à propos de la démocratie qu'elle « est bien le pire des régimes à l'exception de tous les autres déjà essayés dans le passé ». Il faut dire qu'après avoir tâté du fascisme, du nazisme et du stalinisme, le grand homme, en cette fin de conflit armé avec l'Allemagne, jouait sur du velours. Mais aujourd'hui, alors que ces tristes idéologies ont versé dans les poubelles de l'histoire, force est de constater, à voir les inquiétantes dérives de certains électorats de l'espace européen, que ce « pire système de gouvernement », comme le définissait en rigolant l'homme au cigare, commence à en énerver plus d'un… La faute à « pas de chance » diront certains, la faute surtout à certains élus que nous nous sommes donnés et que nous continuons à nous donner avec un aveuglement qui frise le masochisme. Je ne parle pas de ceux, nombreux, qui œuvrent au quotidien avec dévouement et générosité pour des clopinettes, à commencer par ces héroïques anonymes que l'on voit à l'œuvre dans ce Démocratie zéro6, mais des autres, ceux qui ont fait de la politique leur fond de commerce, une petite minorité surpuissante qui, devenue à force d'intrigues nabab de la République, vit parfois depuis des décennies dans des fromages devenus forteresses inexpugnables malgré l'incroyable médiocrité de son bilan.

    Démocratie zéro6 nous raconte à cet égard une histoire exemplaire, très révélatrice du fonctionnement pervers de nos institutions qui contribue à ruiner chaque jour un peu plus l'image que le citoyen se fait de la démocratie et de la république. Aussi palpitant qu'une série télé comme Borgen ou House of cards, Démocratie zéro6, tout comme la capitulation lamentable de nos propres élus locaux dans l'affaire du bétonnage du plateau de la Menude, ouvre encore plus largement la fracture qui sépare le pays réel de ses représentants « aux affaires ».
    Mais revenons à nos moutons : au départ du film, une petite affaire locale qui aurait pu se régler par le simple bon sens, si des barons locaux de la Côte d'Azur, soucieux de monopoliser tous les pouvoirs, ne s'en étaient pas mêlés. Ilot entre montagne et Italie, la vallée de la Roya, au milieu des montagnes surplombant les Alpes Maritimes, rêve d'un bonheur tout simple : la gestion proche et adaptée de ses affaires due à une situation géographique particulière. Qu'on en juge : il faut, quand on part de cette vallée pour rejoindre les villes du littoral français, soit passer par un pays étranger (l'Italie) par une route assez souvent coupée par des éboulements, soit emprunter une route de montagne (un col à mille mètres, un autre à 800m) enneigée l'hiver, avec un temps de parcours supplémentaire de 50%. D'une situation si particulière, ses habitants, regroupés dans une demi douzaine de villages, avaient tiré la conclusion qu'il fallait se rassembler pour créer une petite communauté de communes de proximité. Une décision née d'une réelle expérience du quotidien.
    Au premier coup d'œil on comprend le topo : aller ramasser un rocher sur la route, une poubelle renversée, donner un coup de chasse-neige… hop, c'est Antoine qui s'y colle, vite fait bien fait. Sauf que macache ! Veto du Préfet, bien chambré par Christian Estrosi et Eric Ciotti, potentats locaux qui ne peuvent tolérer que la moindre parcelle constructible du sol sacré de la Patrie échappe à leur pouvoir de délivrer des permis de construire ! Beaucoup plus chic, notre malheureuse vallée sera absorbée par la « Communauté d'Agglo de la Riviera française » (les cons !), un monstre de bureaucratie, et c'est Monsieur le Député Maire président de ceci et de cela qui ira ramasser la poubelle dans la montagne.

    Pas contents, les villageois sortent les fourches, en l'occurrence un référendum d'initiative locale pour contester cette adhésion forcée à la Côte d'Azur dorée sur tranche. Brave petit soldat, le préfet interdit la consultation et menace tout le monde de prison… C'est alors que le film commence…


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  •  Ce film est une pépite!! un bonheur absolu, une merveille sur l'amour. j'ai adoré!

    scénario: 19/20      technique: 19/20      note finale: 19/20

    Jack et la mécanique du cœur

    Édimbourg 1874. Jack naît le jour le plus froid du monde et son cœur en reste gelé. Le Docteur Madeleine le sauve en remplaçant son cœur défectueux par une horloge mécanique. Il survivra avec ce bricolage magique à condition de respecter 3 lois: premièrement ne pas toucher à ses aiguilles, deuxièmement maîtriser sa colère et surtout ne jamais Ô grand jamais, tomber amoureux. Sa rencontre avec Miss Acacia, une petite chanteuse de rue, va précipiter la cadence de ses aiguilles. Prêt à tout pour la retrouver, Jack se lance tel un Don Quichotte dans une quête amoureuse qui le mènera des lochs écossais, à Paris jusqu'aux portes de l'Andalousie.


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  •  Un très joli documentaire sur Riquet. Jean Perissé confirme le talent dont il avait fait preuve avec "l'occitanienne". Nous attendons sa prochaine fiction  impatience.

    scénario: 18/20    technique: 18/20   note finale: 18/20

    La Fabuleuse histoire de Monsieur Riquet

    Rompant avec la "légende dorée" qui entoure le génial créateur du Canal du Midi, le film documentaire de Jean Périssé enquête sur le vrai Riquet.
    Regards croisés dʼhistoriens, de chercheurs, de passionnés, de descendants… Autant de témoignages, recueillis sur les lieux-mêmes de lʼaventure qui nous aident à replacer le personnage dans son siècle – le règne de Louis XIV –, à en dégager toute la modernité.

    Vous avez aimé L'occitanienne ? Vous devriez adorer le dernier film de Jean Périssé… Michèle Teysseyre, qui signe le roman, présente le film : « Il était une fois une reine qui accoucha d’un fils… » Le ton est donné. La « fabuleuse histoire » commence à la manière d’un conte, un conte de Perrault (un beau salaud, celui-là, comme on le verra plus tard dans le film) raconté par Bernard Le Coq, complice de la première heure du réalisateur Jean Périssé – souvenez-vous, c’est lui qui incarnait un Chateaubriand vieillissant dans son très poétique et très romantique long-métrage L’Occitanienne (2008).

    Cette fois, ce n’est pas une fiction qu’il nous livre, mais un documentaire historique consacré au très extraordinaire Pierre-Paul Riquet, le créateur du Canal du Midi. Si le nom comme l’œuvre sont familiers, la légende créée au xixe siècle a fini par cacher l’homme. La statue qui, depuis deux siècles, contemple les Toulousains du haut des allées Jean-Jaurès est bel et bien celle d’un inconnu emperruqué du temps de Louis XIV. Car en matière d’histoire, l’hagiographie s’avère souvent plus dangereuse que l’oubli – ce n’est pas Jeanne d’Arc ou Vercingétorix qui vous diront le contraire… Explorant les piles d’archives conservées au bureau du Canal du Midi à Toulouse, interrogeant chercheurs, historiens, conservateurs et même descendants du grand homme (ils sont nombreux), le film progresse à la manière d’une enquête. Ici, point de docu-fiction : le genre déplaît profondément au réalisateur. Et lorsqu’on voit le pouvoir d’évocation des tableaux et des gravures d’époque qui illustrent le propos, on réalise combien il a raison ! Véritables « reporters » de leur siècle, les peintres du temps nous font partager mieux que quiconque les affres de la peste à Toulouse, le fracas du siège de Castelnaudary, les embarras de Paris aux alentours du Pont-Neuf, les splendeurs de Versailles et de la cour.
    Mais attention, ce n’est pas dans un musée que le réalisateur nous entraîne… Son film est plein de galops de chevaux, de ruisseaux en liberté, de passages d’écluses, d’intérieurs de châteaux (notamment Bonrepos, aux portes de Toulouse, où vécut Riquet), d’horizons méditerranéens. Avec la complicité des Voies Navigables de France, d’associations d’amoureux du Canal (notamment « Un film sur Riquet », qui lui donna l’envie de raconter cette histoire), le réalisateur a pu naviguer entre Toulouse et Sète, dans le sillage de la barque de poste que Robert Mornet – un « fou » génial aux allures de vieux chaman cévenol – s’est mis en tête de reconstruire d’après un modèle de 1818.

    Quant à l’histoire, elle est simple : à un âge où aujourd’hui on songerait à la retraite, un riche financier (Riquet) décide de creuser un canal reliant l’Atlantique à la Méditerranée. Projet insensé ? Que nenni, d’autres avant lui y avaient songé ! De plus, tout ça va dans le sens de la politique que Colbert, le tout puissant surintendant aux Finances de Louis XIV, tente alors d’insuffler à la France. Il y a dans l’air une volonté de relance économique, de grands travaux (la construction de Versailles démarre au même moment). Et puis, bien fait pour le roi d’Espagne qui verra les taxes sur les marchandises transitant par Gibraltar lui passer sous le nez ! Va donc pour Riquet… Mais les relations entre les deux hommes – aussi dissemblables que peut l’être un méridional bon vivant et un haut-fonctionnaire septentrional – vont s’avérer plus difficiles que prévu. Les lettres qu’ils échangent sont un modèle d’amabilités fielleuses, de chausse-trappes déguisées que Bernard Le Coq (délicieux Riquet) et François-Henri Soulié (formidable Colbert) nous font revivre dans un mémorable face à face enregistré en studio. Si vous ajoutez à cela la musique de Marin Marais, interprétée au violoncelle baroque par Tormod Dalen (Le Concert Spirituel), cela donne une belle plongée dans le temps. De l’humour, de l’aventure, des conflits d’intérêt, des rêves aussi… Qui a dit que l’Histoire était ennuyeuse ?


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  •  un très joli film, plein de fantaisie et qui dénonce le ridicule de la politique. ha les italiens qui parlent français, comment résister?

    scénario: 17/20   acteurs: 18/20    technique: 18/20   note finale:

    Viva La Libertà

    Enrico Oliveri, secrétaire général du parti de l’opposition est inquiet : les sondages le donnent perdant. Un soir, il disparaît brusquement laissant une note laconique. C’est la panique au sein du parti, tout le monde s’interroge pour essayer de comprendre les raisons de sa fuite pendant que son conseiller Andrea Bottini et sa femme Anna se creusent la tête pour trouver une solution. C’est Anna qui évoque en premier le nom du frère jumeau du secrétaire général, Giovanni Ernani, un philosophe de génie, atteint de dépression bipolaire. Andrea décide de le rencontrer et élabore un plan dangereux…


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  • Pas du tout mon genre de film, mais suite à un problème d'horaire, je suis allée le voir. Et je dois avouer que je me suis laissée prendre à l'histoire. Bon, naturellement, il y a un peu trop de patriotisme américain (nous les gentils américains, on va amener la libertéééé au monde) mais si on passe au delà, le film est réussi. On aurait pu nous éviter les images de cerveau, beurk§ Une histoire intéressante et prenante.

    scénario: 15/20      technique: 17/20    acteurs: 16/20   note finale: 15/20

    Robocop

    Les services de police inventent une nouvelle arme infaillible, Robocop, mi-homme, mi-robot, policier électronique de chair et d'acier qui a pour mission de sauvegarder la tranquillité de la ville. Mais ce cyborg a aussi une âme...


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  • Côté nullité, y a du lourd. Chiant d'un bout à l'autre. C'est d'une lenteur exaspérante. et d'un ennui. seules les 10 dernières minutes sont intéressantes mais encore faut-il avoir résisté jusque là... Le scénario est d'une débilité extrême et les acteurs font ce qu'ils peuvent. les acteurs sont sales et mal habillés. une horreur!

    scénario: 3/20    technique: 14/20  acteurs: 12/20    note finale: 8/20

    American bluff

    Entre fiction et réalité, AMERICAN BLUFF nous plonge dans l’univers fascinant de l’un des plus extraordinaires scandales qui ait secoué l’Amérique dans les années 70. 

    Un escroc particulièrement brillant, Irving Rosenfeld, et sa belle complice, Sydney Prosser, se retrouvent obligés par un agent du FBI, Richie DiMaso, de nager dans les eaux troubles de la mafia et du pouvoir pour piéger un homme politique corrompu, Carmine Polito. Le piège est risqué, d’autant que l’imprévisible épouse d’Irving, Rosalyn, pourrait bien tous les conduire à leur perte…

     


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  • Un thriller remarquable qui nous tient en haleine jusqu'à la fin. Ce film est porté par des acteurs aux sommets de leur art. Remarquablement réalisé, il est digne des grands films d'action avec des cascades impressionnantes. Bravo!

    scénario: 18/20   acteurs: 18/20   technique: 18/20   note finale: 18/20

    Mea culpa

     

     

    Flics sur Toulon, Simon et Franck fêtent la fin d'une mission. De retour vers chez eux, ils percutent une voiture. Bilan : deux victimes dont un enfant. Franck est indemne. Simon, qui était au volant et alcoolisé, sort grièvement blessé . Il va tout perdre. Sa vie de famille. Son job de flic. Six ans plus tard, divorcé de sa femme Alice, Simon est devenu convoyeur de fonds et peine à tenir son rôle de père auprès de son fils Théo qui a désormais 9 ans. Franck, toujours flic, veille à distance sur lui. Lors d'une corrida, le petit Théo va être malgré lui le témoin d'un règlement de compte mafieux. Très vite, il fera l'objet de menaces. Simon va tout faire pour protéger son fils et retrouver ses poursuivants. Le duo avec Franck va au même moment se recomposer. Mais ce sera aussi pour eux l'occasion de revenir sur les zones d'ombre de leur passé commun. 


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  •  Les acteurs sont laids, mal coiffés, mal maquillés, mal habillés et jouent mal: vous avez devinés: nous sommes dans un film sur les pauvres. les dialogues sont nuls. La vie des personnages est vide et pauvrette, du coup, on s'ennuie.

    scénario: 12/20        technique: 12/20     acteurs: 12/20   note finale: 12/20

    Tonnerre

    Un rocker trop sentimental, une jeune femme indécise, un vieux père fantasque. Dans la petite ville de Tonnerre, les joies de l’amour ne durent qu’un temps. Une disparition aussi soudaine qu’inexpliquée et voici que la passion cède place à l’obsession.


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  •  Cette version n'est pas très réussie. On s'ennuie, c'est mal filmé, mal réalisé, les mouvements de caméra sont aléatoires. bref, je me suis ennuyée. C'est filmé en noir et blanc mais un vilain noir et blanc, sans esthétisme.

    scénario: 12/20         acteurs: 12/20   technique: 12/20   note finale: 12/20

    Beaucoup de bruit pour rien

    De retour de la guerre, Don Pédro et ses fidèles compagnons d’armes, Bénédict et Claudio, rendent visite au seigneur Léonato, gouverneur de Messine. Dans sa demeure, les hommes vont se livrer à une autre guerre. Celle de l’amour. Et notamment celle qui fait rage entre Béatrice et Bénédict, que leur entourage tente de réconcilier tout en essayant de déjouer les agissements malfaisants de Don Juan.


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  •  Délicieusement déjanté, ce film est un ovni. Les dialogues sont croustillants et plein de trouvailles plus amusantes les unes que les autres. les acteurs sont formidables.  On peut regretter que la chute soit vraiment décevante. mais ce film est génial (sauf pour les 5 dernières minutes).

    scénario: 17/20           acteurs: 16/20     technique: 16/20   note finale: 16/20

     

    Jacky au royaume des filles

    En république démocratique et populaire de Bubunne, les femmes ont le pouvoir, commandent et font la guerre, et les hommes portent le voile et s’occupent de leur foyer. Parmi eux, Jacky, un garçon de vingt ans, a le même fantasme inaccessible que tous les célibataires de son pays : épouser la Colonelle, fille de la dictatrice, et avoir plein de petites filles avec elle. Mais quand la Générale décide enfin d’organiser un grand bal pour trouver un mari à sa fille, les choses empirent pour Jacky : maltraité par sa belle-famille, il voit son rêve peu à peu lui échapper...


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